France-Soir

Danglard toujours, qui n’est pas exactement de très bonne humeur. Le soir de Noel un crime a été commis, ce qui choque Danglard ; l’enquête permet de faire la connaissance d’un ivrogne très sympathique qui les mettra d’ailleurs sur la piste du meurtrier. "La Nuit des Brutes" m’a particulièrement plu car - par l’entremise du commissaire - l’auteur expose quelques théories sur Noël, que je partage totalement. La 3ème nouvelle : "Cinq francs pièce" m’a paru d’un régistre un peu plus faible que les précédentes

Gabriel, à la gare d’Austerlitz, attend l’arrivée de sa nièce, Zazie, «une mouflette» que lui confie pour deux jours sa mère, Jeanne Lalochère, qui vient voir un «Jules» à Paris. Zazie a son franc parler, le sens de la répartie et n'est pas du genre à se laisser impressionner. Elle voudrait découvrir le métro, mais il y a une grève. Zazie et son oncle prennent donc le taxi de Charles, un ami de Gabriel. Itinéraire imprécis car les deux compères sont incapables de s’accorder sur le nom des bâtiments

(avoir) ……… des nuages à bordeaux, il fait froid. Demain, il y (avoir) ………..du soleil et il (faire) ……….chaud et beau. Il y a de gros nuages gris, il (pleuvoir) ………… Il (faire) …………froid, je ne (sortir) ………..pas ce soir. Il y a du soleil, il (faire) …………….chaud. C) Reliez les débuts de phrase de gauche aux fins de phrase de droite afin de découvrir des expressions idiomatiques françaises : 1) Il pleut

proposer des vêtements fluides, larges, à couleurs vives, à motifs, avec formes géométriques. La mini skirt C’est à Londres au début des années 60 que la « mini skirt » fait son apparition, grâce à Mary Quant. La tendance déferle bientôt en France, en symbole de l’indépendance féminine. Le couturier vedette des années 1960, André Courrèges, est le premier à se saisir du phénomène en faisant de la mini jupe la pièce phare de sa collection printemps-été 1965. La mini jupe se porte avec des bottes

|À vingt-six ans, Jacques avait épousé Félicie, une grande belle fille de dix-huit ans, la nièce d'une fruitière| | |de La Villette (3), qui lui louait une chambre. Lui, était ciseleur (4) sur métaux et gagnait jusqu'à des douze| | |francs pas jour (5); elle, avait d'abord été couturière; mais, comme ils eurent tout de suite un garçon, elle | | |arriva bien juste à nourrir le petit et à soigner le ménage. Eugène poussait gaillardement. Neuf ans plus tard,| |10 |une fille

Commentaire Le recueil retrace les premières atteintes de la blessure de l’exil qui devint centrale dans la vie et l’oeuvre de Depestre. ____________________________________________________________ _____________________ René Depestre ayant, en France, participé activement aux mouvements en faveur de la décolonisation, fut expulsé. Il trouva un asile précaire à Prague. Au château de Dobris, lieu de séjour des écrivains tchécoslovaques, il rencontra Jorge Amado, Pablo Neruda, V. Nezval, Ilya Ehrenbourg

– Début des années 2000 = recule mondial de la vente des quotidiens, de la diffusion. – La lecture régulière baisse mais la non-lecture ne progresse pas = occasionnalité de lecture – Magasine = principaux concurrent du quotidien, en France. – Le lancement des « gratuits » compliquent les choses. – Moins d'audience = moins d'annonceur et de recettes publicitaire. I-Repères historiques : – Prémices du quotidien = premières relations écrite d'évènements important.

1918 et mort en 2009, est un écrivain et homme politique. Il a participé à la résistance en rejoignant Londres en 1943. Contexte historique : Suite à la défaite de la France en 1940, le pays est sous domination Nazi. En 1943, l’Axe perd ses premières batailles. Il y a une mise en place du STO (Service Travail Obligatoire) en France et le pays n’est plus divisé en deux mais en une seule partie Allemande. Ainsi la pression augmente et les actions de résistance deviennent plus importantes. Afin de donner

s’essaya à la guitare mais découvre aussi le piano, la mandoline, le saxophone, l'harmonica et la flûte de Pan. Il suit les cours du Northern Counties College of Education de 1971 à 1974. C'est pendant ces années qu'il joue avec des groupes de jazz le soir et les week-ends. Son surnom de « sting » lui est attribué en 1972 après le concert d'un de ces groupes, les « Phoenix Jazzmen », alors qu'il portait un pull noir à rayures jaunes sur scène. il ressemblait à une abeille, d'où le nom « sting » quiveut

chère mère, Je suis bien arrivé à Paris. Je vous écris en ce moment du petit café, qui se trouve sur les Champs-Elisées. C'est une très belle ville, même si je m'attendais à mieux. Je me demande encore si j'ai bien fait de venir. Mon costume à 60 francs est un habit beaucoup plus chic que ceux des passants. J'ai réussi à me louer un grand appartement pas très cher, près du Centre-ville. Il compte en tout une centaine de mètres carrés. Je sais, il est un peu grand mais j'ai rencontré quelqu'un. Une