Frankenstein Lumière Obscurité

Frankenstein ou le prométhée moderne de Mary Shelley SHELLEY (M.), Frankenstein ou le prométhée moderne, Paris, GF Flammarion, 1979, 371 Recherhce au dictionnaire les mots de vocabulaire suivants: Le galvanisme: Action de courants électriques continus sur les organes vivants (nerfs, muscles). La mélancolie: tristesse, abattement, dégoût de la vie. La démence: Ensemble des troubles mentaux graves. Le démon: Ange révolté contre Dieu, rejeté par lui (déchu), qui pousse les hommes

au sens propre du terme. Pour cela, divers moyens sont utilisés, tels que la bande son plus inquiétante et imposante que dans les films d’horreur. Le climat créer est oppressant, avec tous les ingrédients pour se sentir angoissé. Hallucinations, obscurité, confinement, situation impossibles. La peur est créée par la surprise d’une séquence d’image souvent rapide qui jaillit d’un coup avec un effet sonore lourd et strident. -[1/11]- Augé Clément L2 Anglais ADS Les Genres Cinématographiques

rende…” A ce mot, ce héros expiré N’a laissé dans mes bras qu’un corps défiguré, Triste objet, où des dieux triomphe la colère. Et que méconnaîtrait l’oeil même de son père. Texte C : Mary W Shelley, Frankenstein ou le Prométhée moderne, 1817 (la créature de Frankenstein) Le professeur Frankenstein passionné par ses études scientifiques réussit après des jours et des nuits de travail à trouver le secret de la génération de la vie. Désireux de créer des être bons et heureux qu’il pourrait sauver de

d’abord né en Angleterre il s’est poursuivi en Allemagne et ensuite en France et a cela il y’a plusieurs raisons ( pas seulement littéraires mais aussi sociale ou psychologique ). 18 eme siecle = siecle des lumières car les philosophes ont pour but de faire sortir les hommes de leur obscurité, le siecle aussi de la raison ( la rationalité qu’on utilise ) mais il existe et se développe ( dans la 2eme moitié ) tout une émergence qui favorise la sensibilité, l’imagination, le rêve, la nature et les

de maché, le combat) ; polemos (la guerre) ; até (selon Homère, fille aînée de Zeus, divinité de la fatalité, incarnant la folie et l’égarement). Tous ces mots disent une forme de querelle au sein de l’Être de l’homme « en tant qu’il recèle une obscurité première que rien ne permet de lever tout à fait » (B. Sichère, Histoires du mal). La notion de fatalité est primordiale pour les grecs de l’antiquité. On l’appelle tuké (fortune, hasard, sort, destin). Robert Veron, dans un ouvrage intitulé Le mal

funéraires » (p. 19) ; 2 — des images macabres : la marchande de bijoux faux « enfermée dans une des armoires », tel un cercueil (p. 18), la muraille « toute couturée de cicatrices » qui fait songer au personnage de mort-vivant crée par Mary Shelley, Frankenstein ; — une atmosphère sombre et pesante qui évoque la mort : « obscures » (p. 17), « écrasées » (p. 17), « noire » (p. 18), « souterraine » (p. 19) ; — le champ lexical de la peur et de l’étrange qui renvoie à la peur de la mort : « formes bizarres

Anne Carrière, 1994 Sur le bord de la rivière Piedra je me suis assise et j'ai pleure, éd. Anne Carrière, 1995 Le Pèlerin de Compostelle, éd. Anne Carrière, 1996 La Cinquième Montagne, éd. Anne Carrière, 1998 Manuel du guerrier de la lumière, éd. Anne Carrière, 1998 Conversations avec Paulo Coelho, éd. Anne Carrière, 1999 Le Demonet Mademoiselle Prym, éd. Anne Carrière, 2001 Onze Minutes, éd. Anne Carrière, 2003 Maktub, éd. Anne Carrière, 2004 Le Zahir, Flammarion, 2005 Comme

Anne Carrière, 1994 éd. Sur le bord de la rivière Piedra je me suis assise et j'ai éd. Anne Carrière, 1995 pleure, Le Pèlerin de Compostelle, éd. Anne Carrière, 1996 La Cinquième Montagne, éd. Anne Carrière, 1998 Manuel du guerrier de la lumière, éd. Anne Carrière, 1998 Conversations avec Paulo Coelho, éd. Anne Carrière, 1999 Le Demonet Mademoiselle Prym, éd. Anne Carrière, 2001 Onze Minutes, éd. Anne Carrière, 2003 Maktub, éd. Anne Carrière, 2004 Le Zahir, Flammarion, 2005 Comme

enfin récompensée. C’était par une belle nuit sèche ; il y avait de la gelée dans l’air ; les rues étaient nettes comme le parquet d’une salle de bal ; les réverbères, que ne faisait vaciller aucun souffle, dessinaient leurs schémas réguliers de lumière et d’ombre. À dix heures, quand les boutiques se fermaient, la petite rue devenait très déserte et, en dépit du sourd grondement de Londres qui s’élevait de tout à l’entour, très silencieuse. Les plus petits sons portaient au loin : les bruits

L'Alchimiste, éd. Anne Carrière, 1994 Sur le bord de la rivière Piedra je me suis assise et j'ai pleuré, éd. Anne Carrière, 1995 Le Pèlerin de Compostelle, éd. Anne Carrière, 1996 La Cinquième Montagne, éd. Anne Carrière, 1998 Manuel du guerrier de la lumière, éd. Anne Carrière, 1998 Conversations avec Paulo Coelho, éd. Anne Carrière, 1999 Le Démon et Mademoiselle Prym, éd. Anne Carrière, 2001 Onze Minutes, éd. Anne Carrière, 2003 Maktub, éd. Anne Carrière, 2004 Le Zahir, Flammarion, 2005 Comme