Fusil

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retirant le masque qu’elle portait, voulant dévorer le petit chaperon vert sans défense. La gueule grande ouverte, un loup aux ridicules petit crocs tentait de mordre son repas. Le chasseur réagit en tirant plusieurs coups de fusil sur l’animal, loupant sa cible, car son fusil était pourvu de balles à blanc. La grand-mère assomma le loup avec son sac à main où se trouvait un lingot d’or. Ils le gardèrent en captivité et l’apprivoisèrent Depuis ce jour, le petit chaperon vert va chez sa grand-mère

armes!». Ce raid était une vraie catastrophe pour les alliées. La position des allemands était dans le haut d’une falaise dans deux gros cylindres avec des mitraillettes montée et des fusils sniper. La position des allemands était dans le haut d’une falaise dans deux gros cylindres avec des mitraillettes montée et des fusils sniper. Sur les 6100 soldats déployés, 4397 sont portée disparue, soit fait prisonniers, blessé et abandonné ou mort. Les canadiens sont ceux qui ont le plus souffert, 907 d’entre

concernés. L'origine sociale, l'opinion politique ne compte plus. Ils veulent défendre leur patrie face aux adversaires. On assiste alors à un réflexe patriotique du peuple. Certains portent en eux un « enthousiasme patriotique ». Ils portent la fleur au fusil. Ils sont convaincus que cette guerre sera très courte et victorieuse. Elle devait être la « der des der ». Les « poilus » sont animés par un sentiment patriotique qui les aveugle face aux danger de la guerre. En 1914, suite à l'échec de la guerre

pour être fusillés; bien souvent on choisissait des communistes. Par exemple, pour un attentat à Romorantin, près de Blois, 8 copains de Blois ont été fusillés. Malgré tout, la Résistance continuait dehors. Nous étions beaucoup de communistes et nous étions visés, c'est nous qu'on fusillait. On essayait de s'organiser quand même. Les conditions de détention étaient horribles, on était dans des cages à poule, avec juste un lit et des toilettes, en tenue de bagnard. La plupart des fusillés l'étaient

FRANCE » -> Acte de reconnaissance pour ces personnes sous l’aspect politique, mais qui sont avant tout des hommes Hommage : Anaphore « vingt et trois » (allitération en t > évoquer le bruit des fusils qui tirent sur les résistants.) + Titre « Strophes pour se souvenir » + métaphore « les fusils fleurissent » « Vous » : en faisant cela, il les fait revivre et réactualise leur souvenir Prise de distance du poète à la fin : utilise la 3ème personne du pluriel « ils » qui suggère la mort des

son frère sur le trône et éviter que l'Espagne ne s'allie à l'Angleterre contre l'Empire français). • Sujet représenté : Le tableau Tres de Mayo représente l'exécution de 43 patriotes espagnols, fusillés par les soldats français à Madrid le 3 mai 1808, pendant la nuit. Ils sont fusillés en représailles d'une révolte qui a lieu la veille (2 mai) à Madrid. • Contexte (ce qui entoure l'événement et permet de l'expliquer) : en janvier 1808, les troupes françaises entrent en Espagne pour

datant de 1955. C'est un poeme écrit par Louis Aragon un auteur du Xxeme siecle qui est un poete engagé, c'est aussi un trés grand poete de la resistance connu sous le nom de François-La_Colère. Il a écrit ce poeme en memoire du group emanouchian fusillé en 1944 par la Gestapo. L'annonce de leur condamnation avait était faite par le biais d'une affiche de propagande ou l'on retrouvé leur portrait l'affiche est rester dans les memoires sous le nom d'affiche rougede. Louis Aragon de son vrai nom louis

parlant du français : « la parlure plus délitable et commune à toutes gens. » (Le livre du Trésor). - Albert Camus : « Ma patrie, c'est la langue française. » - Otto von Habsburg : « La langue anglaise est un fusil à plombs : le tir est dispersé. La langue française est un fusil qui tire à balle, de façon précise. » - Rivarol : « Tout le monde a besoin de la France, quand l'Angleterre a besoin de tout le monde. » - Anatole France : « La langue française est une femme. Et cette femme est

peinture à l’huile. Il y est représenté quatre chinois en slip devant le mur de « La Cité Interdite » prêt a ce faire exécuter par d’autres chinois face à eux. On constate que tous les personnages sont hilares. Les soldats sont mis en joue avec des fusils invisibles et un autre soldat au premier plan fait semblant de recharger. Les couleurs utilisées pour le tableau sont typiques de Yue Minjun, c’est-à-dire les couleurs pâles ou pétantes. On peut constater que ce tableau est inspiré de celui de Goya