Foule

« les tricots de laine en loques, effacés dans la même uniformité terreuse ». La dimension épique qui vient des descript° dévalorisantes des révolutionnaires vient également du fait de la masse qu’ils représentent. La foule donne ainsi l’effet d’une force exceptionnelle. Cette foule est un être collectif ; nul individu n'est mis en valeur dans cette page. Il y a des substantifs comme « un bloc » ou « une masse » mais aussi des pluriels tels « un millier de furieux » ou « les femmes ». Ils ont perdu

donc le regard du temoin, elle n'a donc plus 'interet pour Bel-Ami et peut aller rejoindre les coulisses. Le point de vue interne nous montre les sentiments de Bel-Ami, son premier regard se porte sur "Madame de Marelle" (desir) et le second dur "la foule". on retrouve les deux soifs du heros de l'incipit: les femmes et l'ambition. Le point de vue omniscient nous montre que les femmes sont plus importqntes que l'ambition, le mot "lit" clot le roman, c'est l'ouverture finale, comme dans Le Pere Goriot

= le poète est appelé à s'oublier dans la foule. Il est également invité à se retirer du monde car il n'est pas à sa juste place  au milieu de la foule.   c) Il est différent des autres  →​  On le compare à un chanteur, voir champ lexical "chant", "chanson"  = le poète s'oppose aux faux poètes, vulgaires chanteurs, sa mission est autrement haute.  →​  il s'oppose à un collectif désigné par les expressions "la foule" v. 2, "les partis" v. 4, "le peuple" v. 14  = Cet être de lumière ne peut rester dans la foule, il s'y perdrait

jour-là, qui débuta par l’inauguration de la statue de la République de Clésinger au Champ-de-Mars, Paris était alors rempli de drapeaux ; toutes les rues et maisons étaient recouvertes de drapeaux. Le spectacle, unique et grandiose, devait marquer la foule immense qui, du matin jusque tard dans la nuit, envahit les places, jardins, boulevards et jusqu’aux plus petites rues, qui devinrent autant de lieux à célébrer par le chant, la poésie, le dessin ou la peinture. Les couleurs très vives, de

bonds : un cloche pied, 3 foulées de course et un saut. C'est une variante du triple saut qui, lui, ne comporte qu'une foulée de course. Les 4 règles généralisables Prendre de la vitesse grâce à une course d'élan efficace * Je cours sur l'avant des pieds * Je cours en accélérant progressivement et j'arrive vite * Je cours haut sur des appuis dynamiques * Je reste haut au moment de l'impulsion Voir dans le site : Comment bien courir et avoir une foulée optimale Arriver à pleine

jambes, puis de lui briser la mâchoire, mais Saint-Marc veille sur lui et quand les bourreaux essayent de le frapper, les bâtons se cassent... L’homme nu couché par terre entouré de bouts de bois cassés est certainement l’esclave (car il est nu et la foule le regarde, intriguée) et l’homme en rouge surpris et agacé que l’homme au turban lui montre le marteau au manche cassé est certainement le maître de l’esclave, car il est vêtu noblement avec des habits XIVe siècle, de plus il est assis au dessus de

obscure et indépendante. Inconnu, je m e mêlais à la foule : vaste désert d’hommes » (p.177). Ici la séparation entre l’extérieur et l’intérieur est marquée. Il décrit la foule comme un désert, ce qui est complètement contradictoire. Mais par contre, ce désert correspond à son ressenti. La phrase «  Je me trouvais bientôt plus isolé dans ma patrie, que je ne l’avais été sur une terre étrangère. »( p.177) illustre bien la solitude de René dans cette foule. Le rôle de la nature, est, ici, utilisé pour comparer

et mystérieuse.  Banania est aussi un produit très nourissant : farine de banane, crème d’orges, céréales  Renforcé par vigueur, énergie, force, santé  Impact redoublé car sur les 2 côtés de l’image (chiffre positif) qui se déverse sur la foule.  Répétés plusieurs fois pour donner plus d’effets alors qu’il n’y a que 4 mots. En tout 11 mots sortent des boîtes, dont 1 de plus sur la droite. L’effet positif est accentué  Caractère gras et majuscule a force et générosité  Produits

l’oiseau ce retrouve sur un milieu qui n’est pas le sien, le sol, on peut aussi le voir comme un voyageur ailé tombé du ciel qui est étranger aux personnes et au monde qui l’entoure. Ce voyageur devient donc le poète, les hommes d'équipage : la foule et les planches : le théâtre social. Baudelaire décrit l’albatros comme « vaste oiseau des mers », il nous donne ainsi une impression de majesté, de fluidité et rend aussi tranquille l’eau sur laquelle vogue le navire grâce aux sonorités du vers

« écoulaient » « sourdre » « suintaient » « remous » « engorgement ». Ce lexique est rehaussé par des métaphores comme « Ils semblaient sourdre » Ceci est utilisé pour montrer l’arrivée de toute part de la foule. Elle semble s’infiltrer partout et s’étend quand une grande flaque d’eau. Cette foule est aussi associé à un végétal « grappes » « noyaux » « éclos ». Ces éléments naturels ont la possibilité de proliférer. C’est à cause de cette compétence que cette allusion à lieu je pense. On met en avant