Gacaca

reconstruction. De nombreux pays européens, dont le Royaume-Uni, la Belgique, les Etats-Unis ou les Pays Bas, donnent également une aide bilatérale au Rwanda visant aussi le respect de la liberté de presse ou encore le soutien à l’indépendance des Gacaca. On constate que, malgré des difficultés techniques ou de fonctionnement, le TPIR réussit à juger et inculper de plus en plus de suspects pour commettre le génocide ou y avoir participé. Sa création était le résultat d’une volonté politique des Etats

les détenus libérés encore très peu nombreux. Beaucoup de détenus meurent en prison. Des milliers de suspects du génocide croupissent toujours dans les geôles rwandaises.Source:www.visiontv.ca En plus, la justice sans défense dans le système « Gacaca » n’est qu’un moyen efficace pour coller à l’ethnie Hutu l’étiquette de génocide. Bref, la justice du FPR est un instrument politique parfait pour lui permettre de régner sur le Rwanda sans partage et sans inquiétude pour toujours. A l’étranger

car question de fonctionnement pour que les accusées et vicitmes puissent se déplacer et ne pas accuser la justice internatioanle de néocolonialisme. Le tribunal a condmané à 61 personnes à perpétuité mais il connait de slimites donc création des gacacas (voir hggsp) 12 000 tribuanx mep permettant de jugé 2 M de personnes= appaiser rapidement les tensions. Ces tribunaux coutent cheres donc ont mis fin a ces tribunaux mais il existe un mecanisme pour les tribunuax internationaux, assurent le suvis

killings in Buhanda and the murder of Adventist pastors and their families in Gitovu on 20 May. There is ext ensive information available on Gakuba in African Rights’ 2006 Witness to Genocide on Rutiganda and also “ Nkomero: A Collective Account” [of gacaca], April 2003, 50 pages. § Rose Karushara Rose Karushara is one of the best-known female génocidaires. She was the councillor of sector Kimisagara, commune Nyarugenge in Kigali. Now in her mid-sixties, she comes from Bwakira, Kibuye. A tall and

les membre d’un grp, on essaye, avant d’amener les gens à se réconcilier, de ramener un niveau de confiance minimal pr que les gens puisse vivre cote à cote sans s’entretuer. Ex: Truth and Reconciliation Commission (Afrique du Sud); juridictions Gacaca : procès où il ya des punitions mais où on tente aussi de rétablir la confiance entre les gens(Rwanda), etc. La motivation à percevoir le monde comme juste et bon se manifeste dans ‘belief in a just world’ (Lerner) : les gens essayent de maintenir

foi de certains témoignages de détenir toutes les personne en rapport avec le génocide. Il reste encore 80 000 personnes enfermées à attendre le procès et ce tribunal a du jugé environs 15 personnes. Ce tribunal international est accompagné par le Gacaca.[55] Il y a d’autres tribunaux (Cambodge pour des faits de 1975/1979) ce tribunal pénal est international et national. Le même phénomène pour la Sierra Léon depuis 2002 avec le Tribunal spécial pour la Sierra Leone. L’ONU

but est de mettre en place des outils permettant de faire comprendre au délinquant ses erreurs. 4- Fonction réparatrice Elle est née principalement des hypothèses de crimes de masse (génocide, crime contre l’humanité, crime de guerre). -> Gacaca au Rwanda -> Commission Vérité et réconciliation en Afrique du Sud -> Loi n° 2014-896 du 15 août préconise, dans la lignée des textes de l’UE, de mettre en place une forme de justice réparatrice ou restauratrice: article 10-1 du code de procédure

sensibilisation à la « gacaca 290», une forme de la justice traditionnelle dans laquelle la femme rwandaise aurait un rôle à jouer, du fait de sa propension à pardonner, surtout si elle continue de vivre dans son village. « Le fait est que manifestement, les femmes tentent à pardonner plus facilement car elles habitent toujours sur la même colline » dit Madame O., la responsable d’une association qui regroupe 40 organisations de femmes291. « Il est clair que la femme doit s’impliquer dans la gacaca ; on s’est

Au Rwanda le choix de ces commissions se justifie par un besoin de faire face à l’engorgement du TPIR. Le gouvernement a eu recours, en 2002, à la mise en place d’une dizaine de milliers de systèmes de justice traditionnelle, les juridictions « Gacaca »[260]. On voit bien que le respect de l’obligation de poursuivre posée par le droit international peut se trouver limité par ces commissions et peut rentrer, d’un point de vue pratique, en conflit avec l’exercice des compétences de la CPI. Mais

infrastructure. Rwanda is today cited as a country with relatively low levels of corruption, and according to the World Bank’s Governance Indicators, both political stability and government effectiveness have improved from 2002 to 2007 (World Bank, 2008). The gacaca courts, used to try those accused of acts of genocide, were initially seen as an inventive, locally-embedded form of restorative justice that would allow for the peaceful resolution of discord (see f.e. Wierzynska, 2004). Economically, donors have