Freud Déterminisme

il y existe plusieurs conceptions du destin. Dans les sciences naturelles, l'univers physique est considéré comme soumis à des lois qu'il est possible d'expliciter afin de prévoir le devenir des phénomènes; Cette doctrine, qui est appelée le déterminisme, peut faire deux hypothèses générales: soit celle pessimiste d'un mouvement général de dégradation de l'information (entropie) aboutissant progressivement au chaos, soit au contraire l'hypothèse optimiste d'un long processus d'organisation du chaos

sommes ( c’est le déterminisme culturel et psychologique ) et l’endroit d’où nous venons. Cette liberté peut être perçue de deux manières différentes : D’une part négative , avec l’absence d’obéissance , de contrainte , d’infériorité … ou d’autre part positive par l’existence de l’autonomie et de la spontanéité. Il existe même chez les philosophes une dualité entre les « partisans » du libre-arbitre et les « maitres du soupçon » , ceux qui pensent qu’il existe un « destin » (déterminisme métaphysique)

internes (Sur moi, Freud) et externes (physique). La liberté n’est donc pas absolue, elle se limite au cadre de nos décisions et de nos contraintes. «  Croire au destin, c’est perdre la liberté ». 1) Déterminisme et Fatalisme Les philosophes grecs firent l’opposition entre liberté et déterminisme. Ainsi le déterminisme est une doctrine selon laquelle tous les éléments de l’univers et en particulier les actions humaines ont les mêmes effets dans les mêmes conditions. Le déterminisme fut d’abord inspiré

analyse comment l’individu se construit dans ses relation avec son environnement. II) L’Homme n’est pas maître de sa destinée Ici nous parlerons de paradigme de tendance déterminisme et des théories de type psychologique, socioculturel et biologique qui confirment cette tendance. Le paradigme de tendance déterminisme soutien que toutes les actions des humains sont déterminées par leurs états antérieurs sans que sa volonté puisse changer quoi que ce soit. Ici l’Homme croit être son libre arbitre

veut, il pense par lui-même. Il est donc libre de penser, libre de douter. C’est sa capacité à suspendre son jugement qui fait sa liberté, la connaissance de ce pourquoi il agit (car il connaît sa pensée). Cependant, les travaux des psychanalystes, Freud en particulier, contredisent cette théorie. En effet, ils affirment l’existence d’un inconscient. La pensée ne serait pas alors simplement la conscience, mais celle-ci serait doublée d’un inconscient qui agirait aussi sur notre corps, contrôlerait

un acte de pureliberté de le faire passer par la portière. Qui le saura? Quels seront les motifs qui l'y auront poussé et Lafcadio laisse sa décision au hasard, le peti vieux meurt. Cette thèse de l'acte gratuit est elle absolument convaincante? Freud et les psychanalystes n'ont-ils pas montrés que les refoulements, les complexes, enfouis au plus profond de chacun de nous étaient à l'origine d'action à première vuegratuites et inexplicables? Tel jeune garçon a dérobé, apparemment sans aucune raison

la société et d’en faire un bilan critique en en montrant les limites d’un point de vue sociologique. Dans un premier temps, j’essaierai de montrer que l’originalité de la pensée de Castoriadis trouve sa source dans une rupture avec le déterminisme historique du marxisme et, plus largement, avec les théories fonctionnalistes du social. Rupture qui lui permettra de construire l’originalité de sa pensée en opposant au fonctionnalisme une théorie de l’autonomie et de l’imaginaire radical. J’aborderai

le sujet, qui n'arrive pas à saisir la relation de cause à effet des evenements autour de nous. Il en résulte que ces jugements n'indiquent que les affections du corps, de types passionnels et illusoires: car en plus d'être influencés par leurs déterminisme, les hommes désirent toujours ce qui leur est utile et agreable, et préfèrent toujours orienter leurs jugements d'après ce qui leur est agréable ou non. Ce qui ne leur plaira pas, il le jugeront faux ou mauvais.Mais alors, avant de pouvoir être

autre, c’est se déterminer lorsque plusieurs possibles se présentent à nous. On pourrait affirmer qu’il y a des éléments que nous ne choisissons pas dans notre vie : naître dans tel ou tel milieu, naître dans tel ou tel pays…Mais affirmer que ce déterminisme est définitif, c’est refuser la notion de liberté humaine, c’est réduire l’être humain à être un objet parmi les objets, une chose parmi les choses. Or, nous ne sommes pas des choses, pas des objets. C’est en ce sens que Sartre dira que chez l’homme

constituent un moyen de distinction sociale. Selon Bourdieu, plusieurs types d’habitus suivant l’appartenance à telle ou telle classe. Ainsi classe populaire = notion de nécessité par le manque. On notera la possibilité d’exceptions, d’où pas de déterminisme, mais plutôt de grandes tendances que Bourdieu s’attache de mettre au jour. Contradiction à cette enquête par intermédiaire d’une autre, menée par un sociologue lyonnais, Bernard Lahire, publiée en 2004, et s’intitulant « La culture des individus