François Mauriac Le Jeune Homme

pauvre Albert Camus naît à Mondovi (Algérie) le 7 Novembre 1913. Il est le second enfant de Lucien Camus, ouvrier agricole et de Catherine Sintes, une jeune servante d'origine espagnole qui ne sait pas écrire et qui s'exprime difficilement. Lucien Camus est mobilisé pendant la première guerre mondiale et meurt lors de la Bataille de la Marne. Le jeune Albert ne connaîtra pas son père. Sa mère s'installe alors dans un des quartiers pauvres d'Alger, Belcourt. Grâce à l'aide de l'un de ses instituteurs

dans l’isolement et le chagrin avec sa mère, est le personnage principale du roman de Kamel Daoud « Meursault, contre-enquête ». Dans ce roman il ne laisse l’Arabe dans l’anonymat mais il donne aussi une histoire à cet homme inanimé par hasard sur une plage d’Alger. Haroun est un homme vieux et inaccoutumé, misogyne, et tourmenté par la frustration, il redonne un prénom à son frère tué impitoyablement par un certain meursault il y a 70ans à cause de brulure de soleil et de l’éblouissement. Avec sa

d'exemple à toute l'humanité. Dans son livre est entre autre écrit « Ni dans le cœur des individus, ni dans les meurs de la société, il n'y aura de paix durable tant que la peine de mort ne sera pas mise hors la loi. » Son « adversaire » fut François Mauriac qui dans sa rubrique quotidienne dans l' «Express » développe également son point de vue : il ne sait que penser, il ne sait que préférer entre l'abolition et la sauvegarde de la guillotine. Mais il s'adresse à tous les adversaires de la peine

sourires. C’est aussi un symbole puissant, celui de la maturité, que nous recherchons absolument à cet âge, comme une crédibilité, une nécessité. Cette maturité est particulière car elle vient d’être acquise, c’est l’âge où nous devenons un jeune homme. François Mauriac le décrit très bien dans son essai intitulé du même nom, c’est « l’indétermination », une « force vierge et inemployée qu’aucune spécialité ne confisque ». C’est dans cette liberté que réside la particularité de la maturité à vingt-ans

Biographie d'Albert Camus Albert Camus est née à Mondovi en Algérie le 7 Novembre 1913. Il est le fils de Lucien Camus, ouvrier caviste dans une exploitation vinicole et de Catherine Sintes, une jeune servante d'origine espagnole qui ne sait pas écrire et qui à des difficultés d’expression. Le père de Camus est tué à la guerre en 1914, ce qui fait qu’Albert ne connaîtra pas son père. Sa mère assez pauvre s'installe alors à Alger plus particulièrement dans la ville de Belcourt (ville ou le personnage

fr/opinions/article/2009/10/23/emmanuel-hoog-trop-de-memoire-tue-l-histoire_1257903_3232.html= - Un article de: « penser le passé », Courrier de l’Unesco, avril 1990 ( je vous fournirai ce document) Lectures cursives : **** Primo Lévi, Si c’est un homme : à lire impérativement !! - J.M.G. Le Clézio, l’Africain. Films : - La Liste de Schindler, Spielberg, 1993 - Et puis les touristes, Robert Thalheim , mai 2008 : http://www.zerodeconduite.net/blog/index.php?itemid=18575 Documents commentés

ancrés dans la fiction. Les personnages fictifs sont plus ou moins éloignés de la réalité du lecteur, ce qui nous permet de nous identifier à lui ou au contraire de ne pas se reconnaître à travers le personnage. Parlant du métier de romancier, François Mauriac écrit « Ces personnages fictifs et irréels nous aident à mieux nous connaître et à prendre conscience de nous-mêmes », il justifie qu’il crée des mondes et personnages fictifs pour lui permettre de mieux se connaître et s’analyser, ainsi que

Comparez-là à : - Andromaque, autre héroïne tragique de Racine, qui est un peu le contraire de Phèdre. Fidèle, Andromaque ne cesse d'aimer Hector, son mari tué pendant la guerre de Troie. - Thérèse Desqueyroux, l'héroïne adultère du roman de François Mauriac, qui finira même par empoisonner son mari à petits feux ... Thérèse Desqueyroux est en quelque sorte une Phèdre moderne qui finit par passer à l'acte. - La Princesse de Clèves, elle aussi éprise d'un autre que son mari : sa passion est, comme

adverses : les intellectuelles sont alors menés à s’engager et prendre position. C’est Zola en tout premier qui prend fait et cause pour Dreyfus. Il sera bientôt rallié par Anatole France et Charles Pégry qui est un républicain et catholique. Le jeune Marcel Proust (âgé de 15ans) qui n’est pas encore écrivain à ce moment et enfin André Gide. Ainsi Zola, Anatole France, Charles Pégry, Marcel Proust et André Gide sont nommés les dreyfusards. Dans le camp opposé, on trouve Charles Maurras qui est

Pierre Corneille, « Horace » Annie Ernaux, « La Place » Laurent Gaudé, « La mort du roi Tsongor » Sylvie Germain, « Magnus » Bernard-Marie Koltès, « Retour au désert » Roy Lewis, « Pourquoi j’ai mangé mon père » Mauriac, « Le Noud de vipères » Molière, « Les Fourberies de Scapin », « L’École des femmes » Toni Morrison, « Beloved » Musset, « La Confession d’un enfant du siècle » (première partie, chapitres 1 et 2) Philip Roth, « La Pastorale américaine