Frise du Parthénon

d'autres utilités. Les grands bâtiments publics de l'ère classique comme le Parthénon à Athènes, ont créé le besoin de statues décoratives, particulièrement pour remplir la forme triangulaire des chapiteaux : une difficulté esthétique et un challenge technique qui firent beaucoup pour stimuler l'innovation dans la sculpture. De ces sculptures, il ne reste que des fragments, les plus fameux d'entre eux étant les marbres du Parthénon, dont la plupart sont visibles au British Muséum. La statuaire funéraire

groupes de cavaliers sur des chevaux cabrés susceptibles de servir de modèles à l'élaboration du tableau. Mais certains d'entre eux ne furent connus qu'après la réalisation du portrait, voire après la mort du peintre, tels ceux qui ornent la frise du Parthenon révéles en 1830. Cependant ce type canonique avait été repris dans des sarcophages antiques conservés à Rome, copiés dans des ouvrages du XVIIIe siècle, comme L' Antiquité expliquée de Montfaucon consulté par David[36]. Un exemple caractéristique

 stricts  et  droit  =>  négation  des  informations  apportés  par   les  batiments  environnants   Exemple local • Bibliothèque  de  Labrouste,  env  1850   Labrouste  reprend  la  frise  d’un  immeuble  XVIIe  situé  à  côté   • Rauch  =>  dessin  -­‐>  ttes  les  façades  ont  une  corniche  (échelle  de  voisinage)  ms  hauteurs  différentes   Pas  de  reprise

et au deuxième alinéa de la « mise en œuvre » du programme : « La démocratie vue et discutée par les Athéniens ». Deux doubles pages sont consacrées à l’Art (architecture et sculpture), (Dossier Art : Le Parthénon sur la colline de l’Acropole et Dossier Art : La statuaire grecque, de la frise des Panathénées par Phidias, à Praxitèle). © Hachette Livre Le tirage au sort est utilisé pour la désignation de certains magistrats, ainsi que des membres de l’Héliée et de la Boulè (voir doc. 4 p

grandeur, est venue s’adjoindre la nuée des architectes d’école, patentés, jurés et assermentés, dégradant avec le discernement et le choix du mauvais goût, substituant les chicorées de Louis XV aux dentelles gothiques pour la plus grande gloire du Parthénon. C’est le coup de pied de l’âne au lion mourant. C’est le vieux chêne qui se couronne, et qui, pour comble, est piqué, mordu, déchiqueté par les chenilles. Qu’il y a loin de là à l’époque où Robert Cenalis, comparant Notre-Dame de Paris à ce fameux

plinthe carrée inhabituelle, mais qu'on retrouve à Pella. Le chapiteau aussi évoque certains détails rencontrés en Macédoine. L'architrave comporte seulement deux fasces, au lieu des trois qu'on attendrait, et, surtout, l'entablement combine une frise (typique de la Grèce propre) et des denticules (typiques de la Grèce d’Asie Mineure), jusqu'alors employés séparément. C'est peut-être la première apparition (après un exemple archaïque isolé, et contesté) de ce redoublement ornemental qui devait connaître

d'une pompe triomphale où l'on voie une figure de ce genre. Quant au mérite artistique de la frise dont elle fait partie, il est incontestablement très médiocre. Les groupes et les personnages isolés se succèdent sans que l'artiste ait fait aucun effort pour les composer et pour dissimuler les vides qui les séparent. La pensée de l'archéologue se reporte à l'instant vers cette admirable frise du Parthénon, où figurent aussi des animaux conduits au sacrifice ; là tout est vivant, harmonieusement ordonné

bande à destination didactique. Le peintre a représenté environ 75 artistes qui vont de Périclès à Louis XVI. A l’arrière plan, 3 pers sont comme des juges : ce sont les 3 grands artistes dans l’Antiquité dont Phidias (qui s’est chargé de la déco du Parthénon).Au centre, personnification de la renommée à leurs pieds. Les 4 figures féminines représentent l’art grec, romain, gotique & renaissance.C'est une source pour la production artistique :• Personnages : exemple de la Vénus de Cnide (-5ème s.)

(c. 350-325 av. J.-C.) représentent respectivement des scènes de banquet et une scène de l’au-delà avec Géryoneus à trois têtes, Perséphone et Hadès. • La tomba Giglioli (fin 4ème s.) est une importante tombe aristocratique hellénistique avec une frise décorée d’armes, qui fait allusion aux accomplissements militaires du défunt. • La tomba del Convegno (c. 125) est probablement l’exemple le plus récent des peintures funéraires de Tarquinia. Elle est décorée de deux processions funéraires de togati

auteurs que sont Thucydide et Plutarque). Les représentations de cette culture de la victoire sont visibles dans toutes les formes d’art : les poteries décrivent la phalange grecque, les cavaliers ont une place de choix sur la frise des Panathénées ornant grâce à Phidias le Parthénon. Chez les Romains également on peut parler d’une culture de guerre, imprégnant une société de citoyens passant vingt années de leur vie au service de l’Etat. La guerre s’écrit également, et ouvre à la postérité : les grands