Fées Ont Soif

d'une signification certaine de l'espace présent le poussent pour nager dans ses nuages, loin de l'imperfection réelle de son monde ; « [...] Guermantes lui ne m’est apparu que comme le terme plutôt idéal que réel de son propre « côté », [...] »34. La soif spatiale du narrateur l'obsède, il souhaite toujours aller plus loin vers un monde insaisissable : « Jamais dans la promenade du côté de Guermantes nous ne pûmes remonter jusqu’aux sources de la Vivonne, auxquelles j’avais souvent pensé et qui avaient

S’agit-il d’un pays réel ou imaginaire ? ………………………………………………………………………………………………………….. e) Comment les contes se terminent-ils presque toujours ? …………………………………………………………………………………………………………… Attention à l’orthographe du mot conte Dans cet étrange conte de fées, un comte se rend compte en faisant ses comptes qu’il n’a plus d’argent sur son compte. Les mots placés en gras sont des…………………………………… du mot « conte ». Note les définitions des mots ci-dessous : Le comte : ……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………

tous les enfants regardent le ciel. Un jour, Martin ne veut rien manger. Personne ne le comprend. Alia donne à Martin du pain neuf chaque jour, mais il ne veut pas. Alia veut savoir pourquoi est-ce qu’il jeûne. Martin l’explique qu’on a très soif, on ne veut pas manger. Et qu’il n’a pas envie de manger. • Après une petite pause, Martin et Alia continuent de discuter. Martin la dit qu’il n’a pas envie de manger ni de boire. Quand Alia lui demande de quoi il a envie, Martin

Augustin, le nain de jardin, qui croit avoir la solution à tous ses problèmes. Oui mais voilà, ce n’est pas le cas et il faut se dépêcher car les fleurs du jardin et les légumes du potager, surtout Charlotte et Charly, commencent à avoir soif, et même très soif… à partir de 18 mois jusqu’à 5 ans 32 Samedi 1 7 /- 15h 11 2012 Il était une fois Luis Mariano Dreams Productions Spectacle Opérette / 24 € et 29 € Durée : 2h avec entracte Distribution : Musique de Francis Lopez Chorégraphies

–8– Je regardai donc cette apparition avec des yeux tout ronds d’étonnement. N’oubliez pas que je me trouvais à mille milles de toute région habitée. Or mon petit bonhomme ne me semblait ni égaré, ni mort de fatigue, ni mort de faim, ni mort de soif, ni mort de peur. Il n’avait en rien l’apparence d’un enfant perdu au milieu du désert, à mille milles de toute région habitée. Quand je réussis enfin à parler, je lui dis : – Mais… qu’est-ce que tu fais là ? Et il me répéta alors, tout doucement

ouverts. Je regardai donc cette apparition avec des yeux tout ronds d'étonnement. N'oubliez pas que je me trouvais à mille milles de toute région habitée. Or mon petit bonhomme ne me semblait ni égaré, ni mort de fatigue, ni mort de faim, ni mort de soif, ni mort de peur. Il n'avait en rien l'apparence d'un enfant perdu au milieu du désert, à mille milles de toute région habitée. Quand je réussis enfin à parler, je lui dis : — Mais... qu'est-ce que tu fais là ? Et il me répéta alors, tout doucement

ni celui de mon village. Le serpent qui ne pouvait reparaître aux yeux des humains se tut. Il réfléchit longuement, promena ses regards autour de lui et finit par dire : Tu resteras ici jusqu'à ce que Dieu t'ouvre un chemin. J'épouse ta faim et ta soif : tu seras mon enfant . Mais tu devras m'obéir et ne jamais dépasser le seuil de la caverne. Nous sommes ici dans le royaume des bêtes ; il pourrait t'arriver malheur si tu t'aventurais. Le serpent l'éleva. Il fut pour elle à la fois un père et une

[pic] [pic]Je regardai donc cette apparition avec des yeux tout ronds d'étonnement. N'oubliez pas que je me trouvais à mille milles de toute région habitée. Or mon petit bonhomme ne me semblait ni égaré, ni mort de fatigue, ni mort de faim, ni mort de soif, ni mort de peur. Il n'avait en rien l'apparence d'un enfant perdu au milieu du désert, à mille milles de toute région habitée. Quand je réussis enfin de parler, je lui dis: [pic]-Mais qu'est-ce que tu fais là? [pic]Et il me répéta alors, tout doucement

–8– Je regardai donc cette apparition avec des yeux tout ronds d’étonnement. N’oubliez pas que je me trouvais à mille milles de toute région habitée. Or mon petit bonhomme ne me semblait ni égaré, ni mort de fatigue, ni mort de faim, ni mort de soif, ni mort de peur. Il n’avait en rien l’apparence d’un enfant perdu au milieu du désert, à mille milles de toute région habitée. Quand je réussis enfin à parler, je lui dis : – Mais… qu’est-ce que tu fais là ? Et il me répéta alors, tout doucement

– Je regardai donc cette apparition avec des yeux tout ronds d’étonnement. N’oubliez pas que je me trouvais à mille milles de toute région habitée. Or mon petit bonhomme ne me semblait ni égaré, ni mort de fatigue, ni mort de faim, ni mort de soif, ni mort de peur. Il n’avait en rien l’apparence d’un enfant perdu au milieu du désert, à mille milles de toute région habitée. Quand je réussis enfin à parler, je lui dis : – Mais… qu’est-ce que tu fais là ? Et il me répéta alors, tout doucement