Fusil

intitule son discours du 3 avril 1964 : « the ballot or the bullet »(le bulletin de vote ou le fusil), image également utilisée dans l’imagerie de la révolution française, (dessin de Bosredon « le vote ou le fusil »). L’analyse de ce choix montre tout d’abord que pour obtenir le vote, symbole de la liberté, on pourra utiliser le fusil (la liberté ou la mort) mais indique aussi que si le vote est possible le fusil n’a plus de raison d’être. L’utilisation de la violence est difficile à justifier alors que

des déchirures sont visibles sur leurs vêtements. Ensuite au deuxième plan, les combattants, fusils et épées en mains. On peut en voir cinq dont un de profil, le premier est au sol avec un chapeau sur la tête et regarde les morts. Le second semble regarder la femme, avec une épée, à la main droite, levée vers le haut, et une sorte de béret. Le troisième a un haut-de-forme, une barbe, un gros fusil tenu fermement des deux mains, et bien habillé il regarde les morts. Ce personnage représente Eugène

imposer son frère sur le trône et éviter que l'Espagne ne s'allie à l'Angleterre contre l'Empire français). • Sujet représenté : Le tableau Tres de Mayo représente l'exécution de 43 patriotes espagnols, fusillés par les soldats français à Madrid le 3 mai 1808, pendant la nuit. Ils sont fusillés en représailles d'une révolte qui a lieu la veille (2 mai) à Madrid. • Contexte (ce qui entoure l'événement et permet de l'expliquer) : en janvier 1808, les troupes françaises entrent en Espagne pour renforcer

récupéré (surtout des armes) est estimé à environ 180 tonnes, ce qui montre l’activité. Le SIPO-SD du Mans estime qu’il y a deux types de résistants : - ceux qui travaillent pour les alliés et doivent être fusillés - les autres, à condition de n’être pas terroristes doivent être déportés dans un camp de concentration pour travailler. Les sections sont les suivantes : Amt II et III : regroupées s’occupent

sur le dos des Français, ils sont donc décrits comme des charognards.  « Les cris sourds » soulignent la répression sur les opposants et résistants (« le parti communiste » en est l’une des premières victimes, il devient d’ailleurs le parti des fusillés).  « Le pays qu’on enchaîne » nous montre la volonté d’écraser toute opposition mais aussi la montée de la résistance dès 1942 et l’existence de maquis comme celui du Vercors ou celui d’Ecot, dans la région de Montbéliard.  Le chant souligne également

est désigné comme un homme ordinaire « un homme » (pas d’identité, emploi d’un article indéfini). Les propositions subordonnées (« qui n’avait pour défense / Que ses bras ouverts à la vie » ; « qui n’avait d’autre route / Que celle où l’on hait les fusils ») permettent d’esquisser son portrait psychologique : celui d’un pacifiste, généreux, aux antipodes du héros belliqueux. Son identité n’apparaît qu’à la fin du poème avec « ajoutons-y Péri » (v. 23). 3. Quels sont les « mots qui font vivre » ? Relevez-les

du groupe Manouchian, qui ont lutté pour la libération de Paris et ont été fusillés par les Allemands le 21 février 1944. Ce poème a été publié dans le journal communiste l’Humanité à l’occasion de l’inauguration de la rue « du Groupe Manouchian », située dans le 20e arrondissement de Paris. Pour écrire ce poème, Louis Aragon s’est inspiré de la dernière lettre écrite par Missak Manouchian à sa femme avant d’être fusillé. Analyser Description Ce poème est construit en 7 strophes de 5 vers (=

brigadier 58e régiment 48e batterie 68e secteur , à son ami Justin Cayrou, 14 février 1918. (29 ans en 1914, fils d’ouvriers agricoles du Tarn-et-Garonne.), adaptée et illustrée par Teddy Kristiansen, p.55-57. « Samedi 31 juillet 1915 Chère femme… » : Le fusillé : lettre de Marcel Guarrigues à son épouse, 31 juillet 1915. (électricien du Lot-et-Garonne, 31 ans en 1914. Tué le 12 décembre 1915 par une balle perdue alors qu’il servait le repas à ses camarades, laissant une veuve et quatre enfants, qui apprend

recueillir et fleurir les tombes. Ou encore, l'Ossuaire de Douaumont construit à partir de 1920 pour "la réconciliation et la paix". Tous ces édifices ont pour but de donner une image glorieuse de la guerre. A ce moment de l'histoire, les hommes fusillés pour l'exemple n'étaient pas reconnus comme des héros mais plutôt comme des lâches. Dans un second temps, la propagande et la mobilisation culturelle sont toujours très largement présentes dans les sociétés. Elles évoquent l'idée d'une rancune

troupes ; les casques d’acier luisent au clair de la lune avec des reflets mats. Les têtes et les fusils émergents de la blancheur du brouillard […] les tuniques, les pantalons et les bottes sortent du brouillard comme d’un étang de lait. Ils se forment en colonne. […] on ne reconnaît plus les individus ; ce n’est qu’un coin sombre allant lentement de l’avant, complété bizarrement par les têtes et les fusils qui semblent sortir, en nageant, de l’étang de brouillard. ». Le panneau central est consacré