Forme sonate

Fin 1816, Schubert quitte l'école de son père et l'enseignement de Salieri. Il est hébergé en 1817 par son ami Franz von Schober, chez qui il logera à plusieurs reprises par la suite. Cette année-là il entreprend six sonates pour piano et compose de nombreux lieder, dont La Jeune Fille et la mort D.531 et La Truite D.550. À cette époque l'horizon de Schubert s'élargit. Au quatuor familial et à l'église de la paroisse se substitue un public composé de jeunes intellectuels. Ses amis du Konvikt lui

2 en si bémol majeur, D.125 et son premier chef-d'œuvre dans le domaine du lied, Gretchen am Spinnrade (« Marguerite au rouet »). Les années 1815 et 1816 seront ses plus productives, avec des œuvres en tout genre. En février 1815, il compose sa Sonate pour piano nº 1 en mi majeur, D.157 ; en mars la Messe no 2, en sol majeur, D.167, en juillet sa Symphonie nº 3 en ré majeur, D.200, en novembre la Messe no 3 en si bémol majeur, D.324. En février 1816, il compose son Stabat Mater en fa mineur, D

Köchel), qui embrasse tous les genres musicaux de son époque. Selon le témoignage de ses contemporains, il était, au piano comme au violon, un virtuose. On reconnaît généralement qu'il a porté à un point de perfection le concerto, la symphonie, et la sonate, qui devinrent après lui les principales formes de la musique classique, et qu'il fut un des plus grands maîtres de l'opéra. Son succès ne s'est jamais démenti. Son nom est passé dans le langage courant comme synonyme de génie, de virtuosité et de

joue dans un petit orchestre. A 22 ans il a fait la connaissance du célèbre musicien Haydn qui lui donne de précieux conseils sur la façon de composer. Au début Beethoven écrit de la musique pour son instrument préféré, le piano. Il a composé 32 sonates, la plus célèbre s’appelle « Claire de Lune » . (2) Il compose pour de petits ensembles d’instruments. Cette musique s’appelle « Musique de Chambre ». Quelques années plus tard il décide de composer pour de très grands ensembles d’instruments

et finalement une pléthore de symphonies et de sonates. Bref, fieffé que je suis d’être à Tes Côtés. De plus, les lazzis de mes cyclothymiques connaissances à ton sujet et au mien ont périclités, de cause que mes cours sont terminés, cela ne fait que me ragaillardir. ¨Par chance que je T’aie connu, tu es présentement mon viatique et tu le serras sempiternellement, en d’autres mots, tu m’as sauvé par Tes mirobolants florilèges de notes, de la sonate # 11 (Alla truca) à Ton Opéra Don Giovanni, je

de Vivaldi que d’aucun autre musicien. Son activité s’est exercée dans les domaines de la musique instrumentale — particulièrement violonistique — et de la musique lyrique ; elle a donné lieu à la production d’un nombre considérable de concertos, sonates, opéras, pièces religieuses : il se targuait de pouvoir composer un concerto plus vite que le copiste ne pouvait le recopier[3]. Prêtre catholique, sa chevelure rousse le fit surnommer il Prete rosso (« Le Prêtre roux »), sobriquet peut-être plus

nouvelles influences musicales. De retour en Autriche, il se rend régulièrement à Vienne. De 1769 à 1773, Mozart se rend souvent en Italie et y étudie l’opéra, forme musicale dans laquelle il excellera. MOZART AU SERVICE D’UN NOUVEAU PRINCE ARCHEVEQUE Son nouvel employeur n’aimait pas le voir partir en voyage et lui imposait la forme des pièces qu’il devait écrire pour les cérémonies religieuses. Mozart est malheureux et les relations avec le prince archevêque se dégradent. En 1776, Mozart

compositeur sont évidents. Son père lui fait entreprendre un , avant ses 10 ans, voyage durant le quel il se produit devant les grandes d'Europe. Il est un au piano comme au et compose dans tous les genres musicaux de son époque : le , la , la sonate et l' . Il produit un grand nombre d'œuvres et touche aussi à la musique : La religion occupe une place incontournable à l'époque de Mozart et il sera d'ailleurs au service de de Salzbourg durant de nombreuses années. Les dernières années

période telles que le concerto grosso et la sonate. Le concerto grosso évoluera entre les mains de Corelli puis de Vivaldi, Corelli composant une succession de 4 à 5 mouvements en alternant lent et vif, Vivaldi le modifiant avec le principe de la division tripartite : 1er vif (allegro), 2nd lent (avec un long développement mélodique de l’instrument soliste ou du premier violon), 3eme vif (allegro). Cette dernière formule remplacera son aînée. Cette forme musicale exige un dialogue continu et délicat

la première) est conclusive. Si on reprend cette chanson en schéma nous avons : Lorsque l’on chante, on ne fait pas attention à tout cela et seul compte le plaisir, mais notre esprit ressent cette musique comme un tout homogène que l’on découvre formé de parties bien organisées qui se succèdent. Pour préparer les élèves à la compréhension des formes, il faut leur apprendre à être actifs lorsqu’ils écoutent une musique. Voici un petit exercice tout simple qui oblige les élèves à rester attentifs