Franz Liszt

virtuose d'un concerto de Mozart. Après être entré aux conservatoire pour étudier l'orgue et la composition, il écrit sa première symphonie à 18 ans. Il acquiert une réputation de musicien extraordinaire, admiré par ses pairs parmi lesquels Berlioz et Liszt qui voient en lui le premier organiste du monde. En 1877, il compose son opéra «Samson et Dalila» à Weimar. A cette époque, il avait déjà fondé la "Société Nationale de Musique", qui avait pour but de promouvoir la musique française, par réaction aux

début de sa légende de virtuose (nous y revenons plus en détail dans notre biographie), elle n’enterre pourtant pas son talent de compositeur. Il mettra quatre ans avant de composer la moindre pièce (une cadence pour la Seconde rhapsodie hongroise de Liszt). A son exil du sol natal va s'ajouter la poursuite de son exil de la modernité musicale. Les succès de Stravinsky et de Prokofiev, le triomphe croissant des nouvelles théories vont accentuer encore son isolement. Après son exil, Rachmaninov devient

Charles X et prend la direction du Théâtre-Italien. Sa période de création française débute avec la cantate scénique : Le Voyage à Reims, écrite pour le couronnement de Charles X. Il mène à Paris une vie mondaine : on rencontre dans ses salons Liszt, Berlioz, Clara Schumann, Delacroix, Vigny et Victor Hugo, ainsi que les femmes du monde et les hommes politiques. Mais à trente-sept ans, le succès mitigé de Guillaume Tell face au triomphe de Robert le diable de Meyerbeer décident Rossini à

Rossini, Schubert, Bach, Beethoven, Brahms, Debussy, Schumann Rattle : Hans Werner Henze, Thomas Adès, Jörg Widmann, Sofia Gubaidulina, Heiner Goebbels, Brahms, Sibelius, Mahler, Bach, Stravinsky, Beethoven, Berlioz, Bizet, Britten, Bruckner, Debussy, Liszt, Ravel, Schoenberg, Schubert, Chostakovitch, Strauss, Tchaïkovski

rapproche de ce mouvement, mais c'est surtout à partir de 1821, avec le Freischütz de Carl Maria von Weber, puis avec les œuvres pour piano ou pour musique de chambre composées par Schubert que le romantisme s'impose. Plus tard, les pièces de Berlioz, de Liszt, de Schumann et de Wagner font du romantisme l'influence dominante dans la musique du milieu du dix-neuvième siècle. D'ailleurs, Brahms, Bruckner, Tchaïkovski puis Mahler vont permettre que ce courant tisse ses prolongements jusqu'au vingtième siècle

Beethoven), par la forme, par le style mélodique… Il est inspiré part des fait de sa vie pour écrire ses œuvres (voyage en Allemagne, lorsqu’il devient critique…). Pour chaque partitions d’orchestre ce il est influencé par des compositeurs comme Liszt, Weber, Beethoven et pleins d’autres encore. Berlioz a théorisé dans plusieurs textes critiques la notion de romantisme musical, il est connu d’ailleurs pour être un romantique très engagé. Il écrit ses mémoires, en 1848 et les terminas en 1854 mais

prend le pseudonyme de Charles de Launay en 1843. Malgré de nombreux détracteurs comme Charles Baudelaire ou Jules Barbey d'Aurevilly 3, George Sand était au centre de la vie intellectuelle de son époque, accueillant à Nohant-Vic ou à Palaiseau : Liszt, Marie d'Agoult, Balzac4, Flaubert5, Delacroix, et Victor Hugo, conseillant les uns, encourageant les autres. Elle s'est aussi illustrée par un engagement politique actif à partir de 1848, inspirant Alexandre Ledru-Rollin, participant au lancement

l'élève du pianiste Cossel, puis parfait sa formation d'instrumentiste auprès d'Eduard Marxen, professeur renommé qui l'initie à la composition. A 20 ans, il effectue une tournée de concerts en compagnie du violoniste Reményi. Il rencontre Joachim, Liszt, et surtout Schumann : lui et sa femme Clara nouent une grande amitié avec le jeune compositeur. Brahms est un compositeur, pianiste et chef d'orchestre allemand. Il est l'un des plus importants musiciens de la période romantique et est considéré

violoniste sans que plusieurs personnes s’évanouissent. Il exerçait une telle fascination sur le public qu’on le soupçonnait parfois de devoir son génie et sa virtuosité à un pacte avec le diable. Tous les grands virtuoses du piano romantique tels Liszt ou Kalkbrenner ont été stimulés par le désir de rivaliser sur leur instrument, avec Paganini, car le XIXe siècle marque aussi l’avènement du piano. Il est l’instrument roi et les perfectionnements et les qualités nouvelles de cet instrument ont contribués

Akadémiai Kiadó Stratégies narratives des "épopées philosophiques" de l'ère romantique dans l'oeuvre pianistique de F. Liszt Author(s): Márta Grabócz Reviewed work(s): Source: Studia Musicologica Academiae Scientiarum Hungaricae, T. 28, Fasc. 1/4 (1986), pp. 99115 Published by: Akadémiai Kiadó Stable URL: http://www.jstor.org/stable/902413 . Accessed: 28/10/2011 03:04 Your use of the JSTOR archive indicates your acceptance of the Terms & Conditions of Use, available at . http://www.jstor.org/page/info/about/policies/terms