Félix Vallotton Les Barbelés

Histoire Des Arts Les barbelés de Felix vallotton Presentation Félix Vallotton, né à Lausanne le 28 décembre 1865 et mort à Paris le 29 décembre 1925.Crée Les barbelés en 1916.Dimension :25,2 x 33,5 cm exposée a Galerie Paul Vallotton en Lausanne. Le contexte Vallotton était un travailleur dévoué, sans cesse à la recherche de nouvelles formes d'expression. Touché par l'horreur de la Première Guerre mondiale, il trouva dans le conflit une source d'inspiration qui le poussa vers l'art abstrait

l'on a étudié avec le tableau Triptyque. -1ère oeuvre: Artiste: Félix Vallotton Epoque: 20 ème siècle, il a donc connu cette 1ère guerre Nationalité: Suisse puis Français. Style: lithographie = gravure sur bois Tableau: Les barbelés, 1916. -Cet artiste est touché par l'horreur de la guerre et trouve une source d'inspiration et se tourne vers l'art abstrait. Ce tableau nous montre le côté schématique qu'à tiré Felix Vallotton de la gravure. Description: Dans ce tableau, on peut voir: -deux

1914-15, huile sur toile, 51 x 76 cm, National Gallery of Canada, Ottawa. Pierre Bonnard, Un village en ruines près de Ham, 1917, huile sur toile, 63 x 85 cm, Musée d'histoire contemporaine - BDIC, Paris. Félix Vallotton, Les barbelés, 1916, xylographie, 25,2 x 33,5 cm, Galerie Paul Vallotton, Lausanne. Fernand Léger, La partie de cartes, 1917, huile sur toile, 129 x 193 cm, Kröller-Müller Museum, Otterlo. Question 2 Analyse d’un tableau Retrouve le tableau suivant sur le site L’Histoire par

dénomme son esthétique "réalisme idéiste". Gino Severini, Synthèse plastique de l'idée Guerre, 1915, huile sur toile, 60 x 50 cm, Galerie municipale d'art moderne, Munich. Avant de se rendre sur le front pour tenter d'y peindre la guerre, Vallotton (1865-1925) en grave les images emblématiques. Son album C'est la guerreréunit des gravures sur bois - technique dont l'artiste s'était rendu maître dans les années 1890. Elle exige la simplification à l'extrême, le contraste du noir et du blanc

expérience du feu. Dès les premières minutes, ils succombent en grand nombre dans les barbelés qui séparent les ennemis. Les soldats des deux bords ont l’impression de vivre en enfer. Les débauches d’artillerie empêchent toute percée d’aboutir. Les soldats combattent souvent pour quelques mètres et n’arrivent pas à percer les tranchées ennemies protégées par un tir nourri d’artillerie et des lignes de barbelés. Le bilan de la bataille de la Somme est très lourd. 650 000 alliés, principalement des

expérience du feu. Dès les premières minutes, ils succombent en grand nombre dans les barbelés qui séparent les ennemis. Les soldats des deux bords ont l’impression de vivre en enfer. Les débauches d’artillerie empêchent toute percée d’aboutir. Les soldats combattent souvent pour quelques mètres et n’arrivent pas à percer les tranchées ennemies protégées par un tir nourri d’artillerie et des lignes de barbelés. Le bilan de la bataille de la Somme est très lourd. 650 000 alliés, principalement des

expérience du feu. Dès les premières minutes, ils succombent en grand nombre dans les barbelés qui séparent les ennemis. Les soldats des deux bords ont l’impression de vivre en enfer. Les débauches d’artillerie empêchent toute percée d’aboutir. Les soldats combattent souvent pour quelques mètres et n’arrivent pas à percer les tranchées ennemies protégées par un tir nourri d’artillerie et des lignes de barbelés. Le bilan de la bataille de la Somme est très lourd. 650 000 alliés, principalement des

différentes => dans la 2nd => influence due cubisme qui décompose les morceaux, du fauvisme avec les couleurs => dans la 1st il s'agit d'une oeuvre témoin et l'autre plutôt = production de l'artiste lui même avec une sorte de dénonciation. ○ Félix Vallotton « Verdun » = travaille par projections colorées = influence des couleurs mise au service des représentations et en même temps forme de rejet. ○ Fernand Léger « La partie de carte » = cubiste au départ => on voit évidemment dans ce tableau l'influence

sur un front de 40 km entre Soissons et Reims. Pour la première fois du côté français, des chars d’assaut doivent être engagés. Le 16  avril, quand les premières vagues s’élancent à l’assaut du plateau du Chemin des Dames, elles se heurtent à des barbelés allemands restés intacts malgré les bombardements de l’artillerie. Elles sont fauchées par le feu des mitrailleuses allemandes. Malgré des pertes particulièrement élevées (30 000 tués et 100 000 blessés en 10 jours du 16 au 25 avril) et en dépit

sur un front de 40 km entre Soissons et Reims. Pour la première fois du côté français, des chars d’assaut doivent être engagés. Le 16  avril, quand les premières vagues s’élancent à l’assaut du plateau du Chemin des Dames, elles se heurtent à des barbelés allemands restés intacts malgré les bombardements de l’artillerie. Elles sont fauchées par le feu des mitrailleuses allemandes. Malgré des pertes particulièrement élevées (30 000 tués et 100 000 blessés en 10 jours du 16 au 25 avril) et en dépit