Fénelon Le Luxe

Simplicissimus»” (1688, “Simplicissimus l’aventurier”) où le héros, au nom bien mérité, traverse la guerre et le monde, séjourne à Paris, pour finir ermite désabusé et expiant? C’est aussi un roman d’éducation, sur le modèle des “Aventures de Télémaque” de Fénelon où le fils d’Ulysse avait fait son éducation par le voyage ; Candide, nouveau Télémaque, au fil des aventure, suit lui aussi un parcours spirituel et moral et secoue la tutelle de son Mentor, Pangloss. Antérieurement, Zadig, Babouc, Memnon, avaient

La Fontaine. (p.41) 11.Le roman et la nouvelle dans la 2e moitié du XVIIème siècle. Mme de la Fayette. (p.47) 12.Lettres et mémoires : Mme de Sévigné. Cardinal de Retz. Saint-Simon. (p.49) 13.La Rochefoucauld. Vers la fin du siècle. La Bruyère. Fénelon. (p.54) 14.La mise en question des valeurs établies. La Querelle des Anciens et des Modernes. Bayle. Fontenelle. (p.56) 15.Le roman au XVIIIème siècle : théories et réalisations. Montesquieu. Marivaux. Prévost. (p.58) 16.Le théâtre. Le sage. Marivaux

© ATHENA e-text, Fénelon, De l'Education des Filles, version rtf. Numérisation et correction: Selamawit Abebe, Flor Alen Sanchez, Stéphanie Equey __________________________________________________________ FENELON (1651 - 1715) DE L'EDUCATION DES FILLES (1687) __________________________________________________________ OEUVRES DE FENELON. SECONDE CLASSE. OUVRAGES DE MORALE ET DE SPIRITUALITE. DE L'EDUCATION DES FILLES. Edition des Oeuvres complètes, tome V J. Leroux

© ATHENA e-text, Fénelon, De l'Education des Filles, version rtf. Numérisation et correction: Selamawit Abebe, Flor Alen Sanchez, Stéphanie Equey __________________________________________________________ FENELON (1651 - 1715) DE L'EDUCATION DES FILLES (1687) __________________________________________________________ OEUVRES DE FENELON. SECONDE CLASSE. OUVRAGES DE MORALE ET DE SPIRITUALITE. DE L'EDUCATION DES FILLES. Edition des Oeuvres complètes, tome V J. Leroux et Jouby, Paris; Gaume

sciences et les arts sont responsables de l'amollissement des hommes, de l'hypocrisie mondaine et de la décadence des mœurs. La seconde partie se fonde sur la raison pour affirmer la vanité des connaissances, l'inutilité des philosophes, la nocivité du luxe et les risques de toute éducation enseignant autre chose que la vertu. * Le Discours sur l'origine et les fondements de l'Inégalité parmi les hommes, est aussi une œuvre préalable à la compréhension du contrat social. Ce second Discours suit le

compréhensibles à tous." Léon Tolstoï, Qu'est-ce que l'art ? "Ne cesse de sculpter ta propre statue." Plotin, Ennéades. "Une oeuvre d'art est un coin de la création vu à travers un tempérament." Emile Zola, Mes haines. "L'art n'est pas un luxe, mais un besoin vital." Robert Bresson. "Ne fais pas attention à ce que l'on écrit sur toi. Contente-toi de le mesurer." Andy Warhol. "Les peintres et les poètes ont toujours eu le droit de tout oser." Horace. "L'art, c'est la plus sublime

pas moins folle. Démocrite . — Croyez-en ce qu’il vous plaira ; et pleurez encore sur moi, si vous avez des larmes de reste : pour moi, je suis content de rire des fous. Tous les hommes ne le sont-ils pas ? Fénelon, Dialogue des morts (1712), XIV LL 5Texte 5 : “Mais qu’est-ce qui t’a fait peur dans ce discours sur le rire? Tu n’élimines pas le rire en éliminant ce libre.Non, certes. Le rire est la faiblesse, la corruption,

Le personnage de la princesse ne peut être associée à Mme de Lafayette.4. Une sorte de conte de fées?Le narrateur raconte l'Histoire de France en la mêlant à du merveilleux, comme le révèle la première phrase du roman, ou encore les références au luxe des vêtements, ou les évocations hyperboliques des personnages. Comme dans les contes, on retrouve bal, tournoi, mariages, mère qui meurt, forêt ...Mais dans ce conte s'introduit une tragédie : le conte se finit mal, car l'amour est impossible et entraîne

déjà, elle présente des éléments douteux, imparfaits, malsains, indignes de contribuer à la pureté requise. Le « bon usage » vient d'une élite morale, sociale, géographique, à l'intérieur de l'élite de pouvoir qu'abrite Versailles, monde d'ordre, de luxe, sinon de volupté, à l'écart de la « Ville », forcément impure, et de la grossièreté des usages bourgeois qu'elle abrite. Le reste, l'immense majorité, n'est pas même nommé. Mais cette Cour elle-même, lieu de la victoire du pouvoir central sur la noblesse

dépouillent leur âme. Marie, non plus, n'avait pas jusqu'à ce moment connu l'amour. Elle l'avait cherché désespérément, donnant libre cours à une sexualité panique qui n'avait jamais trouvé son apaisement. Elle a été «grande dame », elle a connu le «luxe », des hommes se sont tués pour elle. Rien ne l'a satisfaite. Ce qu'elle cherchait, c'était un être «plus grand, plus noble, plus fort» que tous les autres et qu'elle aimerait, qui l'aimerait. Elle l'a cherché jusqu'en l'état où elle est réduite et