Friedrich Nietzsche

Mes Peur[S] J'ai peur de la mort ,sûrement parce que je suis jeune .. Ma façon de penser est que plus on s'approche de la mort ,plus on a l'impression qu'elle est irréelle et éphémère .Alors qu'en fait elle se rapproche de plus en plus mais lentement pour que vous ayez tout le temps de mesurer si notre vie fut vraiment vivable . J'ai aussi peur de la vie ,peur de ce qu'elle me réserve .. Sûrement des désagréments ,des joies ,des regrets ,des erreurs . Le fait de ne pas savoir si je réussirais

Quelques conseils pour préparer une soutenance orale. Globalement … Une soutenance exprime de manière concise et synthétique le contexte, les raisons d'une recherche, puis ses méthodes, ses résultats et ses conclusions principales puis les discute, en imagine les prolongements. Elle culmine souvent avec une mise en perspective du projet entier : ce qu'on a pu tirer comme enseignements de ce projet. Cibler l’exposé Identifier les 3 à 5 points les plus importants à faire passer pour ne pas se

nous rend libre. Comme l’affirme Spinoza, la conscience nous fait voir ce que nous faisons sans nous éclairer intégralement sur les raisons pour lesquelles nous le faisons, de sorte qu’elle nous induit dans la croyance fausse du libre arbitre. Nietzsche radicalise l’affirmation de Spinoza en affirmant que le libre arbitre et non seulement une erreur mais aussi une illusion qui provient de la nécessité de croire en son existence. Le simple fait de liberté est un concept impossible en soi par le simple

la conscience dont on ne peut pas douter, une notion commune comme Descartes l’admettait dans ses Principes de la philosophie ou bien une illusion comme Spinoza a tenté de le démontrer dans son Éthique ? Tel est le problème du libre arbitre dont Nietzsche traite dans cet extrait. On se demande alors donc s’il n’y a pas une limite à la critique du libre arbitre ? Cette critique du libre arbitre soulève un problème. En effet elle suppose que l’homme est victime d’une illusion, mais en même temps elle

Ethique à Nicomaque : L’amitié Aristote est le penseur d’un homme en action qui ne connait pas de plaisir plus grand que de construire son bonheur de ses propres mains Livre 8 et 9 qui porte sur la vertu de l’amitié Aristote : « L’amitié est une certaine vertu où ne va pas sans vertu.. Est un secours aux jeunes gens...(jusque’à : et la plus haute expression de la justice est dans l’opinion générale de la nature de l’amitié » L’amitié n’est pas à proprement parlé une vertu, comme par

Le Cri - Edvard Munch – Expressionnisme ; Ce mouvement avant-gardiste est resté populaire lors des années de Weimar, surtout à Berlin. Il émerge d’abord dans la poésie et la peinture, mais est présentant dans diverses formes d’arts, tels que la danse ou l’architecture. Sa principale caractéristique est de présenter le monde radicalement transformée pour obtenir de la sensibilité afin d’évoquer des émotions. Les artistes expressionnistes essayent d’exprimer d’avantage

n'est pas d'apporter sa touche personnelle à ce solo mais bien de parvenir à l'imiter parfaitement et ainsi pouvoir se comparer à son idole. Cette réussite sera perçu comme un grand bonheur et ce malgré l'absence de tout originalité. Dans le cas de Nietzsche philosophe allemand du XIXe siècle, il pense que « l'art doit servir à masquer ou à embellir tout ce qui est laid dans la nature humaine ». Or pour Hegel, philosophe allemand du XIXe siècle lui aussi, l'imitation est un « art figuratif qui n'imite

La thèse de Nietzsche est au contraire que le génie est le produit du travail humain, mécanique d’assemblages des matériaux, tout à fait explicables. Du coup toute activité humaine peut être géniale (même le travail du professeur face à sa classe), y compris celle du scientifique. Attention cela ne veut pas dire que tout est génial, car, hélas, la médiocrité est de ce monde. Cette entreprise de démystification, de démythologisation, et désenchantement a un rôle, celle de casser la dimension

connaissance de soi, qui elle change au cours des expériences vécues, car la connaissance des choses n'a pas de sens moral. Par exemple, les choses qui nous sont habituelles deviennent banales avec le temps et nous pensons donc les connaitre parfaitement , Nietzsche disait: «  quelque chose d'étranger doit être ramener à quelque chose de bien connu. » En ce sens, il est certainement plus difficile de poser un regard objectif sur soi même que sur les choses. L'homme sait ce qu'il désire mais il ne sait pas ce

Les philosophes Marcel Conche a) -Il est indubitable, en effet que le supplice des enfants a été et ne devrait pas être, et que dieu pouvait faire qu’il ne soit pas. Comme dieu ne s’est pas manifesté dans des circonstances ou, moralement il l’aurait du, s’il existait il serait coupable. La notion d’un dieu coupable et méchant apparaissant contradictoire, il faut conclure que dieu n’est pas. - La religion, a la différence de la philosophie, est sous la catégorie de l’utile. Elle promet