Fourmilière

il vit en meute, ou bien avec des êtres humains et adopte un comportement non-hostile envers son entourage, un comportement de collectif. Tout comme les hommes créent des villes pour vivre ensembles en interdépendance, les fourmis creusent leur fourmilière, et amassent leurs ressources qu’elles mettent en commun et partagent entre elles. En cela je conclurai sur le fait que, selon les scientifiques, les animaux possèdent bel et bien la faculté de penser. Je répondrai donc non à la question « Est-il

qui mettent en avant une vision de sacrifice inutile : « une multitude de ses membres que la guerre sacrifie », de légalité improbable : « les lois sont forcées de se taire à la vue de la licence qu'elle introduit », de conflits opposant « une fourmilière d'assassins ridicules » ayant pour seul but celui de dépeupler des États et de faire « régner le désordre ». L'absurde de la guerre est parfaitement mis en valeur par Voltaire, en seulement deux mots, en une oxymore, qui qualifie la guerre comme

Blazing-star, ils savaient alors que le maïs était mûr et retournaient au village pour la moisson. - le champignon / la termitière : L’un pousse sur l’autre. - le serpent / la fourmilière : Les membres du clan du serpent doivent rendre culte aux fourmilières car elles servent de demeure aux serpents. Les membres de ce clan doivent donc aussi respect à ceux du clan de la fourmi. - le fer / les animaux : L’un tue l’autre : il y a donc une hiérarchie

s'exprime par des mots très forts : « assassins ridicules ». Le premier terme dénonce la violence meurtrière, le deuxième l'absence de raison des hommes. Il se sent une âme de justicier, et l'image « d'écraser de trois coups de pieds toute cette fourmilière » remet l'homme à sa place microscopique dans l'univers. Ce regard sans concession sur l'homme s'accompagne d'une dénonciation et d'une condamnation de la guerre. On peut remarquer l'amplification de la durée : « l'heure où je vous parle »

l’on veut n’est pas synonyme de liberté, mais de sauvagerie. L’homme agirait selon ses pulsions et ses désirs s’il était ainsi livré à lui-même. Cette société est certainement plus sauvage que celle des animaux, qui s’organisent (en meutes ou en fourmilières par exemple) en établissant instinctivement des règles. Or, d’après Freud, l’homme est naturellement violent. « L’homme est un loup pour l’homme ». L’homme a des désirs de domination, de supériorité sur l’autre. Le fort viendrait forcément à dominer

Pointillisme, reflets et atmosphères dans la description Le pointillisme, l’importance accordée aux reflets, l’attention aux atmosphères sont solidaires de ces perspectives : «une foule active de points noirs emportés dans un mouvement de fourmilière » (Une page d’amour), une «vapeur de tabac» voilant de son fin brouillard la scène des Folies Bergère (Bel-Ami), les « ombres des feuilles » dansant sur la nappe ensoleillée du Moulin d’Argent (L ‘Assommoir), les glaces reflétant la grasse Lisa

de l'essence » =>« les sirènes qui résonnent », « le murmure de la rue » =>« le cœur de la ville qui cogne dans ma poitrine », « jusqu'au bout de mes phalanges » =>« les passants se mélangent », « foule quand ça grouille », « rires et cris », « fourmilière », « agitation », « désordre », « bordel », « pagaille »... =>« aimer le murmure de la rue et l'odeur de l'essence », « une envie de croiser du mouvement et des visages », « qui m'égayent », « l'amour de ce désordre »... =>connotations en général

serait contraire a celle de Platon. En effet, un héros qui se bat contre le système, un personnage qui préfère quitter un univers familier pour s’aventurer dans l’inconnue, THX se bat contre la société. Ils tentent d’échapper à la monotonie de leur fourmilière, à s’extirper de l’obscurité afin d’atteindre le soleil. A l’instar de Platon, la lumière symbolise la quête du bien. Le soleil qui éclaire notre monde, rend visible toutes choses sur terre. Si le héros veut échapper au mensonge, il doit commencer

quand il les eut retrouvés, ils se moquèrent de lui, qui, dans sa simplicité, prétendait se diriger dans un monde où ils s'étaient perdus tous deux, eux qui avaient bien plus d'esprit que lui. S'étant mis ensemble en chemin, ils rencontrèrent une fourmilière. Les deux aînés voulaient la bouleverser pour s'amuser de l'anxiété des petites fourmis, et les voir courir de tous côtés en emportant leurs œufs; mais le petit nigaud leur dit : « Laissez en paix ces animaux, je ne souffrirai pas qu'on les trouble

force créatrice qu’il exprime dans ses longues descriptions de bâtiments, de machines, qui font de ses éléments de décor des personnages à part entière. Le Bonheur des dames en pleine effervescence est, par exemple, plusieurs fois décrit comme une fourmilière où s’entassent des tissus. De part leur talent littéraire, les écrivains s’éloignent forcément du simple conte rendu, froid et plat, du scientifique pour nous emmener là où ils aimeraient aller.