Forêt de protection

contrainte de ménager les milieux est-elle prise en compte ? I- Vers une valorisation durable des milieux alpins ? I-1) Comment sont valorisés les milieux alpins ? Valorisation commence vers 1950 Grand nombre d’avantages naturels : forêts, cours d’eau, paysages de qualité et attractifs, vaste biodiversité. Exploitation : -Production de biens : scieries (bois d’épicéa) + fromage (nombreux pâturages) + industrie lourde (barrages => production électrique) –Tourisme : réserves naturelles

Plateforme pour la Gestion Durable des Ressources Naturelles et de l’Environnement (GDRNE) ; le Conseil Inter ONG Centrafricaine (CIONG-CA) ; le Réseau des Populations Locales et Autochtones de Centrafrique (REPALCA) ; la Conférence des Ecosystèmes de Forêts Denses et Humides de l’Afrique Centrale (CEFDHAC) ; Observatoire National des Elections (ONE), se sont mobilisés du 17 au 18 avril 2014 pour formuler les préoccupations relatives à la prise en compte des droits des communautés forestières et peuples

espèces animales et 7.000 espèces végétales et un taux d’endémisme de 20% Grande variété bioclimatique et diversité d’écosystèmes: 30 zones biogéographiques et 39 écosystèmes terrestres dont 30 écosystèmes forestiers 1. Introduction La forêt marocaine: une mosaïque d’écosystèmes 9 million hectares (8%) dont 5,8 millions boisés et 3 millions de 42 % 22 % 13 % 24 % nappes alfatières 4% 15 % 22 % 6,6 % 16 % 3,2 % Grande diversité dans la composition des écosystèmes

L’ingénierie de formation pour développer les compétences des acteurs de la filière et la formation des formateurs • La diffusion des savoir-faire et le suivi des expérimentations. VALEUR BOIS Valeur Bois est l’interprofession régionale de la filière forêt bois en Champagne-Ardenne : •C’est-à-dire une association qui regroupe tous les acteurs de la filière régionale et qui travaille pour la promotion du bois et des métiers, et aussi pour l’amélioration et le développement de la filière. •25 administrateurs

baisse des travaux en forêt, et réfléchissait aux moyens de relancer une dynamique d’investissements visant à promouvoir une gestion durable des forêts et à améliorer la compétitivité de la filière de production, de récolte et de transformation des produits forestiers. LES BESOINS EN INVESTISSEMENTS FORESTIERS Une partie importante des discussions du comité d’orientation du FFN, durant les années 1998 et 1999, fut consacrée à redéfinir les priorités d’investissements en forêt, en fonction de l’évolution

E.N.A. Gilbert SIMON Inspecteur général de l’environnement, vice-président du WWF Résumé « Administrer la nature », ces termes semblent antinomiques. L’homme a une certaine idée de la nature et s’efforce de la faire prévaloir. Les politiques de protection de la nature, récentes, ont connu d’indéniables succès : des espèces et des espaces au bord de l’extinction ont été sauvés. Mais elles ont montré leurs limites tant que leur rationalité était calquée sur celles des activités économiques. L’administration

le "respect de la souveraineté nationale". Une manière d'écarter tout contrôle contraignant. * Protection des forêts Le texte "reconnaît l'importance de réduire les émissions dues à la déforestation et à la dégradation des forêts, et la nécessité d'améliorer l'élimination de gaz à effet de serre par les forêts". Il prévoit des mesures "incitatives" pour financer la protection des forêts avec des fonds des pays développés. 3) L’après Copenhague le volet juridique, absent de cette

Au XXI ème siècle, la protection de l’environnement est devenue un enjeu majeur dans les relations internationales et les politiques nationales et publiques. La préservation de l’environnement est un des trois piliers du développement durable et a été désignée comme l’un des 8 objectifs du millénaire pour le développement. L’environnement est un milieu dans lequel un organisme fonctionne, incluant l’air, l’eau, la terre, les ressources naturelles, la flore, la faune, les êtres humains et leurs

d’empêcher l’attribution de permis d’exploitation forestière, considérée stratégique du point de vue de la conservation de la biodiversité. Mais puisque le service forestier y avait déjà autorisé une exploitation forestière, seulement une partie de la forêt ancestrale de pouvait être incluse dans le terrain faisant l’objet du transfert de gestion. La politique de conservation intégré du corridor fait de la reconnaissance du droit coutumier l’un de ses principaux instruments, en espérant fermer ainsi les

chez les populations autochtones. Leurs savoirs sont dynamiques et adaptés à leurs territoires, ils connaissent leurs forêts, s’en nourrissent, y vouent un culte et ils en vivent. Il est donc essentiel de prendre en considération leurs savoirs dans une approche de développement durable et de conservation de la biodiversité. Dans ce texte, il sera démontré que la gestion de la forêt québécoise respecte les droits des autochtones, mais aussi que des partenariats et des ententes sont établis entre le