Friedrich Nietzsche

Spontanément, suivant les données de notre conscience spontanée, nous avons tous, un jour ou l'autre, affirmé que le marginal, qu'il soit venu d'ailleurs ou qu'il ait quitté nos rangs cherchait à nuire à la société qui l'a accueilli ou qui l'a abrité.Mais l'homme qui est nécessairement "un nœud de relations" (Saint-Exupéry) et qui est la raison d'être d'une société humaine, peut-il refuser les différences, les inventions, sans se condamner à répéter sans cesse, ce qui est une forme du désespoir?Or

30 Octobre 2012 Philosophie Devoir 3 Question 1; a) Le thème c’est le désir du bonheur. b) La thèse c’est ‘’On n’échappe pas au principe de plaisir : vouloir lui échapper (par la mort. L’ascétisme), c’est lui rester soumis. Donc nous avons un désir de bonheur, et ce désir est frustré, déçu, blessé. Le bonheur nous manque; le bonheur est manqué. ‘’ Question2 ; Ascétisme : ‘’Genre de vie des ascètes qui consiste à rechercher une libération de l'esprit par la mortification

Rupture avec la morale classique. Si la notion de vulnérabilité n’est pas une notion connue dans la morale classique, elle a pourtant connue un essor impressionnant dans la morale moderne. En effet, les notions de vulnérabilité, faiblesse ou encore fragilité ont pris une importance réelle en morale. Le développement de ces notions ont alors induit certaines normes morales. Ainsi ce sont développé sur le plan moral la nécessité de prendre soin et de porter une attention spéciale au faible ou à

Le roman est l'un des genres littéraires le plus lu et apprécié par les lecteurs. En effet, ces oeuvres permettent de tisser tout au long du récit une relation étroite entre le lecteur et le personnage principal. Le roman et son personnage nous procurent alors un sentiment d’évasion aussi bien grâce à une histoire très réaliste et crue à la manière de Guy de Maupassant, que par le biais d'histoire incroyable d'un genre fantastique par exemple. Guy de Maupassant choisi dans les dernières lignes de

libertés ?   www.webphilo.com  Page 1 • • • Est-il raisonnable de croire au libre arbitre ? L'apprentissage de la liberté peut-il se faire sans contraintes ? Le libre-arbitre n'est-il qu'une illusion ? Textes complémentaires • Nietzsche, Le libre-arbitre est une invention chrétienne Citations complémentaires • Spinoza, « Telle est cette liberté humaine que tous les hommes se vantent d’avoir et qui consiste en cela seul que les hommes sont conscients de leurs désirs et ignorants

notions de valeurs absolues en tant qu'existant par elles-mêmes. Cette théorie de l'homme avant l'idée peut-être appuyée autant par la critique que Nietzsche formule envers cette conception platonicienne, et autant par la ruine des valeurs cosmologiques qu'il explicite, confirmant le fait que les valeurs soient de création humaine. Nietzsche, en effet, ne mâche pas ses mots quand il critique l'idéalisme de Platon dans sa conception d'un monde des Idées détaché du monde des hommes. Cette

fondamentale de la vie et donc c’est parce que nous sommes mortels que nous ne pouvons rêver que dans les interstices de la vie. De plus dans l’état de veille, nous nous rapportons à ce qui est et non à ce qui n’est pas, à la différence du rêve. Dès lors Nietzsche semble tenir un propos paradoxal en déclarant que « Rêver de la vie, c’est justement ce que j’appelle être éveillé ». Ainsi on peut se demander dans quelles conditions rêver de la vie c’est être éveillé. Dans un premier temps nous verrons

conception de l’être humain de Nietzsche. La notion de volonté de puissance est un concept de Nietzsche, qui est inspiré de Schopenhauer, selon lequel toutes les énergies agissantes ainsi que les fonctions vitales sont reliées à cette volonté. Cette notion peut emprunter deux trajectoires différentes. Dans le cas de Philémon, la trajectoire choisie a été celle qui est active, libre et créative ce qui fait en sorte qu’il cherche à se surpasser pour devenir meilleur. Selon Nietzsche, l’homme doit avoir une

Ce texte d'Aristote, extrait de la Métaphysique, porte sur la philosophie. Quelle est la spécificité de l'activité philosophique ? A cette question, l'auteur répond que la philosophie, fille de l'étonnement, n'a d'autre but que la connaissance pure, sans aucune visée utilitaire. Ce qui signifie qu'elle se distingue des autres activités par sa « liberté », au sens où elle est à elle-même sa propre fin. Le fondateur du Lycée soutient cette thèse en deux grands moments. Le premier explique la genèse

Après une représentation théâtrale, deux amis de longue date, Paul et Jean, partagent leur avis sur la manière dont le théâtre doit être apprécié. Paul, qui n'a pas du tout aimé la pièce jouée se justifie en précisant que le théâtre est fait pour être lu, tandis que Jean qui n'en est pas à sa première représentation, soutient que c'est un art qui ne peut être pleinement apprécié que s'il est joué. - « Je regrette d'avoir dû attendre aussi longtemps pour voir Littoral qui ne valait certainement