Foule Sentimentale

Peuple et foule: Le peuple est donc le "barbare intérieur". Le Socialisme insiste sur la nécessité pour les "masses" laborieuses9 de se rappeler la façon dont la bourgeoisie a tendance à confisquer à son profit les révolutions; elle enjoint au peuple de se constituer en "groupe de pression autonome", qui doit développer ce que Marx appelle une "conscience de classe10". A l'inverse, les administrateurs, les hommes politiques, les romanciers et les philanthropes voient dans toute forme d'"irrédentisme

point, mais bien que cela constitue un mouvement conformiste. Du côté immatériel, les baby-boomers n’arrivent pas à exprimer leurs propres opinions : « Tout ce qu’ils font, tout ce qu’ils éprouvent, tout ce qu’ils pensent, ils sont invariablement une foule à le faire, l’éprouver, le penser. Leur cadre de vie, leur milieu naturel, c’est la multitude.» (p.212, l.28 à 31). L’utilisation de l’adverbe « invariablement » par Ricard montre qu’il paraît inévitable que tous les individus pensent de la même façon

« Je veux imaginer sous quels traits nouveaux le despotisme[1] pourrait se produire dans le monde : je vois une foule innombrable d'hommes semblables et égaux, qui tournent sans repos sur eux-mêmes pour se procurer de petits et vulgaires plaisirs, dont ils remplissent leur âme. Chacun d'eux, retiré à l'écart, est comme étranger à la destinée de tous les autres, ses enfants et ses amis particuliers forment pour lui toute l'espèce humaine; quant au demeurant de ses concitoyens, il est à côté d'eux

de sauvetage;  Juge si la victime a besoin d’être transportée à l’hôpital;  Rédige le rapport d’accident à la fin de la situation. Le deuxième surveillant – sauveteur doit :  Voir à l’évacuation de la piscine (au besoin);  Contrôler la foule;  Continuer la surveillance de la piscine;  Surveiller la zone laissée libre par son coéquipier;  Apporter son assistance au premier surveillant – sauveteur;  Communiquer avec les services médicaux d’urgence si la situation le requiert

je le resterai jusqu'au bout ! Je ne capitule pas ! » Il s'agit d'une fable dont l'interprétation reste ouverte. Beaucoup y voient la dénonciation des régimes totalitaires (nazisme, stalinisme et autres) et celle du comportement grégaire de la foule qui suit sans résister. Ionesco dénoncerait ainsi plus particulièrement l'attitude des Français aux premières heures de l'Occupation, mais aussi le fait que tous les totalitarismes se confondent pour attenter à la condition humaine et transformer en

jusqu'aux étalages. Ce n'étaient plus les vitrines froides de la matinée ; maintenant, elles paraissaient comme chauffées et vibrantes de la trépidation intérieure. Du monde les regardait, des femmes arrêtées s'écrasaient devant les glaces, toute une foule brutale de convoitise. Et les étoffes vivaient, dans cette passion du trottoir : les dentelles avaient un frisson, retombaient et cachaient les profondeurs du magasin, d'un air troublant de mystère ; les pièces de drap elles-mêmes, épaisses et carrées

comme eux le pensaient avec leur style. Ils s'opposent férocement au conformisme car ils croient tous deux que cest la cause potentielle de tout drame humain. Ils croient ceci car se conformer à la masse c'est perdre sa personnalité et rejoindre la foule ce qui fait perdre singularité à un humain. Ayant perdu ce qui differencie une personne d'une autre , le genre humain est capable de faire tout ce qu'on lui dit. Après 1945 ces auteurs disent avoir vu la vrai nature de l'homme et ne croient pas en

L’odorat est le plus négligé de nos sens. La fin de Grenouille montre à quel point l'odorat manipule notre inconscient. Le texte commence dans une atmosphère de sorcellerie, où les sentiments de la foule, sous l’effet du parfum, s'amplifient. Grenouille finit par mourir de ses propres mains. La dernière scène s’ouvre dans une atmosphère de sorcellerie: Il fait nuit, dans un cimetière d’où « les fossoyeurs étaient déjà repartis», des feux sont allumés et les personnages sont diaboliques. L’auteur

parce qu’ « une réunion ou un groupe d’individus peut prendre bien des formes et bien des noms ». La foule est constituée d’un grand nombre d’individus, situés dans un même endroit sans l’avoir voulu explicitement. Chacun est là pour son propre compte et cherche à satisfaire en même temps une même motivation individuelle. La bande se caractérise par le nombre réduit comparativement à la foule. Les membres sont réunis volontairement et ont du plaisir à se retrouver parce que l’exigence d’adaptation

de jeunes, … Il est possible de classer les groupes en fonction de nombreux critères : nombres de membres, objectifs poursuivis, tâches, fréquences des rassemblements, système d'organisation, … En général, on distingue 5 grandes catégories : La foule : Un grand nombre de personnes sont réunies sans l'avoir vraiment cherché. Les motivations sont individuelles et les individus sont peu réceptifs à tout ce qui n'est pas en lien immédiat avec la satisfaction de leurs besoins. Les contacts sont très