Fuir La Société

Venant d’une famille moderne,Mussolini étais déjà très violent dès sont plus jeune âge,il  manque de peu le renvoie en 1893 lorsqu’il blesse un de ces camarade avec un couteau.   ­En 1900,il adhère au Parti socialiste italien et en préside la section local.  ­ Voulant fuir le service militaire,il entre en Russie en 1902 ou il perfectionne ses  connaissance idéologique syndicaliste révolutionnaire  ­,près de 2 ans plus tard il est expulsé à cause de certaines de ses menées d'extrême  gauche. ­­Dès son retour en Italie

plus beau, meilleur, dans lequel les difficultés du monde seraient effacées : une sorte d’utopie poétique, un monde parfait vu par le poète comme échappatoire au monde dans lequel il vit. Le poète recréer ou créer le monde sous une autre forme pour fuir la logique de la réalité . C'est le cas avec André Breton dans «  L'union libre » , en associant la beauté , la difficulté de compréhension , ses mots rares , « l'union libre » des mots, et des images ( métaphores) souvent peu traduisibles celui-ci

préférable de se cacher, c'est-à-dire se couper, se libérer de toute démarche sociale. Selon les épicuriens, le secret du bonheur réside dans la sphère privée... Cependant, qu'avons-nous comme vision du bonheur ? Se dissimuler rimerait avec le fait de fuir quelque chose ou même quelqu'un, mais quoi ? Est-il obligatoirement nécessaire de vivre de cette manière pour vivre heureux ? Tout d'abord, une atteinte du bonheur est nécessaire pour vivre heureux. Le concept de bonheur est une notion personnelle

la tristesse, qui n’est pas très étonnant chez Baudelaire et qui devient alors le Spleen. Dans ce poème « L’Albatros », on pourra observer comment Baudelaire réussit-il a opposé L’Idéal au Spleen. Il met aussi en place une vision pessimiste de la société dans laquelle il vit et où il n’y trouve plus sa place. C’est l’histoire d’un équipage sur un bateau traversant les océans et pour se divertir, ils jouent avec un albatros. On est face à un texte poétique mais dans les trois premiers vers on

« pauvre » (v.5) insiste sur la pauvreté de la vieille femme. Un sentiment de rejet est à noter. Toute la société, c'est à dire, les « jeune(s) et vieu(x) » (v.5) fuient devant la vérité. Pourtant, le narrateur externe et omniscient de ce texte trahit sa position avec l’adjectif «pauvre»: il est compatissent et cela accentue la pitié ressentie par le lecteur. L’exclusion de la vieille femme par la société se note par la présence de termes caractérisant des lieux, mis en relation par d’autres représentant

partir de chez les Beauchemin à la conquête de nouvelles expériences de d’aventures. Illustration : «Il fallu bien admettre que le Survenant était parti pour tout de bon». Page, 200. Sous-argument 2.2 : Le mode de vie nomade permet au Survenant de fuir les transformations des villes suite aux influences de la culture. Cela lui permet de vivre en harmonie avec la nature. Justification : La vie chez les Beauchemin représentait la sécurité et le confort des villes pour le Survenant. De plus, cela représentait

des éventails, guider gracieusement Freiner un imprudent moi, guider des célestes valeurs Juger tout un moi imbécile fou Lover mon vilain moi molli Restituer vite une bolide joie Imiter juste un temps l'oiseau piaffant inlassablement Jusqu'à fuir des bois Purifier des âmes, folie des fêtes, prison Joyeusement lover folie, étreindre gaieté, jouer calamité Pour nouer une vie. Gomme ton utopique pouvoir illusoire moi Pour parler il me faut une main de Maman Ou une main d'amour Pour m'aider

e mais aussi dans la poésie: ses premiers émois d’adolescent dans le poème Lise, ses souvenirs de collège dans le poème A propos d’Horace ou encore ses premiers luttes littéraires dans le poèmes Réponse à une accusation. La poésie permet, aussi, de fuir ou de sublimer une situation douloureuse pour la poète comme chez Charles Baudelaire avec Le 4ème poème du Spleen, tiré des Fleurs du Mal (1857), où le poète par l’abondance et l’horreur des images permet de cerner l’angoisse dans lequel il est. L’auteur

; Et s'il est, par la brigue, un rang à disputer, Sur le plus honnête homme on le voit l'emporter. Têtebleu ! ce me sont de mortelles blessures, De voir qu'avec le vice on garde des mesures ; Et parfois il me prend des mouvements soudains De fuir dans un désert l'approche des humains. Philinte Mon Dieu, des moeurs du temps mettons-nous, moins en peine, Et faisons un peu grâce à la nature humaine ; Ne l'examinons point dans la grande rigueur, Et voyons ses défauts avec quelque douceur

fidélité : il vaut mieux aller plus loin avec quelqu'un que nulle part avec tout le monde". Pierre Bourgeault. La fidélité, comportement inné ou acquis ? Ce fait de l’Homme amène beaucoup d’interrogations notamment au regard de l’évolution de la société face à cette notion que l’on trouve finalement quotidiennement dans les relations entre les personnes. En effet, la fidélité se constate aussi bien dans les relations personnelles entre les individus que dans les relations professionnelles. Cependant