Gaius

importante car elle réduit à 5 jurisconsultes ceux qui pourront être cités, si les 5 sont unanimes sur un point de droit, mm si seulement 3 sont d'accord, le juge devra statuer ds le sens de leur autorité ces 5 jurisconsultes : les + célèbres : Gaius, Papinien, Paul, Ulpien, Modestin à la fin de la période classique, les jurisconsultes sont intégrés au conseil de l'empereur les particuliers peuvent écrire à l'empereur pour lui soumettre un pb de droit, auquel il répond par des Rescripts les jurisconsultes

Clercs) Jusqu'à la révolution la séparation de la culture religieuse et juridique est floue. CHAPITRE 1 L’ANTIQUITE 6ème siècle av JC – 6ème siècle ap JC C’est au droit romain qu’on doit la métaphore de sources du droit (fortes juris) 2ème siècle : Gaius (juriste) fait la liste des sources du droit de l’époque (les lois, les plébiscites …) Dans ce système il y a des actes habilités à produire des règles que le peuple doit observer. On peut découper l’histoire juridique du droit en 3 parties : L’ancien

rôle prépondérant. C’est un droit pratique. o Lorsque des individus sont en litiges, elles vont s’adresser à un jurisconsulte qui va donner une solution, une RESPONSA o Certains jurisconsulte vont prendre de l’importance : Ulpien, Gaïus, Paul, Papinien, Modestin et leurs solutions vont se voir le plus souvent appliquées. 3 Période dite postclassique : Du IIIe apjc à 476, soit pendant le Bas Empire • C’est la période la moins productive. Tout le pouvoir appartient à l’Empereur

consultations juridiques, rédige des actes juridiques et prête assistance juridique lors d’un procès : « respondere, cavere, agere » En 426 une loi de Théodore II « loi des citations » consacre l’autorité de certains grands jurisconsultes disparus tel que Gaius, Paul, Ulpien, Papinien et Modestin. C’est un tournant dans l’autorité de la jurisprudence. Il faut noter que l’activité de juriste n’est pas rémunérée, en effet ce sont souvent les familles aristocratiques qui exercent cette fonction et ces dernières

droit des biens, le Livre III concerne les successions et les obligations contractuelles, et le Livre IV regroupe les obligations extracontractuelles, les actions en justice. Les trois érudits composant cet ouvrage se sont inspirés des Institutes de Gaius pour ce plan. Il est d’ailleurs grandement inspiré des commentaires de ce dernier, comme précisé dans la préface. B) La finalité des institutes Les Institutes avaient pour finalité première d’éduquer les étudiants, afin de

bénéficiaient pas de la caution impériale !) C’est un label de qualité accordé à certains jurisconsultes. Au IVème S., la « loi des citations» tente d’apporter une solution au fourbi occasionné par ces consultations, elle décrète que seuls Gaïus, Papinien, Paul, Ulpien et Modestien peuvent être allégués directement en justice alors que les autres doivent remplir deux conditions : être cités par l’un des cinq grands et que leur opinion soit établie par la présentation d’un manuscrit (souvent

plébéiens protestent contre le monopole des pontifes et certains jurisconsultes entreprennent alors de faire connaître le droit à la population. En 462 avant J-C, pour mettre fin à ce qu’il considère comme un arbitraire dont pâtit la plèbe, le tribun « Gaius Terentilius Harsa » émet un projet de loi, nommé la Lex Terentilia, pour créer une commission de 5 membres qui définirait par écrit les pouvoirs consulaires et empêcherait tout excès. Les praticiens s’opposent immédiatement à ce projet repris année

classiques les seules sources de droit invocables (issues de la doctrine). De ce fait, certains jurisconsultes deviennent les « fondateurs de l’ancien droit ». Ils occupent une place extrêmement importante dans le droit romain, on peut noter Paul, Ulpien, Gaius ; et surtout Papinien qui sera tellement apprécié (voir « sacralisé ») que les commentaires de ses textes seront interdits. Dans cette constitution on retrouve bien cette importance « sacrée » des auteurs classiques : « Qui peut être […] d’un si grand

permet aux patres d'acquérir des terres qu'ils convoitaient dans le Latium et autour de Tarente et de Capoue. Cela lui procure une grande popularité et lui permet de se faire réélire tribun de la plèbe en -123. En effet, depuis le vote d'une loi de Gaius Papirius Carbo en -125, les tribuns de la plèbe pouvaient être reconduits dans leur fonction sans attendre le délai traditionnel. Pour lutter contre lui, le Sénat décide de réduire son influence. Il dresse contre lui le tribun Marcus Livius Drusus

I) B/Le formalisme de la sanction, de l’exécution, de la dette (table III) 2/La divulgation d’un D familial patricentrique A/La prééminence du père de famille (table IV) B/La prééminence des agnats (table V) Doc 2 : Les sources du D selon GAIUS Institutions : Au départ pvr impérial + maintien des institutions A la fin du 1er s av JC, les ass. populaires cessent de se réunir A la fin du IIe s av JC, les magistratures perdent peu à peu la réalité de leur pouvoir Entre II et IIIe s ap JC