Franco Gallia

d’Espagne et ne quittera l’armée qu’en 1713, peu avant sa fin. Il termine ensuite sa scolarité au collège d’Harcourt, puis entre comme novice chez les Jésuites. À partir de 1718 à 21ans, il s’engage à l’armée en tant qu’officier, et participe à la guerre franco-espagnole et décide en 1720 de se réfugier chez les Bénédictins ( Religieux de l'ordre de Saint Benoît ) où il fera ses voeux en 1721. Il vit par la suite dans différents monastères ( Où vivent les moines ) qui sont pour la plupart de tendance janséniste

tant quʼofficier aspirant, participe à la guerre franco-espagnole, déserte en 1718 et décide en 1720 de se réfugier chez les Bénédictins où il fera ses voeux en 1721. Il vit par la suite dans différents monastères qui sont pour la plupart de tendance janséniste. Prévost se consacre alors à lʼétude de la théologie, est ordonné prêtre et prononce des sermons. En 1727, il est envoyé au monastère parisien de Saint-Germain-des-Prés où il contribuera à la Gallia christiana, ouvrage historiographique collectif

l’armée en tant qu’officier, participe à la guerre franco-espagnole, déserte en 1718 et décide en 1720 de se réfugier chez les Bénédictins. Il vit par la suite dans différents monastères. Prévost se consacre alors à l’étude de la théologie, est ordonné prêtre et prononce des sermons. En 1727, il est envoyé au monastère parisien de Saint-Germain-des-Prés où il contribuera à la Gallia christiana, ouvrage historiographique collectif en plusieurs

tant qu’officier aspirant, participe à la guerre franco-espagnole, déserte en 1718 et décide en 1720 de se réfugier chez les Bénédictins où il fera ses vœux en 1721. Il vit par la suite dans différents monastères qui sont pour la plupart de tendance janséniste. Prévost se consacre alors à l’étude de la théologie, est ordonné prêtre et prononce des sermons. En 1727, il est envoyé au monastère parisien de Saint-Germain-des-Prés où il contribuera à la Gallia Christiana, ouvrage historiographique collectif

succession d’Espagne.  En 1713, il quitte l’armée et reprend ses études au collège d'Harcourt puis entre comme novice chez les Jésuites. Prévost continue sa carrière après la guerre franco-espagnole à laquelle il a participé, comme ecclésiastique et il est ordonné prêtre. Il écrit, lui ainsi que d’autres auteurs, la Gallia Christiana, ouvrage historiographique des Bénédictins.  À cette époque, il rédige également ses "Mémoires d'un homme de qualité retiré du monde". Le volume VII de ces mémoires

habitants de la Gallia, pour désigner les Celtes installés dans la partie Ouest de l’Europe vers le 800 av. J.C. (alors même que d’autres Celtes s’étaient depuis le 2e millénaire avant J.C. répandus en Europe occidentale). Ce n'est qu'à la Renaissance que le nom latin de Galli est associé à son homonyme gallus = « coq », devenu ainsi l'animal emblématique de la France, à la place du cheval des Gaulois. Les mots français « Gaule » et « gaulois » sont les mots correspondant aux mots latins Gallia, Gallus et

Devoir Maison Histoire (p 68 – 69) édition nathan (2nd) Question 1: L'empereur s'adresse dans cette assemblée au sénat qui est une assemblée qui gère le fonctionnement de la république dans le but d'ouvrir les portes du sénat au meilleurs représentants de la Gaule romaine. Question 2: Pour défendre sa proposition l'empereur met en avant que les citoyens de la Gaule romaine, n'ont qu'une citoyenneté incomplète ; et que malgré la guerre qui les a opposé, ils ont fait preuve ensuite de fidélité

La Table claudienne était une plaque de bronze portant l'inscription d'un discours prononcé par l'empereur Claude, en 48, devant le Sénat romain. La table fut brisée : on en conserve aujourd'hui deux fragments, retrouvés à Lyon, dans le quartier de la Croix-Rousse, en 1528. L'utilisation du pluriel, les Tables claudiennes, est courante[1], mais elle est fautive : il n'existe qu'une seule Table claudienne, deux fragments d'une seule et même table ; en témoigne la traduction publiée par Philippe Fabia

Les Tables claudiennes : des Gaulois deviennent citoyens 1. Il s'agit d'une source directe car c'est un discours reproduit sur une table claudienne. 2. L'auteur de ce discours est l'empereur Claude en 48. 3. Les provinces citées sont l'Italie, la Narbonnaise et la Gaule chevelue (l'Aquitaine, la Belgique et la Lyonnaise) En effet, ces provinces sont romanisées car elles ont été conquises par les romains (Jules César plus précisément) Non, les « élites de la Gaule chevelue » ne peuvent

ces auteurs évoquent la Gaule au moment même où Rome entreprend le processus de sa conquête qui va s'opérer en deux grandes étapes : la première, qui concerne la Gaule méridionale, entre 125 et 121 et la seconde, qui concerne la Gaule dite chevelue (Gallia Comata), c'est-à-dire le reste des Gaules, entre 58 et 51 : “800 villes prises de force, 300 peuples soumis, un million d'ennemis tués, un autre million réduit en esclavage", selon le bilan terrible et laconique de Plutarque (Vie de César, 19).