Fragment 139 Blaise Pascal

QU’EST-CE QUE LES « PENSÉES » ? Après sa mort, la famille de Pascal découvre dans ses papiers de nombreux manuscrits et imprimés. Gilberte et Florin Périer commencent alors un important travail d'édition qui a littéralement fondé la gloire de Pascal : en 1663 paraissent chez Desprez L'Equilibre des liqueurs et la pesanteur de la masse de l'air, puis en 1665 le Traité du triangle arithmétique ; en 1666, ils prennent un privilège pour les « Fragments et Pensées... sur diverses matières » dont sortira en 1670

de Lorient) « À cause de la faiblesse de nos sens, nous sommes impuissants à distinguer la vérité. » (Anaxagore, Fragments) « Nous connaissons la vérité non seulement par la raison mais encore par le cœur, c’est de cette dernière sorte que nous connaissons les premiers prin- cipes, et c’est en vain que le raisonnement, qui n’y a point de part, essaie de les combattre. » (Blaise Pascal, Pensées) « Le vrai consiste simplement dans ce qui est avantageux pour notre pensée, de même que le juste consiste

de Lorient) « À cause de la faiblesse de nos sens, nous sommes impuissants à distinguer la vérité. » (Anaxagore, Fragments) « Nous connaissons la vérité non seulement par la raison mais encore par le cœur, c’est de cette dernière sorte que nous connaissons les premiers prin- cipes, et c’est en vain que le raisonnement, qui n’y a point de part, essaie de les combattre. » (Blaise Pascal, Pensées) « Le vrai consiste simplement dans ce qui est avantageux pour notre pensée, de même que le juste consiste

bonheur ne se rencontre chez aucun de ceux qui voient le soleil ». Théogonis de Mégare, Elégies I. 4. « On se fait une fausse idée du bonheur qu’on n’a point éprouvé. Rien de pire que le préjugé, rien de préférable à l’expérience. » Théogonis, Fragments. 5. « On veut être heureux, mais on prend l’instrument du bonheur pour le bonheur lui-même ». Sénèque, Lettres à Lucilius. 6. « Le dernier degré du bonheur est l’absence de tout mal » Epicure. 7. « Il faut avoir le souci de ce qui produit

liberté de pensée qui ne troublait jamais l’harmonie et l’accord de leurs sentiments mutuels »240. « le militaire philosophe, le sage persécuté et courageux, la mort de Socrate, la philosophie mise dans la vie et dans l’action, la discussion avec Pascal, la réhabilitation de l’homme contre le pessimisme chrétien, le respect de l’Être suprême opposé à l’athéisme contemporain, ces images, ces thèmes, ces idées, se réunissaient pour Voltaire dans la figure de Vauvenargues idéalisé par le souvenir »241

intergénéricité des deux textes……………………….73 1- Les genres de fragments communs dans Simorgh et Laëzza …………….77 a- Le récit………………………………………………………………...77 1- Le récit de fiction…………………………………………………..78 2- Le récit autobiographique…………………………………………..83 b- Fragments hétérogènes inclassables…………………………………..84 1- Genres communs aux fragments hétérogènes inclassables………...85 2- Genres non communs aux fragments hétérogènes inclassables……96 2- Les genres de fragments non communs aux deux textes Simorgh Laëzza.........

recommence à voltiger le va-et-vient des torches colombes » Lieu du théâtre : forêt (instinct dionysiaque) chant du bouc tragos. Mur de Chalamond : scène sur laquelle se trouve le loup : silence et regard du loup : « solennité et silence » : p 139. Leitmotiv dans le texte. C)Aspect cathartique de l’émotion théâtrale. Le cérémonial spectaculaire déployé pour traquer le loup constitue pour les villageois une forme de catharsis au sens théâtral du terme; en effet une des fonctions selon Aristote

Jérusalem un peu avant la Pâque de 30137 dans l'épisode dit des « marchands du temple »138, qui a pu précipiter son arrestation136. Enfin, l'avant-veille de la fête juive de la Pessa'h, Jésus prend un dernier repas avec ses disciples dans une ambiance pascale 139, dans un épisode appelé traditionnellement la « Cène », au cours duquel il fait explicitement mention de sa mort prochaine qu'il lie au renouvellement définitif de l'Alliance139. Les chrétiens de toutes tendances considèrent qu'il institue ainsi140

l’Orient, Paris, Zulma, 1996. - La Vie à l’endroit, Paris, Grasset, 1997 ; rééd. : Grasset, 1999, coll. « Le Livre de Poche ». 2 - « L’Éponge », L’Express, n° 2572, Paris, 19 octobre 2000, p. 94. - Fascination, Paris, Grasset, 2000. - Cinq fragments du désert, Alger, Éd. Barzakh, 2001, coll. « L’œil du désert » ; rééd. : La Tour d’Aigues, Éditions de l’aube, 2002, coll. « Regards croisés ». - Les Funérailles, Paris, Grasset, 2003. II. É TUDES SUR R ACHID B OUDJEDRA 1. OUVRAGES COLLECTIFS

U54 1966 v.001; CÉTUQ. Aubry, André, «La vision tragique de Georges Bernanos dans La Joie», mémoire de maîtrise, 1962, ii, 191 p. Dir. : Pierre Angers. Cote : UdeM D. Thèses PQ 35 U54 1962 v.005; UdeM L.S.H. PQ 35 U54 1962 v.005. Aubry, Jean-Marie, «Pascal : résonnances jansénistes dans les Pensées», mémoire de maîtrise, 1951, vi, 112 p. Cote : UdeM D. Thèses PQ 35 U54 1951 v.008; UdeM L.S.H. PQ 35 U54 1951 v.008. Babinski, Richard, «Copernic humaniste», mémoire de maîtrise, 1966, viii, 113 p. Cote