Fusil

pour ses reportages en Asie : The Three Banners of China, The Face of North Vietnam, Visions of China, et son plus récent In China… Cette photographie est cadrée en plan rapproché taille et montre une rangée de soldats armés, habillés à l’identique, fusils pointés en avant. On reconnaît les forces de l’ordre dont la mission est de contenir la manifestation et d’éviter tout débordement. Face à eux se trouve une jeune fille qui tient une fleur. Elle porte une robe fleurie et une coupe de cheveux qui évoquent

s’il veut vraiment sacrifier 6 vies innocentes. Mais pour finir il les laisse tous mourir. Quand la nouvelle arrive que Bolivar a dépassé Santa-Monica (où il retrouvra ses hommes) et que trois soldats espagnols ont été tués par lui, Montserrat est fusillé comme les otages. Il meurt avec l’éspoir que Bolivar pourrait gagner contre les Espagnols et réussir à rendre le Vénézuela indépendent. Personnages Montserrat: Il a 28 ans, il est un officier espagnol et le personnage principal du livre. Il est devenu

qui va lui procuré une notoriété internationale. En 1881, Marey rencontre Muybridge. Il est impressionné par son système mais le trouve complexe à utiliser. Marey invente donc le fusil photographique permettant de prendre douze photos à la suite. Mais le résultat obtenu est trop petit et difficilement exploitable. Fusil photographique Il invente alors le chronophotographe lui permettant d’obtenir plusieurs clichés sur une même plaque. Il perfectionne le procédé en habillant ces collaborateurs

réduisait ses offres, plus l'Africain buvait, plus il cédait de ses prétentions.'' C'est horrible il parle d'homme comme des objets que l'on peut vendre. ''De mauvaises cotonnades, de la poudre, des pierres à feu, trois barriques d'eau-de-vie, cinquante fusils mal raccommodés furent donnés en échange de cent soixante esclaves.'' et en plus pour des pacotilles et contre 60 âmes !! ''Tamango, qui ne savait que faire de ce rebut, offrit au capitaine de les lui vendre pour une bouteille d'eau-de-vie la pièce

matérialisée par la chute de l'homme sur l'herbe, le relâchement de la main et le fusil qui lui échappe. Ce même fusil symbolise la lutte pour la liberté. La vie, au contraire est matérialisée par le ciel clair et les nuages blancs, et la lumière de cette fin de journée. La ligne d'horizon «ombrageuse » (en bas à droite de la photo) rejoint la ligne dessinée par l'ombre du milicien. Leur point de fuite est matérialisé par le fusil. Les jambes vacillent et les genoux fléchissent tandis que la partie supérieure

durant la 1GM -Combats et violence pendant la guerre (1914-1918) I. La violence des combats A. Une puissance de feu jamais atteinte auparavant (mortiers, obusnombreux et long bombardements : 60millions d’obus à Verdun entre fév. et juin 1916, fusils et mitraillettes) B. Des assauts inefficaces et meurtriers (inefficace car tranchées protègent : description, meurtriers car meurtriers car les armes puissantes font de gros dégâts, mais principalement en première ligne) C. De nouvelles armes et

les soldats sont dans l’obscurité. Le regard est attiré vers le personnage central : le plus grand, le seul à montrer son visage, désigné par la ligne des fusils.. Un moine en train de prier et supplier Civils espagnols sans arme : Désespoir Courbés, agenouillés et se cachant les yeux Deux cadavres Le personnage central regarde en face les fusils Personnage principal : Peut être identifié au christ car il a des stigmates et a ses mains en croix Son visage exprime sa souffrance Soldats napoléoniens(7):

nait dans la vie quotidienne des occupés, par des pénuries alimentaires dès 1914, où les ravitaillements sont insuffisants, et par ces nombreuses déportations qui effraient et paniquentchaque jours. Également Werner Beumelburg dans Civils belges « fusillés pour l’exemple », un extrait de La guerre de 14-18 racontéeddddddddddddddddddddddddddddddd’entrée des troupes allemandes dans différents territoires en 1914, frappent les civils par une série d’atrocités. Un article de Marie Degrutière en 1998,

partie gauche du tableau, on voit des cadavres qui baignent dans leur sang et d'autres hommes qui s’apprêtent à se faire fusiller, ils sont vêtus simplement et ne sont pas armés. Leur visage exprime la peur, le désespoir mais aussi le courage. Parmi eux, il y a un homme vêtu de blanc, il a les bras en croix, position qui nous rappelle celle du Christ sur la croix, et les fusils des hommes sont pointés sur lui. Si on regarde de plus près, on peut voir que l'homme en blanc a un stigmate (=signe chrétien

16 novembre 1943 avec les autres membres du groupe par la police française et remis aux autorités allemandes. Apres des mois de torture les 23 membre du groupe sont jugés et condamnés à mort par un tribunal militaire allemand. Les 22 hommes sont fusillés sur le mont- valérien le 21 Février 44 et OGLA BANCIC, la seul femme et décapitée à Stuttgart. Les jours suivant l’exécution 150000 exemplaires de « l’affiche rouge » sont placardés dans Paris. Les couleurs dominantes de l’affiche sont le rouge (le