Front militaire

-Volume II - L'Unité, 1942-1944, 1956 -Volume III - Le Salut, 1944-1946, 1959 Puis ses Mémoires d'espoir : -Volume I - Le Renouveau, 1958-1962, 1970 -Volume II - L'effort, 1962…, 1971 L'homme de guerre : Entré 119e sur 221 à l'École militaire de Saint-Cyr en 1908, après avoir fait ses classes préparatoires au prestigieux collège privé catholique Stanislas à Paris, il en sort diplômé en 1912, se classant à la 13e place, et rejoint l'infanterie. Il choisit d'être affecté au 33e régiment

français est bleu blanc et rouge I. Définition : Le service militaire, appelé aussi conscription remonte à la Révolution française avec la Garde Nationale et la « levée en masse » qui était le mode de réquisition des citoyens français contre les ennemis de la France. Sous l’Ancien Régime, le service militaire était réservé à des professionnels. Des milices provinciales étaient tirées au sort. Le service militaire n’a pas été abandonné mais suspendu par la loi du 28 octobre 1997

véritable carnage, 40 000 soldats seront tués. Les mutineries ne naissent cependant pas sur le front. Ce ne sont pas les soldats dans les tranchées qui se mutinent, les mutins sont à l’arrière, (on voit bien dans le texte que Louis Barthas est à l’arrière, et non au front) ce sont ceux qui refusent de retourner au front, qui refusent d’aller à une mort certaine. Même ceux qui n’étaient pas sur le front au moment de la journée du 16 avril refusent d’y aller. Cet échec fait éclater partout en France

la fin de la première guerre mondiale, soit en 1928. Erich Maria Remarque, de son vrai nom Erich Paul Remark, est un écrivain allemand né le 22 juin 1898 à Osnabrück en Allemagne. Il a été mobilisé dans l'armée Allemande en 1916 et envoyé sur le front de l'ouest (Belgique et nord-est de la France) en 1917. Il est démobilisé en janvier 1919. En 1933, à la suite d'autodafés nazis sur son livre A l'ouest rien de nouveau, Erich Maria Remarque s'exile en Suisse, puis aux Etats-Unis où il sera naturalisé

Dans la vie de tous les jours le machisme est un des sujet les plus tabou de notre société, dans le monde militaire les femmes y sont peu nombreuse à cause de cette discrimination. L’humain est un acteur pour une organisation, il ne devrait pas avoir de discrimination d’origine et encore plus de sexes car c’est une des ressource les plus importante pour atteindre ses objectifs. Dans nos armées en France et dans le monde entier, la question est de savoir s’il existe une équité entre les hommes et

manque de sommeil, - bourrage de crâne dénoncé.  3/. Un lieu de sociabilité malgré tout : - spectacles organisés à l’arrière des tranchées : concerts, pièces de théâtre, - artisanat des tranchées : sculpture sur bois, sur obus.  III. Tenir au front  1/. Les liens avec l’arrière : - correspondance avec les familles, - permissions accordées aux poilus à partir de 1915.  2/. La camaraderie : - les soldats sont des frères d’armes : idée de patriotisme et de revanche par rapport à la défaite

lors du concours d'entrée – 119ème rang sur 221 - en 1909 à l'École spéciale militaire de Saint-Cyr. Il effectuera l’année préalable de service obligatoire au 33ème régiment d’infanterie à Arras commandé alors par le colonel Pétain. A sa sortie en octobre 1912, diplômé 13ème rang et promu sous-lieutenant, il choisit pour affectation ce même 33ème régiment d'Arras. L'École spéciale militaire de Saint-Cyr est une école militaire française d'enseignement supérieur, qui forme des officiers de l'armée de

rejoindre comme sous-lieutenant le 24e bataillon de chasseurs à pied. Commence alors une carrière militaire sans relief particulier. En fait, sa vie se confond jusque vers 1900 avec celle de l'armée métropolitaine. De garnison en garnison, il devient un officier d'infanterie respecté et reconnu pour ses compétences (ce qui lui vaut notamment d'être nommé officier d'ordonnance du général gouverneur militaire de Paris), mais dépourvu de l'expérience du feu qu'aurait pu lui donner une carrière coloniale

qu'il était désormais interdit de transmettre des nouvelles de la guerre sans que celles-ci n'ai pas été communiquée ou visée par le « bureau de presse » du ministère. A ces débuts le but de la censure fut de surveiller les informations militaires et diplomatiques. Le gouvernement voulait éviter que les journaux, par désir de lancer des informations à but sensationnelle dévoilent à l'ennemi des informations importantes. « Interdiction de publier des renseignements de nature à nuire

L’expérience combattante au front : 1914-1918 Analyse du sujet : « Expérience combattante » : la manière dont les soldats combattent, survivent et tiennent au front ; la façon dont ils vivent au quotidien la guerre. « Front » : en référence aux tranchées, à la guerre de position ; lieu où les deux armées adverses se font face et s’affrontent. 1914-1918 : la Première Guerre mondiale. La Première Guerre est mondiale et totale, mais on s’attache à présenter la vie des militaires au front, pas celle des civils