Franc-tireur

mois après la parution du premier numéro. Sous divers pseudonymes dont celui d'Aubrac, Lucie et Raymond contribuent à faire de Libération le mouvement de résistance le plus important dans le sud de la France après le mouvement de Combat fondé par Henri Frenay et les FTP également appelés Francs-tireurs et partisans français (FTPF), qui est le mouvement de résistance intérieure française créé par la direction du Parti communiste français. Emmanuel d'Astier très satisfait du savoir faire de Raymond et

L’Affiche Rouge C’est une affiche de propagande nazie diffusée en France au début de l’année 1944. Elle fut produite à 150 000 exemplaires et fut réalisé par le CEA (comité d’étude antibolchévique), un organisme de propagande franco-allemand à la demande des Allemands qui voulaient frapper un grand coup après l’assassinat du général Ritter (chef du STO en France) par le réseau Manouchian. La France est occupée depuis sa capitulation le 22 juin 1940. Elle est divisée en deux zones, séparée par

1944, que les murs de Paris sont couverts de grandes affiches rouges. Ce sont des affiches de propagandes nazies, faisant état de l’exécution au mont Valérien de 23 résistants dénoncer par Hitler comme des terroristes qui sont membres d’un groupe Francs-Tireurs et Partisans (FTP) dont le chef se nomme Missak Manouchian. Il est né en Arménie 36 ans plus tôt et a été marqué par le génocide des arméniens (avril 1915 à juillet 1916). C’est de la propagande anti-communiste, xénophobe et antisémite car la

résistants parmi les vingt-trois qui allaient être condamnés à mort et fusillés, au mont Valérien le 21 février 1944. Ces hommes, qui appartenaient au « groupe Manouchian » – du nom de leur chef du moment, Missak Manouchian –, étaient des membres des Francs-tireurs et partisans de la M.O.I.Cette affiche est composée de dix médaillons, portraits en noir et blanc cerclés de noir et disposés symétriquement. Les médaillons conduisent le regard vers cinq photos disposées en bas de l’affiche. Chaque médaillon

A la suite de la capitulation française et de l’armistice signée à Rethondes le 22 juin 1940, le Régime de Vichy est mis en place en France, avec à sa tête le maréchal Pétain. Celui-ci prône la « Collaboration » avec l’Allemagne dans l’espoir d’obtenir des contreparties (comme par exemple le retour de prisonniers de guerre) et pour faire de la France le partenaire privilégié d’Adolf Hitler dans l’Europe nazie en cas de victoire allemande définitive. Certains intellectuels suivent le Maréchal

En guerre contre l'Allemagne depuis le 1er septembre 1939, la France est envahie par les troupes hitlériennes le 10 mai 1940. Ecrasées, les troupes françaises ne peuvent freiner l'avance des Allemands. Le 14 juin, ces derniers sont à Paris. Réfugié à Bordeaux, le gouvernement français se dote le 16 juin d'un nouveau chef, le maréchal Pétain, qui proclame l'armistice puis choisit une politique de collaboration avec le IIIe Reich. Mais certains civils et militaires refusent ces choix et entrent en

La France de 1945 à nos jours Chapitre 1 : Bilan et mémoires de la Seconde Guerre mondiale En 1945, la France est meurtrie et ruinée, le traumatisme de la guerre est encore profond. Le général de Gaulle est alors partisan de l’unité nationale : « La France éternelle, libre, combattante, Vichy fut toujours nul et non avenu ». Jusqu’au 70s se maintient le mythe d’un pays majoritairement résistant mais les travaux de Paxton sur la France de Vichy en 1972 et de Rousso en 1997 remettent le mythe en cause

L’affiche rouge Point de vue historique • Groupe Manouchian Groupe de résistants et de résistantes, composé à partir de 1942, ils font partis du groupe de résistance « Francs-Tireurs et partisans _ main d’œuvres immigré ». Ils combattent contre l’occupation Allemande. Ils deviennent rapidement célèbres pour leurs coups d’états : assassinats d’Allemands et de collaborateurs, sabotages de convois Allemands mais surtout pour l’assassinat de Ritter. • En 1944, 23 d’entre eux se font arrêter suite

 L'Affiche Rouge I Contexte Dès l'été 1943, le groupe FTP-MOI (Francs-Tireurs et Partisans – Main d'Œuvre Immigrée), composé de travailleurs immigrés et lié au Parti communiste, se lance dans la lutte armée contre l'occupant. Des dizaines de sabotages et d'attentats sont organisés avant que le groupe, dirigé par Manouchian, ne soit arrêté en novembre. Jugés par un tribunal allemand, les membres du groupe sont condamnés à mort. L’affiche a été réalisée par les services de propagande allemands

d'avertir un couple de vieillards qui passe, Anton et Anya. Anya devient messagère de ce mot d'amour. Elle vole jusqu'au pont, tandis que Gorgio, un franc-tireur repentant, promet de ramener une ambulance. Chacun devient la sentinelle de l'amour dans ce monde de massacres et de haine. Les personnages : Gorgio : Sans doute l’assassin de Marie, c’est un franc tireur il a quitté sa famille a cause de son père. Gorgio porte dans sa poche un carnet en moleskine où il y a des phrases d’écrites son carnet le rassure