Freud Le Progrés Technique

nous sommes soumis se traduisent par un conditionnement de notre pratique des relations sociales. Les formes de contraintes qui pèsent sur nos conduites sont multiples : conditionnement naturel (notre corps et notre environnement), conditionnement technique (les outils que nous avons créés), conditionnement social (les contraintes de la vie commune), et conditionnement culturel (nos croyances et nos représentations). Cependant, quelle que soit la forme considérée, le conditionnement se traduit toujours

critiques La religion a été attaquée dès l’antiquité par les matérialistes, comme Epicure et Lucrèce, qui ont vu d’emblée à quel point les « fables divines » pourraient être exploitées pour terroriser les hommes. Mais ce sont Marx, Nietzsche et Freud qui, dans les temps modernes, ont été les adversaires les plus virulents de la religion. Pour Marx, elle est l’ « opium du peuple » qui permet d’oublier la misère réelle en faisant miroiter un improbable paradis pour les justes. Pour Feud, elle

Kant => Sortir l'homme hors de l’état de minorité + un homme est digne ssi il fait usage de sa raison + si les connaissances et les techniques sont élevé alors il y aura une élévation de la moralité et la politique. Etat de minorité = Incapacité de se servir de son entendement sans se faire guider Condorcet => La raison humaine se forme en se libérant des préjugés, des superstitions et notamment de la religion. Tyrannie = source de misère et de stupidité. Lumière = Il y a une

Depuis l'antiquité, l'homme a toujours tenté d'expliquer certains phénomènes, tel que la création du monde. Cependant, on peut difficilement oublier que les autorités religieuses ont régulièrement cherchées à entraver le progrès de la connaissance. Elles continuent d'ailleurs de le faire aujourd'hui. Mais, quel sens prend le mot religion de nos jours. La religion peut être comprise comme une manière de vivre et une recherche de réponses aux questions les plus profondes de l’humanité, en

mais elle nous permet de mieux voir ce qu'on ne regarde plus. L'art est un retour aux profondeurs de l'humanité par-delà les apparences trompeuses, il est une interrogation sur l'essence des êtres. L'art exprime le "malaise de la civilisation " (Freud) et le transfigure : En ne se soumettant pas au principe de réalité et en assumant le principe de plaisir, l'artiste élabore son oeuvre à partir de ses pulsions refoulées. Comme le rêve, elle permet la satisfaction, sur le plan de l'imaginaire, des

contexte et de prémisses similaires malgré leur opposition fondamentale. En effet, les deux sont issus de la philosophie des Lumières; ils ont foi en l'Homme (et ses capacités). Ces progrès ont été rendus possibles, même inévitables, grâce au développement des connaissances scientifiques et des innovations techniques de l'ère industrielle. Selon le libéralisme, chaque individu peut produire, acheter et/ou vendre; formant ainsi l'essence même de la vie économique qui, d'ailleurs, est régulée par le

conditions d’Homme et d’amoureux. On accorde une place capitale au « Moi ». Le réalisme et le naturalisme ? A partir de 1850, ils font suite au Romantisme et s’y opposent, ils annoncent le Réalisme. Début de la révolution industriel (progrès technique, essor des sciences et notamment de la médecine). Apprentissage de la vie, puissance de l’argent, les malheurs du peuple. Les personnages sont créés avec des pulsions, des instants incontrôlables. Authenticité Le surréalisme ? Le

clinique est la psychanalyse : Freud souligne les liens entre  clinique et psychanalyse, il présente cette dernière en la différenciant de la clinique par son intérêt pour la «  des profondeurs » = s’intéresse aux phénomènes inconscients, et notamment à la sexualité infantile  métapsychologie-psychanalytique I. Révolution freudienne et naissance de la psychanalyse 1. Découverte de l’inconscient a) Cheminement de Freud et invention de la psychanalyse -Freud (1856-1939) : autrichien, famille

Microsoft Word - freud_livre_bibliotheque_avenir_une_illusion.docSigmund FREUD (1927) “L’avenir d’une illusion” Traduction française de Marie Bonaparte, revue par l’auteur, 1932. Un document produit en version numérique par Jean-Marie Tremblay, bénévole, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Courriel: jmt_sociologue@videotron.ca Site web: http://pages.infinit.net/sociojmt Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" Site web: http://www

partie de l’école de Francfort, qui se donne pour tâche de réfléchir à l’apport de la philosophie marxiste et de critiquer l’application qu’en a fait la révolution soviétique. Le regard de ces philosophes est aussi très aigu sur le concept de progrès, qui, pour eux, sépare les hommes : les machines, l’organisation spatiale des bureaux, les voitures individuelles détissent les liens sociaux. Les médias aussi séparent les hommes parce qu’ils empêchent les conversations et déversent sur tous les