Fusain

grandeur et la puissance sont rarement associés à la peur. Ce qui est déstabilisant pour les spectateurs. Boy de Ron Mueck peut être rapproché au travail d'Ernest Pignon Ernest : Les cabines téléphoniques. Cet artiste français travaille des dessins au fusain qu'il appose ensuite dans les lieux publics. Artiste de rue, il interpelle les passants sur les sans-abris, les exilés, les laissées pour compte, la solitude. Pas de changement d'échelle ici, le personnage est dessiné grandeur nature.

quelques éléments de biographie permettant d’éclairer l’étude de l’œuvre. • Son titre (il doit toujours être souligné), sa date de réalisation, son format, la technique et le support (exemple: peinture à l'huile sur toile, sculpture en bronze, dessin au fusain sur papier, etc.). • Le genre (exemple: nature morte, portrait, paysage, scène de bataille, œuvre abstraite, etc.). • Le domaine artistique auquel l’œuvre appartient : arts du visuel, de l’espace, du son, du langage. • La nature de l'œuvre présentée

de MATISSE avec tout ce qui s’y rattache de passage entre l’extérieur et l’intérieur. Ici, on a en plus la sensation que le peintre s’est peint lui-même (alors que l’on sait qu’il a demandé à son fils de poser comme en témoigne une grande étude au fusain conservée au Musée Matisse du Cateau). On ne voit pas son visage, on voit peut de l’extérieur, on voit peu de l’intérieur mais cette mise en scène témoigne de cette qualité de la musique d’apaiser…les formes et les couleurs. Matisse n'est pas le

qu'ils font partie des initiateurs de l'art urbain en France. C'est lui qui choisit le lieu de ses actions urbaines par rapport à ce qui s'en dégage (sons, odeurs, sensations), ensuite, il dessine sur un papier journal à la pierre noire ou bien au fusain des personnages à taille réelle et va coller son travail sur un mur, une cabine téléphonique, etc. Ernest Pignon-Ernest, niçois, vit et travaille à Paris. Depuis plus de trente ans il appose des images sur les murs des cités. Ses eouvres sont dites

et peint alors une série intitulée "Nous ne sommes pas les derniers" dont voici des exemples : Dans ces tableaux, Music représente des corps et leur maigreur, des entassements de morts. Très peu de couleurs, avec quelques rehauts de blanc et de fusain. Le visage exprime la douleur et l’horreur. Le fait que les hommes soient nus est une manière de les rabaisser et de les humilier. Lorsque l’on voit ces tableaux, on comprend la douleur qu’ils expriment, l’horreur dans laquelle ils vivent. Ces œuvres

mythologique, religieuse, de la vie quotidienne,…  sujet : identification de ce qui est précisément représenté (personnages, objets, décors) Analyse technique de l’œuvre (pour un dessin, une peinture, une gravure)  technique utilisée : dessin au crayon/fusain/pinceau/pastel, à la sanguine/craie …, dessin à l’eau (aquarelle, lavis), estampe (taille en relief : xylographie, ou taille-douce (en creux) : burin, eau-forte, ou lithographie, ou sérigraphie …), peinture à sec, peinture à l’eau (fresque, gouache

skat Date: 1920 Type, genre (fresque, tableau, icône...): C'est un tableau Dimension:1,17m sur 0,87m Lieu de conservation, d'exposition:exposé à Berlin dans la « Neue Nationalgalerie », la Galerie nationale. Techniques utilisées (gouache, huile, fusain...):C'est une huile sur toile et collage. B) l'auteur: Son nom: Otto Dix Ses dates: Il est né en 1891 à Untermhaus en Allemagne et meurt en 1969 à Singen. Autres activités: C'est un peintre, un dessinateur, un graveur. Ecole : Il entre à l'école

n'émeut pas plus qu'en ces temps décrits. Cet ouvrage est d’un humanisme saisissant. Les arts du son  Les arts visuels  l’œuvre son titre l’auteur choix de l’œuvre Portraits d’esclaves Ces dessins (pastels, fusain) livrent l’envers de l’histoire officielle. Cette série de portraits correspond bien à cette histoire des regards. Le point de vue humaniste du portraitiste redonne une liberté symbolique à ces esclaves « croqués » dans un moment de leur vie, et contribue

La composition : les différents plans, les lignes structurantes (avec point de fuite), la perspective et profondeur, la répartition des masses, la symétrie, … (possibilité de faire un schéma sur un calque) La technique utilisée : dessin au crayon / fusain/pinceau / pastel, à la sanguine / craie …, aquarelle, estampe (taille en relief : xylographie, ou taille-douce (en creux) : eau-forte, ou lithographie, ou sérigraphie…), peinture à sec, peinture à l’eau (fresque, gouache, …), détrempe, peinture à

composition : les différents plans, les lignes structurantes (avec point de fuite), la perspective et profondeur, la répartition des masses, la symétrie, … (possibilité de faire un schéma sur un calque) La technique utilisée : dessin au crayon / fusain/pinceau / pastel, à la sanguine / craie …, aquarelle, estampe (taille en relief : xylographie, ou taille-douce (en creux) : eau-forte, ou lithographie, ou sérigraphie…), peinture à sec, peinture à l’eau (fresque, gouache, …), détrempe, peinture à