Frankenstein Mary Shelley

1parcours initatique : roman d'apprentissage (de l'échec) 2Amante de Flaubert : inspiré de sa rencontre avec Elisa Schlesinger / louise collet 3romantisme noir ; sus genre du romantisme, qui exacèrbe le coté sombre et macabre du romantisme. Frankenstein de Mary Shelley (roman gothique) Romantisme : Avec la Révolution de 1789, on assiste à une remise en question des idéaux des Lumières. Le XIXe siècle marque un retour à des valeurs fondamentales : l’individualité, le cœur, la nature ; et voit l’apparition

contre nous a été très bien montré dès 1818 par l’auteur britannique Mary Shelley dans « Frankenstein ou le Prométhée moderne » où la science est vu comme un Hybris (que l’on pourrait traduire par la notion de démesure) c'est-à-dire que tel Prométhée qui en donnant le feu et la connaissance du bien et du mal aux hommes se voit condamné à se faire dévorer le foie par un vautour pour avoir voulu changer la nature vierge, Victor Frankenstein se trouve puni par la technique qu’il a utilisé pour améliorer selon

D’autant que selon B. Turber il y aurait eu un transfert, dès le XIXème siècle, de l’émotion du sublime traditionnel vers les sciences et les techniques, et dont la première expression littéraire de ce nouveau sublime serait le roman de Mary Shelley, Frankenstein ou le Prométhée moderne, en 1818. On peut, par ailleurs, distinguer deux grandes orientations : celle de la SF classique technoscientifique, à travers les thèmes des voyages dans le temps et dans l’espace, ayant un rapport idéaliste et métaphysique

positif doit |cabane et dévorent ses boîtes de conserves, du coup il devient compteur| |vaincre; on a alors les deux types de héros dans l'oeuvre: voir |de puces en arrivant aux Etats-unis (situation invraisemblable)...Mais | |Frankenstein de Mary Shelley, ou Dracula de Bram Stoker et la plupart |c'est aussi son langage provocant qui nous bouscule et nous aide à la | |des personnages maléfiques des romans de V. Hugo. |fois à regarder le monde.

les personnes perverses peu faciles à repérer parmi les personnes plus respectables. Une cohorte de personnages précurseurs du docteur Jekyll apparaissent : - Le célèbre Frankenstein crée par la romancière Mary Shelley en 1818 est inspiré par ses lectures des alchimistes du XVIème siècle. Le jeune savant Frankenstein cherche à pénétrer les plus profonds mystères de la création. Il va essayer d’animer la matière inanimée et réussir à infuser de la vie dans un cadavre qui deviendra sa créature

secrètes du feu et du sous-sol. N'oublions pas l'origine divine et sacrilège (un vol) de la technique, selon le mythe de Prométhée. L'effroi technophobe trouvera son paroxysme dans la mythologie contemporaine, largement nourrie du roman de Mary Shelley, Frankenstein ou le Prométhée moderne (1818). Le monstre y symbolise l'inquiétude d'une humanité dépassée par ses propres réalisations techniques, d'une technocratie (pouvoir technicien) incapable de maîtriser le produit de ses expériences. Il est vrai

cinéma scandinave Dreyer Vampyr Christensen Haxan Sjöstrom Korkarlen II.3 L’age d’or hollywoodien : 1931-1941 le Frankenstein de Mary Shelley, et, dès 1913, Docteur Jeckyll et Mr. Hyde , de Stevenson. Et Dracula de Bram Stoker sont adaptés : Par deux grands réalisateurs : Tod Browning (réalisation) : Freaks, Dracula (avec Bela Lugosi)  Ed wood de Burton et James Whale, Frankenstein (avec Karloff) - The Mummy Les délais devinrent de plus en plus longs pour réaliser des films, parce que les acteurs

de faire oublier, de faire rêver. Même si l'identification au héros peut paraître, parfois, compromise. Bien des œuvres littéraires portent en bandoulière l'excentricité et la démesure prométhéenne : le roman gothique (« Frankenstein, or the Moderne Prometheus », de Mary Shelley), les romans médiévaux « Notre-Dame de Paris » (1831)  de Victor Hugo, « Le Nom de la rose » (1980) d'Umberto Eco, les séries policières  d'Arthur Conan Doyle. Les auteurs mettent leur virtuosité narrative, leur habilité

mythe de l’autonomie A propos du mythe de la machine vivante/vivant machine : - fondement dans la métaphysique cartésienne - ce préjugé relève du «biocentrisme»/ «biomorphisme», soit penser la machine sur le modèle du vivant ∟Frankenstein (1818) de Mary Shelley (parmi d’autres roman et films de sciences fiction): - mutation de la technique en un être vivant - le monstre créé → caractéristiques que seuls l’homme et certains animaux possèdent (ex - éprouver des sentiments + vouloir se venger

en scène des géants pour le moins extraordinaires, au vrai sens du terme... Il est en d'ailleurs d'autres sous-genres romanesques qui se plaisent à recourir à l'imaginaire, tel le roman fantastique à partir du 19e siècle. À la lecture de Frankenstein de Mary Shelley, personne ne peut croire à la réalité du monstre issu du génie du docteur. Or ce personnage a fasciné dès 1818 un très large public, attiré non seulement par sa force et sa laideur bestiales, mais aussi par sa sensibilité et son intelligence