Fourmilière

l’équerre et au compas, les forêts fauchées, les collines anéanties, vallons et fleuves dans les fers Je voyais le pays aux quatre coins de l’horizon sous la grille tracée par les Doubles routes de fer Je voyais les peuples du Sud comme une fourmilière de silence Au travail Peuples du Sud dans les sentiers, les ports les mines les manufactures Et le soir ségrégé dans les kraals de la misère Pouvais-je rester sourd à tant de souffrances bafouées ? » (121-122) Il devait, pour cela, s’opposer

bien plutôt un rappel au désordre. La société ne dispose que de trop de contraintes pour niveler les aspirations divergentes de ses membres. Un danger mortel la menace : celui de glisser vers l’organisation massive et figée de la ruche ou de la fourmilière. Ce danger n’est pas théorique. Il est facile de citer dans le passé et dans le présent nombre de nations où un ordre tyrannique a écrasé tout jaillissement créateur individuel. Et il ne faudrait pas croire que cette discipline bestiale se rachète

l'étoile Sirius dans la planète de Saturne. Dans une de ces planètes qui tournent autour de l'étoile nommée Sirius il y avait un jeune homme de beaucoup d'esprit, que j'ai eu l'honneur de connaître dans le dernier voyage qu'il fit sur notre petite fourmilière; il s'appelait Micromégas[1], nom qui convient fort à tous les grands. Il avait huit lieues de haut: j'entends par huit lieues, vingt−quatre mille pas géométriques de cinq pieds chacun. [1] De micros, petit, et de megas, grand. B. Quelques géomètres[2]

la théorie de l’architecture est de réfléchir sur le fait architectural: Son origine : Est-il un fait universel commun à toutes les civilisations? Peut-on considérer les constructions de certaines espèces animales telles qu’une ruche ou une fourmilière, comme une oeuvre d’architecture? Malgré le fait que celles possèdent toutes les qualités structurales et formelles qui en font apparemment une œuvre d’architecture L’architecture est-elle un art ou un métier qu’on peut pratique avec plus

la terre qu’ils habitent. Il recourra, en effet, à diverses périphrases dévalorisantes pour (ne pas) la nommer. Il s’agira tantôt de « notre globe » (l. 12), tantôt de « notre petite terre » (l. 15, nous soul.), tantôt encore de « notre petite fourmilière » (l. 4, nous soul.), quand ce ne sera pas de notre « petit tas de boue » (l. 52-53, nous soul.). Les périphrases dévalorisantes, la répétition de l’adjectif (péjoratif dans ce cas) « petit », la comparaison indirecte des humains avec les « fourmis »

totalement novateurs pour l'époque. Bien loin d'Hitchcock l'idée d'une mise en scène de facture classique qui suivra les règles de bienséances dictées par le code Hayes censeur d'Hollywood a l'époque. Non, l'idée est de mettre un coup de pied dans la fourmilière sans pour autant voir son film interdit. Ainsi que voit on? Une succession de plans qui s'enchainent a une vitesse brutale, ponctuée par l'incroyable musique de Bernard Hermann (des violons stridents comme des coups de poignards), les cris de Janet

communication avec l’extérieur. La côte basse et toujours droite est inhospitalière comme celle du Sahara, et une éternelle ligne de brisants en défend l’abord aux navires. On aperçoit aussi ce que l’on n’avait pas vu du large : ce sont d’immenses fourmilières humaines sur le rivage, des milliers et des milliers de cases de chaume, des huttes lilliputiennes aux toits pointus, où grouille une population nègre. Ce sont deux grandes villes Yolofes, Guet–N’Dar et Ndar–Toute, qui séparent Saint–Louis de la

cachés. Dans Le Crépuscule du soir, le poète associe la nuit aux méfaits de l’Homme. Vols, crimes, prostitution : ce sont des éléments inhérents à la nature humaine, en particulier en pleine obscurité. La prostitution est d’ailleurs comparée à une « fourmilière » (v.16), illustrant que ce n’est pas un phénomène mineur, mais qui est représentatif de l’horreur humaine. Dans Le Jeu, c’est le désir de séduction des courtisanes qui est mis au premier plan : vulgaires et vieilles, elles sont des allégories de

deux Grands s’affrontent indirectement dans des guerres bien réelles.  II- L'équilibre de la guerre froide (1953-1956) La densité moyenne de la population chinoise est très peu significative : en effet, il existe un contraste extrême entre les fourmilières humaines de la Chine orientale et la Chine désertique de l'Ouest (à l'ouest du 100ème méridien et au Nord). 2.1 Une courte détente  Elle est générée par les changements des chefs d' Etat soviétique et américain. En premier lieu, la mort de Staline

vers 16 et 22 « Qui de le voir s’aventurant » et « Jusqu'à sauter sur l’épaule du roi », de plus on remarquer qu’elles se suivent, aux vers 18 à 21 « Elle approcha, mais en tremblant. Une autre la suivit, une autre en fit autant, Il en vint une fourmilière ; Et leur troupe à la fin se rendit familière ». Puis elles veulent d’un roi « qui se remue » au vers 25. Vient alors le troisième régime, assez arbitraire et violent avec les termes au vers 27 « Croque, tue, gobe » et par l’expression « à son plaisir »