Gaius

sont conduits pas un souci moral mais aussi par un souci de logique. Il semble que chacun d’entre eux ait transmis une science de la construction. Ils ont rédigé qui présentaient un caractère didactique évident comme des institutes, dont celles de Gaius. Leur travail consistait à dégager des règles à partir de cas concrets. Ils ont donc été animé par un souci de classifier, synthétiser et de dégager les principes de toutes les espèces dont ils avaient connaissance. Ils ont interpréter les autres

désormais il interdit aux gallo-romains de recourir à d’autres sources juridiques que celle de la loi. Ce bréviaire d’Alaric c’est une compilation sans grand ordre logique, on trouve les plus grands partis du code Théodosien un résumé des institutes de Gaius, et des éléments de droits locales, des commentaires de certains jurisconsultes. C’est un texte très imparfait au regard de la complexité du droit romain. Ce recueil va continuer à s’appliquer aux descendants des gallo-romains jusqu’au 9e siècle

il ne subsistai aucun motif, une fois les lois votées pour maintenir les decemvirs dans la cité » 2) Loi adoptée et amendée par le peuple Le contenu législatif  Ni le texte complet, ni les six livres de commentaires faits par le juriste Gaius ne nous sont parvenus. On ne les connaît que par des citations faites par des auteurs latins, qui ont néanmoins permis une reconstitution dont l’authenticité n’est aujourd’hui plus guère contestée[7]  L'inspiration grecque  Elle est difficilement

ordre de ses différentes sources. Les sources des obligations remontent au droit romain et s'étendent jusqu'à nos jours par le biais principalement de la doctrine qui a forgé le droit des obligations et qui a classifié ses sources. De l'époque de Gaius et Justinien jusqu'à aujourd'hui, les sources des obligations ont évolués, ont été maniées et déformées. De nos jours, aucun article n’énonce explicitement une classification dans le Code civil. Le droit des obligations dans le Code a fait l’objet

[modifier] L'obligation est une notion jur qui provient du droit romain, et qui signifie « lien étroit » (ob-ligatus). • Apport de Gaius : Les Institutes de Gaius écrites au 2ème siècle après Jésus-Christ. Les Institutes de Gaius traitent de l'ensemble du droit privé romain (famille, personnes, droits réels, obligations et procédure). Dans son Livre III, Gaius écrit: "Les obligations comportent une division fondamentale en deux espèces: toute obligations en effet naît d'un contrat ou d'un

recouvrant eux-mêmes les délits, les quasi délits et les quasi contrats. Cette classification est ancienne. Ainsi, chez le jurisconsulte Gaius (IIIème siècle ap. J-C), d’abord , chez Justinien ensuite, ce qui compte = la division en species = une distinction selon les sources, qui a laissé des traces ds tous les droits modernes : ex contractu/ex delicto. Gaius la transforma en distinction tripartite en y ajoutant les variae causarum figurae (vise essentiellement la répétition de l’indu) puis Justinien

peuple, mais par étapes. Au début: partage avec le Sénat. Après l'an 200: Sénat s'efface et Prince est seule source créatrice de droit. L'empereur dit le droit par le biais de décisions personnelles: constitution (milieu du 2ème s.) Vers 160: Gaius (jurisconsulte) parle de constitution impériale. Racine [ST] implique la stabilité (sto, stare...) = permanence. Etat = status. 4 sortes de constitution: édits: prescriptions d'ordre général décrets: nature judiciaire, jugement rendu

système juridique romain débute réellement. Le premier texte légal, dont le contenu nous est connu avec quelques détails, est la Loi des Douze Tables, datée du milieu du Ve siècle av. J.-C. Selon les historien romains[5],[6],[7], le tribun de la plèbe Gaius Terentilius Harsa a émis un projet pour mettre par écrit les lois et ainsi empêcher les magistrats d'appliquer arbitrairement les lois. Après huit ans de lutte, les plébéiens réussissent à persuader les patriciens d'envoyer une délégation à Athènes

régime et la nature de celle ci. La distinction fondamentale qui fait des personnes par opposition aux choses qui fait l'une des plus grande division du droit remonte au droit romain. On la trouve au 2eme siècle après jc dans les justitutes de gaïus , dans ce manuel, l'auteur adopte un plan tripartite , les personnes, les biens, les actions adopté au 6eme siècle par les institutes de justinien , ce plan connaitra un grand succès cher les juristes français d'ancien régimes, notamment l'oiselle

juridique que le souverain. Mais le souverain ne connait pas nécessairement les normes juridiques, c’est ce dont on s’est aperçut avec les rescrits fait par l’empereur pendant l’Antiquité. En effet, ‘ce qui plait au Prince a force de loi’ d’après Gaius, mais l’empereur qui répondait aux rescrits ne vérifiait pas le bien fondée de la demande, or les réponses apportées par le rescrit, a cause du prestige de l’empereur, seront appliquées dans un cadre plus général a toute la population. On se trouve