Friedman Samuelson

Marshall et Arthur Cecil Pigou une forte influence, dans sa forme actuelle elle deviendra la principale école de pensée au début des années 1950. Dans la troisième édition de son livre Economics, qui a été un des manuels de référence alors, Paul Samuelson écrit en 1955, « ces dernières années, 90 % des économistes américains ont cessé d'être des « économistes keynésiens » ou « antikeynésiens ». Ils ont plutôt travaillé à une synthèse de ce qui était valable aussi bien dans l'ancienne économie que

contrainte extérieure  politiques structurelles : souveraineté de chaque Etat (pôles de compétitivité) ou européenne (Pac, concurrence) Les limites à l’efficacité des politiques économiques : contraintes internes et externes  Auteurs : JM Keynes, M. Friedman, A Laffer Ressources : Les Cahiers français « les politiques économiques », J. Généreux « Economie politique »,  14/11/08 Les Echos (ps), Les Echos 05/12/08 (pc)  Thème 6: La gouvernance de l’économie mondiale La régulation du marché mondial de

économétriques de Tinbergen. Ensuite, nous examinons la période de dominance de la macroéconomie keynésienne dans la double dimension évoquée plus haut. Notre histoire se poursuit par l’examen de la remise en cause de cette macroéconomie impulsée d’abord par Friedman et ensuite par Lucas et autres auteurs nouveaux classiques. Ensuite, nous exposons les grands traits de la nouvelle macroéconomie, dynamique et stochastique. Pour terminer, nous nous interrogeons sur la contestation récente des modèles de cycle réel

d’orthodoxes, les secondes hétérodoxes. A. La synthèse néoclassique de Keynes. 1) La synthèse néoclassique de Keynes (Hichs, Hansen, Samuelson). Ces auteurs s’efforcent de réaliser une synthèse entre macroéconomie keynésienne et certaines conclusions de l’analyse néoclassique. Ainsi, les approches de Hichs et Hansen, complétées par la modélisation mathématique de Samuelson, serviront de bases à la définition des politiques économiques menées après 1945 et s’illustre par le « stop and go » qui prévoit

internationale croissante a des effets importants sur le fonctionnement des économies. Elle tend à accroître les divergences : Concurrence plus forte Phénomènes d'agglomération au niveau mondial Divergence de revenus à l'intérieur des pays (théorème Stolper-Samuelson) 2. Les différents types de capitalisme. L'articulation de ces différentes formes institutionnelles permet de classer les pays et de définir des « types » de capitalisme. A. La typologie proposée par Hall et Soskice : Classification simple qui oppose

a eu Robert Solow, Paul Samuelson et James Tobin. En 1961 ils rédigent un rapport sur l’état des USA qui recommande les moyens pour juguler les cycles en insistant sur les dépenses publiques. W.W. Rostow, professeur d’économie politique à Harvard, a été conseiller spécial de la Maison-Blanche de 1961 à 1968 Derrière Nixon il y a eu Arthur Burns, qui fut président de la FED et Milton Friedman (conseiller économique du Parti républicain) . Reagan a eu Gilder, Friedman et... John Wayne. Clinton

imparfaite Le chômage conjoncturel : chômage keynésien, lié à une demande globale insuffisante face à une offre rentable excédentaire Le chômage naturel : chômage structurel ou d’équilibre, l’expression taux naturel de chômage est présentée par Milton Friedman cela ne signifie pas que ce taux est intangible immuable, il signifie qu’une politique monétaire ou budgétaire de relance peut modifier momentanément le taux de chômage mais cela ne peut pas durablement le modifier, il est lié à une offre inadéquate

------------------------------------------------- LA PENSEE NEO-LIBERALE Hantise de l’inflation qui débouche sur une pensée de la monnaie, plus exactement au monétarisme -> pensée de Friedman. Le monétarisme : L’analyse monétariste, en particulier celle de l’économiste américain Milton Friedman reprend la théorie quantitative de la monnaie puisqu’elle considère que l’inflation est partout et toujours un phénomène monétaire. Critiquant les interventions de l’Etat en matière monétaire,

les recettes sont insuffisantes pour pouvoir financer les dépenses. → Exemple de la France → Vision libérale, initié par Schumpeter puis par Hayek (prix Nobel en 74) et Friedman (prix Nobel en 76) → Les dépenses de l’État doivent être contrôlés et équilibrés et il faut juste agir sur les taux d’intérêt pour contrôler la masse monétaire. Ce n'est pas l’État qui est l'acteur dominant mais l’entrepreneur innovateur

temps de recherche d’un emploi lié à une information ou mobilité imparfaite. II) Le chômage conjoncturel (keynésien) Il est lié à une demande globale insuffisante (face à une offre rentable excédentaire). III) Le taux naturel de chômage Présenté par Friedman. Elle ne signifie pas que ce taux est intangible immuable. Il signifie qu’une politique monétaire ou budgétaire de relance peut modifier momentanément le taux de chômage mais cela ne peut pas durablement le modifier. Il est lié a une offre inadéquate