Fra Angelico

typiquement français : hautes toitures et cheminées, escaliers en colimaçons. - emprunt de l’Italie : arabesques, rinceau et médaillon. Peinture : Au 15eme siècle : Belgique : les primitifs flamands Italie : Fra Angelico, Masaccio Au 16eme siècle : Les rois font appel à des artistes Italiens et Flamands. Groupe principal : Fontainebleu Portrait : Clouet. Au 17eme siècle : La France n’a plus

Mais l'on peut dire, que la recherche de la perspective rigoureuse effectuée ici, incarne les préoccupations nouvelles des artistes du Quattrocento pour accéder à un certain réalisme. Nous pourrions comparer cette oeuvre à celle effectuée par Fra Angelico. On constate que la structuration de l'espace n'est pas aussi poussée que chez Piero. En effet, celle-ci demeure assez sobre, il n'y a pas autant de détail dans les marbres et ornements du palais. De plus, aucun élément ne fait réellement référence

lorsque l'enduit est sec à l'issue de la journée, il n'est plus possible d'intervenir sur la peinture, sinon au moyen de la peinture à sec. Elle est utilisé des l’antiquité. Grand vestiges retrouvé a Pompéi, au MA. Les artistes les plus connu sont Fra Angelico et Giotto. Le renouveau de la fresque n’a pas lieu en Italie mais en France, en effet la France est devenue un pole attractif au niveau de l’art et de son marché. Aux beaux arts est créé un atelier « Fresque » au 19ème siècle. Un fresquiste

est mourante. Comme pour la mère à l’enfant mort, la douleur est exprimée par la langue pointue comme un couteau. La lance, qui transperce le flanc du cheval, rappelle celle qui blesse la poitrine du Christ dans de nombreux tableaux religieux (Fra Angelico Saint Longin perçant le Christ de sa lance 1440) ANALYSER *Le soldat mort au glaive baissé : il représente la liberté héroïque. Ce personnage porte toute la violence de la guerre. Son corps est morcelé et décapité. * La porteuse de lumière

première fois en tant qu'assistant aux côtés de Domenico Veneziano, avec lequel il peint la très connue fresque la Vie de la vierge. En 1445, il a eu le temps de se faire connaître et de rencontrer de nombreux peintres de son époque, à l'instar de Fra Angelico, Brunelleschi, dont il s'inspire parfois pour ses œuvres. En 1463, il retourne dans sa ville natale pour peindre "La résurrection". La ville lui demande une oeuvre pour l'hôtel de ville (ce sujet peut paraître étrange pour une institution, mais

volutes sont composées de courbes et contre courbes. La façade polychrome (de plusieurs couleurs) suit la tradition toscane. Les cercles des volutes font écho à la rose gothique. C. La peinture à Florence au début du Quattrocento : Masaccio, Fra Angelico, Fra Filippo Lippi, Paclo Uccello, Castagno Alberti écrit en 1435 un traité sur la peinture, De Pictura, dans lequel il insiste sur la perspective géométrique et linéaire qui montre que les connaissances mathématiques nécessaire au peintre fond

étudié à l’école florentine. Il s’inspire de l’antiquité et met en place les bases de la perspective, il oppose le gothique tardif à une nouvelle façon de représenter le monde. Plus tard, des maîtres de l’école florentine tels que Filippo Lippi et Fra Angelico auront été particulièrement sensibles à ses leçons de perspective. Il est considéré comme un novateur par ses contemporains et il laisse derrière lui une œuvre architecturale, principalement à Florence dans la dernière moitié de Quattrocento*

‘Ecole des Hautes études en sciences sociales, il a publié des livres qui ont fait date comme Fra Angelico, Dissemblance et Figuration, Devant l’image, Devant le temps, L’Image ouverte. Motifs de l’incarnation dans les arts visuels. Georges Didi-Huberman Philosophe et historien de l’art professeur à ‘Ecole des Hautes études en sciences sociales, il a publié des livres qui ont fait date comme Fra Angelico, Dissemblance et Figuration, Devant l’image, Devant le temps, L’Image ouverte. Motifs de l’incarnation

fresque sur murs, plafonds et voûtes Les effets de lumières et d’ombres (clair-obscur, grisaille) Les artistes liés au style de la renaissance sont fort nombreux, à commencer par les italiens tels Leonard de Vinci, Michelangelo Buonarroti, Raphael, Fra Angelico. Leonard de Vinci Personnage emblématique résumant a lui seul la Renaissance italienne, homme inquiet et multiple constamment insatisfait de ses résultats, Leonard de Vinci, capable de passer indifféremment de 1'art a la science, échappe à

monumentaux de Masaccio et de Fra Angelico. Si les influences gothiques sont encore présentes au début, la maîtrise mathématique du traité perspectif va donner au mouvement son identité propre. A Urbino, la peinture est dominée par la personne de Piero della Francesca. Mathématicien hors pair, il s’exprime à travers une peinture au traité scientifique où la perspective et l’étude la lumière vont faire l’admiration de ses contemporains. Successeur de Masaccio, Fra Filippo Lippi va donner une place