Fort de Vaux

 neuf mois d'horreur sous mes yeux.    Dans la nuit de 22 au 23 février, je me rends donc à Verdun. Les  deux armées se font face. Verdun est le lieu de violents combats.    Le 25 février, le fort de Douaumont  est pris par une simple avant  garde Allemande. Les services secrets qualifient cette ville et ce  fort comme un « point d'observation exceptionnel ». Partout en  Allemagne, on s'emploie à en faire une victoire décisive.      En mars, nos services interceptent une lettre : un soldat  décriva

arrestation, les juges du Roi s’aperçurent d’ailleurs qu’il était infiniment moins riche qu’il n’y paraissait, et même, tout compte fait, fort dépourvu. Fouquet attirait l’argent en donnant le sentiment d’en avoir et, surtout, d’en pouvoir avoir. Il suscitait le crédit en multipliant les signes de richesse, en faisant le paon, en construisant, par exemple, Vaux, « cette maison magnifique, avec ses accompagnements et ses jardins3.» C’était un grand animateur de circulations monétaires parce qu’il mettait

l'analyse Dans l'accueil ce qui m'a le plus étonné est le fait que nous sommes important dans l'entreprise, nous informons, orientons le client tout ça est nécessaire pour qu'il puisse être en possession des informations dont il a besoin. Le point fort est que le client en cas de besoin de renseignements ne trouve pas de vendeur aura toujours le réflexe de se rediriger vers l'accueil. Pour moi le point faible le plus inattendu est le manque de qualité dans le matériel utilisé, le téléphone à un son

archive cependant ne le confirme, Le Nôtre aurait ainsi passé six années dans l'atelier de Simon Vouet au Louvre. C'est au cours de cet apprentissage que le jardinier aurait rencontré le peintre Le Brun , qu'il retrouve par la suite sur les chantiers de Vaux le Vicomte et de Versailles. Il en gardera aussi un gout pour la peinture, ce qu’il lui fit devenir collectionneur, il a en effet possédé plusieurs centaines de tableaux de maîtres qu'il donna en partie à Louis XIV. En 1635, Le Nôtre devient, à l'âge

que Verdun ai été le réel objectif d’une offensive que l’on voulait décisive car le temps jouait pour l’Entente. Le 25 février le fort de Douaumont est abandonné. Le 6 mars, les Allemands passent sur la rive gauche de la Meuse. Le 14 Mars, ils atteignent le « Le mort homme ». Le 27 mai, ils atteignent la cote 304. Le 7 juin, ils arrivent au fort de Vaux. Dans le fort, la résistance du commandant Raynal est héroïque. Mais en juin-juillet, le contexte change. Les Russes lancent un attaque sur le

vrais tempêtes, des lourdes épreuves, aussi grand et fort que tu sois, la vie te mettre à genoux et te laissera comme ça en permanence si tu la laisse faire ! Toi, moi, n’importe qui, personne ne frappe aussi fort que la vie. C’est pas d’être un bon cogneur qui compte, l’important c’est de se faire cogner et d’aller quand meme de l’avant, c’est de pouvoir encaisser sans jamais, Jamais flencher ! C’est comme ça qu’on gagne ! Si t’es sur de ce que tu vaux, il faut tout essayer pour l’obtenir, mais accepter

entièrement détruites s’engage un corps à corps entre les troupes d’assaut allemandes et les poilus. Février à juin : au prix de pertes très importantes dans les deux camps, les Allemands prennent le bois des Caures, le fort de Douaumont, le Mort- Homme et le fort de Vaux. L’avancée maximale des troupes allemandes ne dépasse pas 5 km. Mai : le commandement français passe de Pétain qui a reconstitué une artillerie française sur la rive gauche de la Meuse, à Nivelle. Les dernières offensives

seul t'en donner connaissance ; Je ne t'écris des dames de Paris : Tu en sais plus que leurs propres maris ; Je ne t'écris qui est rude ou affable, Mais je te veux dire une belle fable, C'est à savoir du lion et du rat. Cettui lion, plus fort qu'un vieux verrat, Vit une fois que le rat ne savait Sortir d'un lieu, pour autant qu'il avait Mangé le lard et la chair toute crue ; Mais ce lion (qui jamais ne fut grue) Trouva moyen et manière et matière, D'ongles et dents, de rompre

de Château-Thierry. Sa vie connaît un nouveau tournant en 1658, quand il entre au service du Surintendant Fouquet. Mais ce dernier est bientôt arrêté sur ordre de Louis XIV, jaloux de sa puissance. En 1660, il fait paraître son Élégie aux Nymphes de Vaux, puis entre 1665 et 1674 plusieurs volumes de Contes et Nouvelles. Son œuvre majeure reste bien sûr, ses Fables dont la composition l'occupera une bonne partie de sa vie, puisqu'elle s'étale de 1668 à sa mort. Questions : 1) La thèse de chaque

Autrefois le Rat de ville Invita le Rat des champs, D’une façon fort civile, A des reliefs d’Ortolans. Sur un Tapis de Turquie Le couvert se trouva mis. Je laisse à penser la vie Que firent ces deux amis. Le régal fut fort honnête, Rien ne manquait au festin ; Mais quelqu’un troubla la fête Pendant qu’ils étaient en train. A la porte de la salle Ils entendirent du bruit : Le Rat de ville détale ; Son camarade le suit. Le bruit cesse, on se retire : Rats en campagne aussitôt ; Et