Franz Liszt

(ainsi que son amour dévorant pour Harriet Smithson) lui permettent d'écrire la Symphonie fantastique, op. 14 qui enthousiasme Franz Liszt, mais provoque un grand scandale auprès d'un public qui ne se rend pas compte de la portée de l'œuvre : elle va relancer la « musique à programme » ou « musique descriptive » et trouver des prolongements dans toute la musique allemande (Liszt, Richard Strauss) et française (Saint-Saëns, Dukas, Franck, d'Indy) qui va suivre. Dès 1834, il se fait connaître comme critique

Le poème symphonique est l'une des formes de musique à programme, c'est enfait une musique pour orchestre symphonique* basée sur une idée extra-musicale. Le poème symphonique est une des formes du mouvements romantique et c'est le compositeur Franz Liszt qui en est le chez de file, ce mouvement inspire a rapprocher la peinture, le théate et la littérature de la musique, ce la devient une forme très importante de la musique à programme dans la seconde moitié du 19eme siècle. Le poème symphonique

Malgré de nombreux détracteurs comme Charles Baudelaire ou Jules Barbey d'Aurevilly[4], George Sand était au centre de la vie intellectuelle de son époque, accueillant au domaine de Nohant ou à Palaiseau des personnalités aussi différentes que Franz Liszt, Frédéric Chopin, Marie d'Agoult, Honoré de Balzac[5], Gustave Flaubert[6], Eugène Delacroix, et Victor Hugo, conseillant les uns, encourageant les autres. Elle s'est aussi illustrée par un engagement politique actif à partir de 1848, inspirant

période romantique, Frédéric Chopin est aussi l'un des plus célèbres pianistes du 19 éme siècle. Sa musique est encore aujourd'hui l'une des plus jouées et demeure un passage indispensable à la compréhension du répertoire pianistique universel. Avec Franz Liszt, il est le père de la technique moderne de son instrument et son influence est à l'origine de toute une lignée de compositeurs tels Gabriel Fauré,Maurice Ravel,Claude Debussy,Sergueï Rachmaninov,Alexandre Scriabine. Florian : Ses œuvres

compositeurs affirment leurs sensibilités, et également leurs musiques nationales respectives. L’utilisation de musiques populaires pour mettre en valeur le nationalisme est de plus en plus fréquente, comme en témoigne par exemple : Rhapsodies hongroise de Liszt (1850), Ma patrie de Smetana (1875). Les musiciens russes vont également mettre en valeur leurs chants nationaux populaires, avec le Groupe des Cinq (2). Comme dit précédemment, la musique apporte désormais un repère géographique. On observe alors

total de six ans avec trois maitres compositeurs. De 1827 à 1833, c’est à ce moment que Vincenzo Bellini est au maximum de sa célébrité dans la ville de Milan. Suite à cette gloire surnaturelle, Bellini fait la rencontre de Gioachino Rossini, Franz Liszt et Luigi Cherubini, pour finalement avoir la chance de travailler avec eux sur différentes œuvres. Il travailla entre autre avec Rossini sur l’opéra, Beatrice di tenda. Il finit donc son parcours en 1835, au cimetière du Père-Lachaise et est finalement

stylo à bille. Il déposera le brevet à Paris en 1938. Rachel Weisz et Adrien Brody sont d’origine hongroise. Rachel Weisz : « le retour de la momie », « Lovely Bones », « Jason Bourne », … Adrien Brody : « la ligne rouge », « King Kong », … Franz Liszt est un brillant compositeur hongrois, il a composé les 19 Rhapsodies hongroises en 1860. Victor Vasarely est un peintre né en 1908, dont l’art n’a été reconnu que dans les années 60. Il a conçu des œuvres très géométriques avec des effets d’optiques

lui-même caractérisé par trois états, est alors notamment désigné par le doute à travers la légende de Faust[3]. Musique [modifier] Musique classique [modifier] Oeuvres pour piano [modifier] * Mephisto-Valse de Franz Liszt ; Symphonique * Faust-Symphonie de Franz Liszt ; * Fantaisie sur le thème de Faust ou Faust-Fantaisie pour violon et accompagnement d' orchestre ou de piano de Henryk Wieniawski ; * Huitième Symphonie de Gustav Mahler ; * La damnation de Faust de Berlioz

Au début du XIXe siècle domine la personnalité de Ludwig van Beethoven. C'est la « saison du grand symphonisme allemand » et le XIXe sera aussi celle de l'opéra italien avec Gioachino Rossini puis Giuseppe Verdi, du romantisme pianistique avec Franz Liszt et Frédéric Chopin, et violonistique avec Paganini . C'est le siècle de la musique romantique. Dans la deuxième décennie du XX siècle, c’est la période de la musique moderne, riche en innovation harmonique et rythmique. Et enfin la deuxième partie

Joseph Massart (grand violoniste belge), de la classe duquel il sortit à 12 ans, partageant le premier prix avec d'autres élèves en 1887. À 14 ans, il effectua sa première tournée aux États-Unis, avec Moriz Rosenthal (pianiste polonais, élève de Franz Liszt et accompagnateur des plus grands musiciens de son époque). De retour en Europe, il consacra deux années à élargir son éducation (en étudiant l'art et la médecine) et son expérience (en passant une année dans l'armée autrichienne). La musique demeura