Furie

Colorful Simple Modern Professional Project Work Scheme Concept Mind Map GraphL'amazone écarlate au panache de jaie souvent habillée en rouge et chapeau noir. femme d'action comme le prouvent ses surnoms « l'Amazone rouge » et « la furie de la Gironde ». pistolets et sabre à la ceinture. Anne-Josèphe Théroigne de Méricourt (1762-1817) Théroigne = nom de son père / de Méricourt = nom ajouté par la presse royaliste/son village de naissance) «La liégoise » admiratrice des Lumières, se rend à Versailes

formel utilisé montre que le personnage est pris de rage à cause de la trahison et de la déloyauté de Manon. Le chevalier tire un trait sur sa naïveté et prend conscience de la duperie de Manon. Il est blessé et a le cœur brisé en mille morceaux. Sa furie explose et le pousse à exprimer sa déception envers son amante. Il témoigne qu’il préfère périr que de continuer sa relation avec sa bien-aimée. Il jure ne plus regarder de son côté, ne plus avoir affaire avec elle ainsi de ne plus rien savoir d’elle

nature, fardeau, aventure  Vers 6-9 : rimes embrassées : tête, pareil, soleil, tempête  Vers 15-18. Rimes suivies : souvent, vent, injuste, arbusteVers 19-22 : rimes croisées : souci, redoutable, jusqu’ici, épouvantableVers 25-28 : rimes embrassées : .Furie, enfant, flanc, plie, Vers 29-32 : rimes embrassées : effort, déracine, voisine, mortMorale :La morale est suggérée par Jean de La Fontaine dans cette dernière partie par la réalisation des événements qui vont à l’encontre de ce que disait le chêne

charmante modiste dans son magasin de chapeau, à l’amante en furie. Ce passage du calme absolu à la colère noire fut donc le principal problème que cette scène nous donna. Une bonne partie de notre travail fut alors basé sur la nécessité de produire une énergie, un dynamisme énorme sur scène. Tout au long de l’année, jusqu’au dernier cour ce fut l’objectif principal de la scène : donner toute l’énergie possible à ce personnage en furie. Une autre partie de notre travail s’axa alors sur

cognant la tête à des plafonds pourris; Quand la pluie étalant ses immenses traînées D'une vaste prison imite les barreaux, Et qu'un peuple muet d'infâmes araignées Vient tendre ses filets au fond de nos cerveaux, Des cloches tout à coup sautent avec furie Et lancent vers le ciel un affreux hurlement, Ainsi que des esprits errants et sans patrie Qui se mettent à geindre opiniâtrement. - Et de longs corbillards, sans tambours ni musique, Défilent lentement dans mon âme; l'Espoir, Vaincu, pleure, et l'Angoisse

quelqu’un de « cruel » dans le vers 1034. On distingue tous les champs lexical de la barbarie qui est une expression extrêmement forte pour Pyrrhus car elle normalement utilisé par les grecs pour désigner les Troyens. 1041 : « Sa barbarie » + 1042 « furie » 1030 : « Si je te hais »  objet de la haine d’Andromaque qu’elle appelle « Mon crime » vers 1029 Puis cette barbarie s’acharne contre un innocent comme le montre ces nombreuses questions oratoires dans les vers 1029-1032 où Andromaque souligne

qui font références aux bruits des cloches et puis des allitérations en « -k », en « -l », en « -s » et en « -r » à la quatrième strophe qui font aussi références au bruit strident des cloches, par exemple « cloches qui sautent » vers 13. Le mot « furie » vers 13 symbolise des personnages de la mythologie grecque voire une fin naissante. L’apocalypse est aussi montrée avec des temps visuels, en d’autres termes, avec l’arrêt de la musique du poème et l’image visuelle de la mort et de fin qui est décrite

écrit 6 couplets. Lors de l’écriture, le pays était dans un contexte très violent puisque la France était en guerre avec certains de ses voisins ( Autriche-Prusse) depuis quelques mois. Chaque strophe est teintée de mots guerriers destinés à éviter la furie et la portée de chaque vers est renforcée par de nombreuses interjections «  aux enfants de la patrie «   . Les points d’interrogations et d’exclamation ponctuant 15 vers rendent cet appel aux armes plus vibrants et le refrain nous renvoie 7 fois

étranglent » : les éléments inanimés du décor s’animent d’une vie agressive, meurtrière. Et l’on comprend alors que dans l’esprit enfiévré du héros « les locomotives en furie / S’enfuient » : ces locomotives personnifiées et prises de folie – car c’est bien dans son sens étymologique que doit être ici entendu le substantif « furie » – ne peuvent que tenter d’échapper à un espace de violence, hanté par la mort que l’adolescent redoute de rencontrer au terme du voyage. À travers les propos de Blaise

Kader, chauffeur de son état, recherche, à ses moments de loisir, à se perdre dans “les bouges les plus infâmes, les plus dangereux, ceux où se retrouvent les marginaux, les dingues, les révoltés, les suicidaires, tous venus exsuder leur trop plein de furie et d’ agressivité.” Car la folie naît de la rage permanente des laissés pour compte qui n’ acceptent plus les conditions de vie qui sont les leurs. Saïd, sur les routes du Sud, cherche pour sa part à fuir l’ atmosphère familiale. ”Les quatre fils avaient