Fourberies Controle

personnages ou presque meurent à la fin de la pièce - les spectateurs qui assistent à la pièce connaissent déjà la fin de l'histoire - les acteurs sont masqués - un cœur est présent sur la scène - une tragédie peut être très longue. LES FOURBERIES DE SCAPIN de MOLIERE personnages : ARGANTE, père d'Octave et de Zerbinette.  GÉRONTE, père de Léandre et de Hyacinte. OCTAVE, fils d'Argante, et amant de Hyacinte. LÉANDRE, fils de Géronte, et amant de Zerbinette. ZERBINETTE, crue égyptienne, et

LES ACTEURS DE BONNE FOI Scènes V à VII Les Acteurs de bonne foi, une pièce écrite par Marivaux en 1747 et jouée pour la première fois sur un théâtre public en 1757, soit six ans avant sa mort, est souvent considérée comme l’œuvre d’un auteur qui jette un regard rétrospectif et distancié sur son œuvre, ses procédés dramatiques, et plus largement sur la pratique du théâtre dans la société de son temps, sur ce qu’on y joue, comment et pour qui, et sur l’esthétique théâtrale, sur la théâtralité du

ridicule et il ne se privait pas de le montrer dans ses pièces. L’intérêt de la population, de la cour et même celle du roi pour ses pièces prouve que dans la société, la dissidence était quand même existante. Les comédies de Molière, comme  Les Fourberies de Scapin, étant très populaires, ont certainement contribué à des changements qui ont fait évoluer la société positivement. Cet intérêt que tout le monde, incluant le roi, avait pour la dramaturgie de Molière montrait que la dissidence était

d'intensité les enjeux de la pièce. Il « met de l'action », met de la vivacité. Fonction particulièrement évidente à la représentation, où le conflit peut se traduire par : des injures (Le Médecin malgré lui de Molière) ; des mouvements ou des coups (Les Fourberies de Scapin de Molière) : cela « bouge » sur scène et crée de l'animation ; des joutes oratoires : défi entre Don Diègue et Don Gormas dans Le Cid de Corneille ; confrontation entre Bartholo et Figaro dans Le Barbier de Séville de Beaumarchais (acte

répétitions excessives, des malentendus, jeux de mots, calembours, déformations, recours au jargon, aux dialectes. Des jeux de mots, des plaisanteries, un langage déformé ou inventé suscitent le rire Le comique de geste. Par exemple : Dans Les Fourberies de Scapin, Scapin donne des coups de bâton à son maître enfermé dans un sac : les coups qui pourraient être pathétiques deviennent comiques car ils sont donnés par le valet. Lorsque le théâtre joue de la présence physique des comédiens pour faire

spectacle comique de rue…qui repose sur un comique grossier, parfois vulgaire (scatologie) ; sur des acrobaties et jeux de scène (lazzis) qui provoque un rire franc et spontané qui semble peu en lien avec une réflexion => divertissement pur. Les fourberies de scapin, Molière : la scène du sac ou scapin fait entrer géronte dans un sac pour soit disant le protéger de spadassins ? Il frappe alors sur le sac ce qui fait rire le spectateur = comique de geste+de situation+de mots ou pas Ici = divertir

Dissertation La dissertation peut s'organiser de la façon suivante : 1. Le serviteur vole la vedette à son maître et le domine A. Les valets sont tes maîtres de l'intrigue • Depuis lescomédies latines, les valets sont rusés et débrouillards, et montent des stratagèmes à la place de leurs maîtres, comme Figaro dans Le Barbier de Séville. • Scapin est tout-puissant dans LesFourberies de Scapin, il n'y a rien qu'il ne puisse accomplir. Il obtient ce qu'il veut de Géronte et Argante. Même chose

c’est un endroit où l’on peut se « libérer » surtout avec le comique de geste comme dans le médecin malgré lui ou bien les Fourberies de Scapin de Molière. Le jeu sur le langage et le comique de répétition on aussi ce pouvoir de « libération » comme l’utilisation multiple du commentaire de Géronte « Mais que diable allait-il faire dans cette galère? » dans les fourberies de Scapin. Mais derrière tout cela le comique est une façon de caricaturer la société et les gens de cette dernière En effet

Fiche de lecture : Les fourberies de Scapin, Molière Personnages principaux : Les pères : des obstacles d’amour : Argante, père d’Octave, et Géronte, père de Léandre, sont tous deux riches et veufs. Argante possède une certaine générosité, bien qu’il se mette facilement en colère. Géronte n’a pas son intelligence ni son ouverture d’esprit : pour les pièces d’or l’aveugle et il a perdu toute humanité. Les fils : des jeunes gens insouciants Bien qu’Octave et Léandre soient des « fils de bonne

fonde les bases de la grande comédie en cinq actes et en cinq vers. Il a écris de nombreuses pièces, comme Les précieuses ridicules en 1659, ou il aborde la comédie des mœurs qui fait la satire des travers de la société. Il est aussi l’auteur des Fourberies de Scapin (1671), de L’Avare (1668), où il dénonce les ridicules et les vices de ses contemporains ; ici l’avarice, l’érudition sotte et tyrannique dans les Femmes savantes (1672), la maladie imaginaire dans Le Malade imaginaire (1673). Le 17 février