Friedman Anticipation Rationnelle

spécialistes d’autres disciplines. Plan : I. Le revenu est le déterminant principal de la consommation Les économistes ont cherché à théoriser les dépenses de consommation. Les approches dites « économiques » partent de l’hypothèse d’un consommateur rationnel pour qui les déterminants économiques de la consommation sont élémentaires ; ce sont uniquement le prix et le revenu A : Les principaux auteurs ont lié la consommation au pouvoir d’achat et au revenu disponible ; le consommateur est contrait

reste dans des limites raisonnables, est un moindre mal que le chômage involontaire, ces politiques sont donc justifiées. Cerna 205 Initiation à l’Economie - Année 2004-2005 Pierre-Noël Giraud 6.2. La critique de Milton Friedman Milton Friedman, chef de file des monétaristes dans les années 60, critique cette analyse avec les arguments suivants. Certes, les politiques de relance keynésiennes peuvent réduire le chômage en augmentant l'inflation pendant un temps. Mais ensuite le

consommation A - Approche classique et néo-classique. B- Approche Keynésienne (revenu courant) C - les nouvelles théories de la consommation. 1 - J. Dusenberry : la théorie du revenu relatif 2 - T. Brown : effet de cliquet et effet d’hystérésis 3 - Milton Friedmann : la théorie du revenu permanent 4 - Théorie du cycle de vie de Modigliani (1954) III - Les rapports entre la consommation et le revenu - Les lois d'Engel. A- les lois d'Engel 1 - Les dépenses alimentaires : 2 - les dépenses de loisirs 3 - les

Théorie de Bodin, inflation au 16° et au 19° siècle en lien avec les découvertes d’or et d’argent. 2) L’analyse monétariste La présentation de l’équation de Fisher, l’analyse monétariste : Friedman et les anticipations adaptatives mais aussi Lucas et les anticipations rationnelles. C’est la suprématie de ces approches qui explique les politiques monétaires et la lutte contre l’inflation des années 80’. Référence à la politique française de rigueur après 82, désinflation dès qu’on augmente

que l’économie Keynésienne est à enterrer. Considère le chômage volontaire. Opposition par rapport à la théorie de Keynes -> réorientation de la Macroéconomie. 2 Hypothèses : H1 : Flexibilité des prix et des salaires. H2 : Anticipations rationnelles. Les agents forgent leurs prévisions en exploitant au mieux l’information disponible de sorte que le comportement a posteriori du système économique valide ces prévisions. (Les AE ont une connaissance du système économique de sorte que leurs

entreprises notamment les politique d’arbitrages. EX : si le pris de marché final de l’année va différé le prix d’offre (prix de production), les capitalistes n’obtiennent aps le profit escompté, cela va conduire les offreur a réajuster leur anticipations aux cycle de production suivante Le prix de production c’est le prix minimal nécessaire pour que les capitalistes puissent produire une quantité donnée de marchandises. Ceci dit on a une méfiance des mathématique puisque les sciences économique

Les politiques économmiques classiques : 18eme et 19eme siecle adam smith , ricardo , say , JS mill neoclassique : de 1870 a nos jours : l walras , pareto , marshall , pigou ... monetariste : des années 1950 a nos jours hayek ou friedman les nouveaux classiques ! 1970 1980 r lucas : r barro l'homoeconomicus : les classique sont micro qui resonnent en terme d'individu contrairement au keynesiens qui eux raisonnent en terme macro /.... pour les classiques le fonctionnement de l'economie

le taux d’intérêt d’équilibre dus à des changements de revenu, de niveau des prix et de l’offre de monnaie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 136 5.4. La monnaie et les taux d’intérêt : la critique de Friedman . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 138 5.5. Monnaie et taux d’intérêt : trois scénarios . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 140 Résumé . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

structurelles en s’insurgeant contre l’hypothèse systématique selon laquelle les agents économiques ne modifiaient pas leur comportement en fonction des politiques économiques menées, chose que l’on sait erronée de nos jours ; la logique des anticipations rationnelles qui énoncent que les agents économiques intègrent toute l’information disponible pour prendre leurs décisions (de consommation ou d’épargne par exemple) et qui forcément est une notion forte dans nos sociétés où la transparence est importante

les taux d'intérêt mal établie sur le plan statistique et n'expliciterait pas le rôle des effets de richesse. Voir Carlson (1974) et Carlson et Spencer (1975). 3. Anderson et Jordan (1968), Anderson et Carlson (1970). 4. B. Friedman (1977). Pour une critique de l'étude de Friedman voir Carlson (1978). L'estimation d'un modèle semblable à forme réduite pour le Canada contredit également la thèse monétariste sur l'inefficacité de la politique budgétaire. Voir P. Duguay (1979). Dans une étude récente,