Friedman Samuelson

cycles exogènes, d’autres approches de l’évolution cyclique des économies permettent de prêter à l’endettement un rôle déterminant dans la phase expansionniste du cycle économique. B) L’approche de type keynésien du cycle économique formalisée par Samuelson incite à penser que l’endettement puisse jouer un rôle expansionniste majeur. Ceci est principalement fondé sur le fait que le cycle dit " de l’accélérateur- multiplicateur " (ou oscillateur) consiste à favoriser l’expansion en donnant, comme l’affirmait

débattu dans la littérature récente portant sur les politiques de stabilisation. Par exemple Mariana Rojas Breu a évoqué que le bien-être est maximisé lorsqu’il n’y a pas de coût à détenir des encaisses monétaires, en accord avec la règle de Friedman (i.e., lorsque le taux nominal d’intérêt est zéro), Mais il y a une critique majeure de la généralité du résultat de l’appui à l’optimalité d’un taux positif d’inflation puisqu’il n’est pas robuste à l’introduction d’une deuxième monnaie avec

analyse est valable sur le long terme. Keynes a montré que les acteurs économiques mettaient du temps à s’adapter à une variation de l’offre de monnaies. C’est pourquoi à court terme, il était possible que la monnaie influe sur l’activité économique. Friedman va donc démontrer que sur le long terme, la monnaie est neutre. En effet, quand les agents économiques se rendent compte que l’inflation, due à l’accroissement de l’offre de monnaie, estompe l’augmentation des salaires nominaux et ainsi leur salaire

le terme matérialiste n’est pas réduit en erreur : de très nombreux libéraux sont métallistes, depuis Ricardo jusqu’à Jacques Rueff en passant par Wilfredo Pareto, mais tous les libéraux ne sont pas métallistes (Milton Friedman). Aux substantialistes s’opposent les nominalistes pour qui la monnaie est un signe dont la valeur ne repose que sur la confiance des agents entre eux et à l’endroit de la monnaie. C’est l’Etat qui crée la monnaie et sa valeur

courants de pensée historique : néo-classique avec Hicks, Phillips, Malinvaud, Samuelson ; keynésien avec la nouvelle école de Cambridge, Kaldor, Weintraub, Kalecki ; marxiste avec Ernest Mandel, Michel Aglietta, Raul Prebisch, Pierre Salama.Des auteurs se démarquent cependant des trois grands courants de pensée comme Léontieff qui développe un modèle « d'input/output », l'ultra-libéral Hayek, les monétaristes inspirés par Friedman, les économistes de l'offre avec Laffer...Que faut-il retenir de cette histoire

controversée : ce serait la faute des salariés qui seraient trop gourmands dès qu’ils en ont la possibilité. La courbe de Phillips va à l’encontre de Friedman « l’inflation est partout et toujours un phénomène monétaire » 1960 : courbe de Phillips réinterprétée par Robert Lipsey comme une relation entre inflation et chômage. La même année Paul Samuelson et Robert Solow développent une analyse semblable Le taux d’inflation peut en effet facilement être substitué au taux de variation du taux de salaire

de courtage. Tobin va montrer que lorsque le rendement des titres est incertain, l'agent peut détenir à la fois des titres et des encaisses c'est-à-dire adopter un comportement de diversification de portefeuille. c : la théorie de Friedman : Selon Friedman, la demande de monnaie dépend de trois variables : le revenu permanent : la demande de monnaie est une fonction croissante du revenu permanent. le rendement des actifs financiers, mesuré par les taux d'intérêts : si le taux d'intérêt

mécanique direct entre le rythme de variation des salaires et celui des prix. Salaire sont une part du coût de production de l’entreprise (entreprise paie la force de travail) donc si le salaire augmente, les entreprises vont augmenter les prix. Samuelson et Solow (1960) : relation négative du type Phillips entre l'inflation et le chômage Lutter contre le chômage crée mécaniquement de l’inflation Lutter contre l’inflation crée mécaniquement du chômage C’est de là que découle le dilemme de politique

référence à la théorie du bien-être qui étudie les conditions dans lesquelles l’Etat devrait intervenir pour corriger les défaillances du marché qui écartent une économie de marché de l’optimum de Pareto. Les auteurs de référence sont A.C. Pigou et P.A. Samuelson. Biens complémentaires et biens substituables : deux biens sont complémentaires si leur utilisation conjointe permet de satisfaire un besoin. Exemple : un stylo et du papier. Deux biens sont substituables s’ils satisfont le même besoin ou des

principe d'accélérateur d'Aftalion: -une pénurie de biens de consommation peut conduire les entreprises à trop investir, ce qui conduit vers une crise de surproduction à l'exemple de Robinson et son chauffage; ✓ L'oscillateur de Samuelson : La combinaison de l'accélérateur et du multiplicateur peut expliquer les fluctuations de l'économie. Le multiplicateur a un effet stabilisateur tandis que l'accélérateur a un effet déstabilisateur. Conclusion: Le multiplicateur est un outil