Galbraith

risque, être d'exception (ne pas suivre, s'ennuie très vite), ne pas être vénale (rien à faire de l'argent), être énergique, avoir du charisme, être visionnaire, être précurseur des goûts des consommateurs => théorie de la filière inversée : de J. Galbraith qui est le 1er a avoir été contre les théories de marketing qui disent que si le client n'a pas besoin = flop. Pour lui c'est l'entreprise qui créer un nouveau besoin du consommateur en créant de nouveaux produits. C'est l'O qui crée la D. Donc le

la consommation et les réactions en fonction du groupe social d’appartenance à partir là aussi de plusieurs théories : - pour Bourdieu et sa théorie de la reproduction sociale, la consommation dépend du milieu d’appartenance du consommateur. - Galbraith avec sa théorie de la filière inversée introduit le marketing et la publicité comme créateurs de nouveaux besoins qui incitent à consommer. - Enfin, selon la théorie de l’effet d’imitation et de démonstration, les classes sociales plus modestes

éventuellement normatifs, rarement explicatifs, à l'image de ceux qui se limitent à une explication, fondée par exemple sur l'excès de spéculation comme La Grande Dépression (1934) de Lionel Robbins ou La Crise économique de 1929 (1955) de John Kenneth Galbraith. Du reste, chaque école de pensée économique a tiré la couverture en faveur de ses thèses générales. L'explication par surconcentration de richesse, à l'époque soutenue par des économistes marxistes et keynésiens, n'explique pas l'emballement

en effet un éclairage différent sur les concepts de spécialisation et de coordination évoqués jusqu’à présent, en analysant leurs conséquences sur les comportements des individus et des groupes dans l’organisation. Prolongeant leurs travaux, J. Galbraith a replacé ces concepts dans une perspective dynamique, et propose une panoplie de modes de coordination de plus en plus perfectionnes au fur et à mesure que les activités de l’entreprise deviennent de plus en plus complexes. Depuis leur première

l’influence grandissante des régions et de l’Union européenne dans la vie quotidienne.     Sujet III Etude d’un Ensemble Documentaire : « Vers un nouvel ordre mondial : espoirs et réalités » Document 1 : Le « nouvel ordre mondial » selon John Kenneth Galbraith. Document 2 : De l’anticommunisme au jihad anti-américain, par Gilles Kepel. Document 3 : Les États-Unis et le monde [caricature]. Document 4 : Les défis d’un monde qui change, rapport de Kofi Annan (2005).   Questions Q°1. Nouvel ordre mondial

efficacité et prendre des décisions souvent complexes. Il fait généralement partie d’une équipe de direction aux compétences variées qui compose ce que J.-K Galbraith appelle « la technostructure ». La technostructure c’est cette « association d’hommes doués de connaissances techniques, d’expériences et de qualités différentes » (J.-K. Galbraith) qui détient le pouvoir dans les grandes entreprises. 1-2 Quels risques le manager fait-il courir à l’entreprise ? La logique managériale peut

inévitables. ==> Krachs boursiers PN-Giraud parle ainsi du « commerce des promesses », où toutes les actions reposent sur des promesses, sur les achats incertains des acteurs financiers. JK Galbraith : la spéculation conduit à la crise. C'est un peu l'  « éco de casino », empruntée à Keynes. Galbraith s'intéresse à la crise de 1929 et à l'influence du krach de Wall Street sur celle ci. 80% des transactions sur les actions se font à crédit, ce qui rend très risqué le remboursement de ces titres

boursière -> crise banquière / crise industrielle -> crise de chômage. - Thèse de Keynes (reprise par Galbraith dans les années 60) qui insiste sur une crise sous production et de sous consommation. Au fur et à mesure que l’Europe se reconstruisait, les USA perdaient des clients, des marchés. Au début des années 20, les européens achetaient essentiellement sur le marché américain. Galbraith insiste sur la mauvaise répartition des revenus de la population américaine. B/ Des signes avant-coureurs

découvert……………………………………………………………….4 C. La titrisation………………………………………………………………………..5 D. Les normes IFRS…………………………………………………………………..6 II. Littérature .7 A. Joseph Stiglitz………………………………………………………..…………….7 B. John Kenneth Galbraith…………………………………………………………....7 C. Michel Aglietta …………………………………………………………………....7 D. Warren Buffet ………………………………………………………………………8 III. Analyse : La régulation de la sphère financière .9 A. Renforcer la régulation externe

éventuellement normatifs, rarement explicatifs, à l'image de ceux qui se limitent à une explication, fondée par exemple sur l'excès de spéculation comme La Grande Dépression (1934) de Lionel Robbins ou La Crise économique de 1929 (1955) de John Kenneth Galbraith. Du reste, chaque école de pensée économique a tiré la couverture en faveur de ses thèses générales. L'explication par surconcentration de richesse, à l'époque soutenue par des économistes marxistes et keynésiens, n'explique pas l'emballement