Freud L Homme Est Un Loup Pour L Homme

le met en danger. Il s'agit de détruire sa propre altérité car Freud dit : « le moi n'est pas le mâitre dans sa propre maison ». La haine de l'autre serait donc le résultat de l'amour de soi = origine de problèmes identitaires Le rapport à autrui est basé sur la discord et l'asymétrie. On fait supporter à l'autre ce qui est insupportable en nous càd la différence . => le différent nous associe au différend « l'homme est un loup pour l'homme » Thmas Hobbes => la tentation de détruire

dernier argument pour étayer cette thèse : Selon Clastre, il existe des sociétés primitives qui sont caractérisées par l’absence d'Etat. Les amérindien Guarani. Un chef est bien présent mais il se distingue du chef d'Etat dans la mesure où c'est un Homme dévoué au peuple, charismatique, généreux. Souvent, ce sont ces sociétés qui profitent du chef. De plus, une étude récente à montré que ces sociétés sont heureuses, et se considères comme libres. Bien, plus que les société avec Etat. Ainsi, nous serions

par conséquent, « je sais » est déjà un mensonge. Puisqu’il est possible de se persuader de la véracité d’une hypothèse, peut-on considérer qu’il est possible de se mentir à soi-même ? La conscience de sa non-omniscience peut donc conduire un homme à l’évidence qu’il se ment à lui-même, dans la mesure où il sait désormais qu’il refuse de rechercher jusqu’au bout la vérité, quitte à se contenter de pseudo-réponses qu’il sait pourtant être illusoires, ou à imaginer une vérité qu’il ne connaît pas

déments (où il y a une perte irréversible). Il va y avoir une différenciation psychiatrique, on va avoir une précision diagnostic, un affinement dans le champ des psychoses et névroses (névrose de contrainte). III. Deux grandes théories avant Freud Avant Freud il y a eu 2 théories, que l'on considère comme dépassés : -Théorie de la dégénérescence : Fondée par Morel et Magnan, c'est l'idée qu'il y a une généalogie familiale et sociale qui produit une maladie mentale comme effet d'une dégénérescence

et des jugements, de déduire des conséquences. * Par opposition à la passion ou à la folie : pouvoir de bien juger, de distinguer le vrai du faux, le bien du mal. * Par opposition à la foi : la « lumière naturelle », naturellement présente en tout homme. * Par opposition à l'expérience : faculté de fournir des principes a priori (c'est-à-dire indépendants de l'expérience)* Au sens objectif : principe d'explication, cause (exemple : les raisons d'un phénomène). * Argument destiné à légitimer un jugement

spécificité à l’humain et pose sa dénaturation radicale. On peut dire que dans la doctrine freudienne tout ce qui touche à la dénaturation de l’humain a trait à la perversion du sexuel. Référence : Ouvrage princeps : 3 théories sur la sexualité – Freud La sexualité humaine commence par la perversité polymorphe de l’enfant. Georges Perec a basé son travail sur le fait qu’un énoncé pouvait être remplacé par n’importe quel autre. Quand on ouvre un dictionnaire, la définition d’un mot est remplacé

résulte d’une grille de lecture culturelle du monde qui l’entoure. - Les religions / idéologies : positionnent l’homme au sein d’un ordre des choses, religieux ou politique, donnent un sens à l’histoire et à la vie même. Ex : religion chrétienne : homme soumis à l’ordre divin voire à son émanation en la personne du souverain dans le cadre des monarchies de droit divin, temps linéaire, l’homme en respectant les valeurs chrétiennes de son vivant peut espérer obtenir la rédemption et accéder au Paradis

C’est donc comment on apprend à vivre ensemble et comment maintenir un lien social. L’homme a besoin de sécurité avant tout. 1er idée : L’homme n’est ni bon ni mauvais, c’est la société qui le pervertit dit Rousseau . 2ème idée : L’homme est un loup pour l’homme=société sécuritaire. On s’intéresse à la manière dont est créé une société par : a) l’organisation : * normes * codes * croyances b) structure d’une société : * hiérarchies * rôles * rytes c)

par elle en échange d'un portrait qu'il fait faire, incapable de le faire lui-même. Il découvre Nietsche et Schopenhauer qui méprisent les hommes ordinaires. Mais il passe plus de temps à penser qu'à agir. Comme il est imbu de lui-même, il croit un homme se présentant comme un gallériste qui en fait vend ses reproductions de monuments connus dans la rue. Sa logeuse le chasse quand elle découvre qu'il n'est pas l'artiste qu'elle croyait qu'il était. Il se retrouve à la rue et dort dans la rue avec l'escroc

Nietzschéenne s’oppose de plein fouet à celle de Sartre, notamment dans l’existentialisme est un humanisme . Sartre soutient au contraire que chaque homme est libre de devenir ce qu’il souhaite et qu’il en a le pouvoir, ce qui implique naturellement une pleine et entière responsabilité de chaque homme face à ses actions. A contrario, si le libre arbitre n’est qu’une illusion comme l’affirme Nietzsche, on ne peut empêcher de régner la Loi du plus fort et l’anarchie la plus