Fort de Douaumont

Leclerc porte d’Orléans à Paris, ou dans des hauts lieux de la résistance (le monument du plateau des Glières ou du Vercors, célèbres maquis des FFI). Le général De Gaulle ordonne la création du mémorial de la Résistance au Mont Valérien de Suresnes, fort militaire où les Allemands fusillèrent nombre de résistants (dont les 22 membres de la bande de Manouchian) ; il institue également le concours national de la résistance à l’Education nationale. En 1946, le film de René Clément, La Bataille du rail

une organisation terroriste serbe, la main noire. Celle-ci a pour but de frapper par la terreur et des attentats les intérêts autrichiens. Après quelques semaines d’hésitation, l’Autriche saisit l’occasion pour déclarer la guerre à la Serbie, sachant fort bien les conséquences que cela pourra entraîner. C’est alors l’engrenage, l’Allemagne déclare la guerre le 2 août à la Russie, le 3 août à la France, le 4 août enfin la Grande-Bretagne déclare la guerre à l’Allemagne et à ses alliés. L’Italie se déclare

l'ennemi en défendant le village de Douaumont, près de Verdun. Sa compagnie est anéantie au cours de ce combat et les survivants sont encerclés. Tentant alors une percée, la violence du combat l'oblige à sauter dans un trou d'obus pour se protéger, mais des Allemands le suivent et le blessent d'un coup de baïonnette à la cuisse gauche17. Capturé par les troupes allemandes, il est soigné et interné. Après une tentative d'évasion manquée, il est transféré au fort d'Ingolstadt, en Bavière, un camp

préparation par ses soins du retour de De Gaulle ! Tentative de réhabilitation de l’action du maréchal par les milieux d’extrême droite  Une association pour la défense de la mémoire du maréchal Pétain demande alors le transfert de ses cendres à Douaumont. (Il n’aura jamais lieu.)  c) Le triomphe de la mémoire gaulliste.  Le retour du général De Gaulle au pouvoir en 1958 dans le contexte très tendu de la   guerre d’Algérie se traduit par une profonde volonté de rassemblement. La mémoire

avait reçu le 20 octobre 1915 la croix de chevalier de la légion d’honneur. C’est le 5 avril 1916 qu’il est abattu de sang froid , de la même façon qu’il avait pris habitude à le faire, lui instituteur, dans les combats des forts de Vaux et de Douaumont au bois de la Caillette. B. L’expérience combattante : Un obus... deux frères (témoignage du front) Le 27 mai 1915 : "L’artillerie ennemie a tiré toute la nuit sur le sous-secteur. A 2h30, les allemands ont attaqué sur tout le front

en France les voies de la mémoire.. La République fait du 11 novembre une fête nationale et maintien le culte du souvenir avec le soldat inconnu. De nombreux monuments commémoratifs voient le jour comme le mémorial de Hautmansville, l’ossuaire de Douaumont ou encore Notre Dame de lorette. Entre 1920 et 1925, 30000 monuments aux morts furent érigés en France. Mais très rare sont les monuments aux morts explicitement pacifistes. Celui de Gentioux dans la Creuse reste le plus symbolique : Le monument

divertissement comme la lecture est érigée en modèle alors que le XIXe siècle la regardait comme un danger de perversion de la femme et des enfants. Le cinéma a un grand succès mais est fustigé car trop excessif. Le contrôle sexuel est extrêmement fort : Raymond Radiguet Le diable au corps : fait un véritable scandale car une femme de soldat devient adultère avec un exempté : hantise du poilu au front. => véritable poursuite contre tout ce qui va à l’encontre de la morale. Cl° : la guerre de 1914-1918

Erich Von Stroheim que Renoir apprécie beaucoup. C’est pourquoi lors de leur rencontre, il n’ose lui avouer la vérité. Lui et son assistant réécrivent le scénario en fusionnant les rôles de l’officier allemand qui a abattu l’avion et le directeur du fort. L’engagement de Von Stroheim est déterminant car il va être une grande force de proposition pour la construction de son personnage. Une seule femme est présente dans le film : la paysanne allemande. L’actrice qui l’incarne est Dita Parlo, autre grande

arrivent à la tranchée boche. Quelques cris, de la fumée. Puis, silence de mort. .. » Jules Tanguy, originaire de Rennes à propos d’un assaut en mai 1915. «Les Allemands, qui venaient d'attaquer en masse sur un front de quatre kilomètres, depuis Douaumont jusqu'au fleuve, bombardaient nos arrière-lignes sans interruption pour décimer nos renforts… Quand un 210 s'écrase parmi nous, c'est une poussée violente, une collision d'hommes aveuglés qui gémissent, s'injurient et se bousculent pour s'éloigner

troisième blessure, à la cuisse, lors de la bataille de Verdun à Douaumont, le 2 mars 1916. Laissé pour mort, il reçoit une citation à titre posthume à l'ordre de l'armée. Fait prisonnier, il est soigné à l'hôpital de Mayence puis enfermé entre autres dans la forteresse d'Ingolstadt en Bavière. Cinq tentatives d'évasion ayant échoué (de mai à septembre, il est successivement interné à Osnabrück, Neisse, Sczuczyn, puis en octobre 1916, au fort d'Ingolstadt ; en juillet 1917, au camp de Rosenberg ; en octobre