Frou-frou

de tout ce qui est matériel et emploie un vocabulaire trivial. Il métamorphose des lieux concrets en lieux magiques. On retrouve une importance du thème stellaire "Mes étoiles". Rimbaud métaphorise les étoiles comme autant de présence féminine « frou-frou ». -Rimbaud écrit cette poésie à l'âge de seize ans. On retrouve donc le sentiment de liberté de l'adolescent qui souhaite fuir sa mère en fuguant. La nature est un terme auquel il fait souvent allusion dans le texte et l'aide à voyager. Rimbaud

j'étais ton féal ; Oh ! là là ! que d'amours splendides j'ai rêvées ! Mon unique culotte avait un large trou. - Petit-Poucet rêveur, j'égrenais dans ma course Des rimes. Mon auberge était à la Grande Ourse. - Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou Et je les écoutais, assis au bord des routes, Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttes De rosée à mon front, comme un vin de vigueur ; Où, rimant au milieu des ombres fantastiques, Comme des lyres, je tirais les élastiques De mes souliers

j’étais ton féal ; Oh ! là ! là ! que d’amours splendides j’ai rêvées ! Mon unique culotte avait un large trou. - Petit-Poucet rêveur, j’égrenais dans ma course Des rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse. - Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou Et je les écoutais, assis au bord des routes, Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttes De rosée à mon front, comme un vin de vigueur ; Où, rimant au milieu des ombres fantastiques, Comme des lyres, je tirais les élastiques De mes souliers

domination bourgeoise et la recherche d’un idéal artistique. c) On voit dans ce poème qui c'est la Nature qui lui apporte du bonheur et du réconfort « J'allais sous le ciel, Muse, et j'étais ton féal » v.3, « Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou » v.8, « De rosée à mon front, comme un vin de vigueur » v.12. d) Ce poème nous rappel les nombreux voyages que Rimbaud à réaliser au cours de sa vie et plus particulièrement ses nombreuses fugues quand il était enfant puisqu'il est dit « Petit-Poucet

j'étais ton féal ; Oh ! là là ! que d'amours splendides j'ai rêvées ! Mon unique culotte avait un large trou. - Petit-Poucet rêveur, j'égrenais dans ma course Des rimes. Mon auberge était à la Grande Ourse. - Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou Et je les écoutais, assis au bord des routes, Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttesDe rosée à mon front, comme un vin de vigueur ;Où, rimant au milieu des ombres fantastiques, Comme des lyres, je tirais les élastiques De mes souliers

féal ; Oh ! Là là ! Que d’amours splendides j’ai rêvées ! Mon unique culotte avait un large trou. - Petit- Poucet rêveur, j’égrenais dans ma course Des rimes. Mon auberge était à la Grande Ourse. - Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou Et je les écoutais, assis au bord des routes, Ces bons soirs de Septembre où je sentais des gouttes De rosée à mon front, Comme un vin de vigueur ; Où, rimant au milieu des ombres fantastiques, Comme des lyres, je tirais les élastiques

j'étais ton féal; Oh! là! là! que d'amours splendides j'ai rêvées! Mon unique culotte avait un large trou.  - Petit-Poucet rêveur, j'égrenais dans ma course Des rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse.  - Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou Et je les écoutais, assis au bord des routes,  Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttes De rosée à mon front, comme un vin de vigueur; Où, rimant au milieu des ombres fantastiques, Comme des lyres, je tirais les élastiques,  De

et j'étais ton féal ;Oh ! là là ! Que d'amours splendides j'ai rêvées ! Mon unique culotte avait un large trou.- Petit-Poucet rêveur, j'égrenais dans ma courseDes rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse.- Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou Et je les écoutais, assis au bord des routes,Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttesDe rosée à mon front, comme un vin de vigueur ; Où, rimant au milieu des ombres fantastiques,Comme des lyres, je tirais les élastiquesDe mes souliers

et j'étais ton féal; Oh! là là! que d'amours splendides j'ai rêvées! Mon unique culotte avait un large trou. Petit-Poucet rêveur, j'égrenais dans ma course Des rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse. Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou Et je les écoutais, assis au bord des routes, Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttes De rosée à mon front, comme un vin de vigueur; Où, rimant au milieu des ombres fantastiques, Comme des lyres, je tirais les élastiques De mes

et j'étais ton féal; Oh! là là! que d'amours splendides j'ai rêvées! Mon unique culotte avait un large trou. Petit-Poucet rêveur, j'égrenais dans ma course Des rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse. Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou Et je les écoutais, assis au bord des routes, Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttes De rosée à mon front, comme un vin de vigueur; Où, rimant au milieu des ombres fantastiques, Comme des lyres, je tirais les élastiques De mes