Friedman Samuelson

des changes, marché des capitaux (argent) : Marché interbancaire Titres négociables à court terme Bourse : marché des capitaux + marché financier Les libéraux contemporains : Friedrich Von Hayek: 1819 – 1892 Milton Friedman: 1912 – 2005 Artur Laffer: 1941 – Milton Friedman : patron de la banque centrale américaine et prix Nobel en 1976. Von Hayek : « le retour aux vertus du marché ». L’intervention de l’Etat sur les marchés doit se cantonner à maintenir les règles de la concurrence pure

biens sous forme de monnaie plutôt que d'actifs productifs : l'investissement chute. L'effet du Krach de 1929 sur la Grande dépression a fait l'objet d'analyses diverses. Pour Paul Samuelson il n'est qu'un des facteurs, facteur d'ailleurs "fortuit" qui a conduit à la Grande dépression [1]. Pour Rose et Milton Friedman ce n'est pas un élément important dans la survenue de la Grande dépression qui pour eux a été provoquée par une politique monétaire inadéquate [2] Crise boursière et bancaire[modifier]

cette relation est réinterprétée dès 1960 par Robert Lipsey, qui remplace le taux de variation du salaire nominal par le taux d’inflation. En effet, leur évolution statistique est très proche, en enlevant les gains de productivité du travail. Paul Samuelson et Robert Solow mènent la même analyse. Ainsi, la courbe de Phillips remaniée donne une relation décroissante en inflation et chômage. Les keynésiens expliqueront son existence par les négociations se déroulant sur le marché du travail. En effet

Chicago, opposé à Keynes). La courbe de Phillips commence toujours par l’arbitrage entre chômage et inflation mais dans les faits on s’aperçoit que lorsqu’on observe les courbes réelles, y’a des périodes où elle se relève et on ne sait pas pourquoi. Friedman dévoile l’anticipation adaptative. Les agents sont soumis à un phénomène d’illusion monétaire qui peut disparaître par moment. Que font les agents quand ils remarquent une chute de leur pouvoir d’achat ? (je vous aime bien mais le fait de savoir

biens sous forme de monnaie plutôt que d'actifs productifs : l'investissement chute. L'effet du Krach de 1929 sur la Grande dépression a fait l'objet d'analyses diverses. Pour Paul Samuelson il n'est qu'un des facteurs, facteur d'ailleurs "fortuit" qui a conduit à la Grande dépression [1]. Pour Rose et Milton Friedman ce n'est pas un élément important dans la survenue de la Grande dépression qui pour eux a été provoquée par une politique monétaire inadéquate [2] Crise boursière et bancaire[modifier]

liquidités, ce qui les conduit à demander une forte prime de risque et ainsi demander un taux d’intérêt à long terme très élevé. A long terme l’inflation semble donc être problématique. C’est pourquoi les monétaristes comme Friedman mettrons en garde contre l’inflation. En effet Friedman va même jusqu'à la comparer à l’alcoolémie euphorisante mais montrant ses effets pervers dès le lendemain. Car selon lui s'ils peuvent se tromper à court terme, les agents ne se trompent pas à long terme, c'est le rôle

beurre et l’argent du beurre) Innovation => destruction créatrice Eco : crée la rareté, gère la rareté et le partage Tobin Told, Tullock, Walras, Weber, Arrow, Becker, Baumol, Coase, Friedman, Galbraith, Hayek, List, Lucas, Laplace, Malinvaud, Mendel, Mill, Ohlin, Pareto, Polanyi, Proudhon, Quesnay, Samuelson, Sauvy, Say, Sismondi, solow. ANTI MANUEL D’ECO TOME 2 Les cigales La rareté crée les prix, les besoins, les marchés. Il n’y a aucune liberté dans la concurrence (la concurrence

l'incertitude. Théorie de la démographie et de l'épargne Modigliani, prix Nobel 1985, et Brumberg relient l'épargne au cycle de vie de l'individu. Ils supposent que l'individu cherche à maximiser l'utilité de sa consommation future. Contrairement à Friedman, pour qui la période de maximisation de l'utilité est infinie et donc, que l'individu n'épargne pas seulement pour lui-même mais également pour ses descendants, Modigliani et Brumberg supposent que la période est finie. L'individu épargne seulement

courtages. Tobine lui ajoute que lorsque les rendements des titres est incertain l’agent peut détenir à la fois des titres et des encaisses monétaires, c'est-à-dire qu’il peut modifier son porte feuille d’actions. 3. Friedman et la théorie quantitative de la monnaie Friedman occupe une place paradoxale, il reprend l’idée d’arbitrage entre actifs de Keynes, mais pour renouer avec la théorie qtitative de la monnaie. D de monnaie qui est une fonction croissante du revenu permanent dépend de 3 variables :

considérer que les agents économiques fondent leurs décisions non seulement sur l'expérience passée, mais aussi en intégrant rationnellement toute l'information disponible sur le futur. anticipations adaptatives application par Friedmann à la courbe de Philips Friedmann est l'un des premiers à avoir fait remarquer que les observations statistiques selon lesquelles il y aurait une relation inverse entre chômage et augmentation des salaires (courbe de Philips) peuvent s'expliquer par les phénomènes