Galilée ou l'Amour de Dieu

Jean 1 1. Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. 2. Elle était au commencement avec Dieu. 3. Toutes choses ont été faites par elle, et rien de ce qui a été fait n’a été fait sans elle. 4. En elle était la vie, et la vie était la lumière des hommes. 5. La lumière luit dans les ténèbres, et les ténèbres ne l’ont point reçue. 6. Il y eut un homme envoyé de Dieu : son nom était Jean. 7. Il vint pour servir de témoin, pour rendre

DISSERTATION DE PHILOSOPHIE. Est-il déraisonnable de croire en Dieu. Il convient tout d’abord de donner une définition de Dieu, et plus particulièrement d’en distinguer la définition qu’en apporte la philosophie et celle qu’en fait la religion. Pour la religion, Dieu est un être parfait, créateur du monde, présidant à ses lois générales et pouvant y intervenir par des miracles. Ainsi, le Dieu des chrétiens a créé le monde au moment de la Genèse, a instauré certaines lois (comme les

à vaincre cette peur de la mort et donc de la finitude humaine par la foi et par la grâce de Dieu. Si on a foi en Dieu, alors il nous sauvera. C’est ainsi que certains trouvent le salut. Pour les philosophes, l’homme est capable de trouver le salut en connaissant le monde, en se comprenant soi-même et en comprenant les autres. Pour eux, l’homme est capable de se libérer de ses peurs sans l’aide de Dieu. Les philosophes préfèrent ainsi la lucidité et la liberté plutôt que de croire simplement.

irréligieux ». Pour le G(O(D(F( fondé en 1773 la Constitution n’est définitive qu’en 1849. Elle commence par cette phrase : « La F(M(institution essentiellement philanthropique, philosophique et progressive a pour base l’existence de Dieu et l’immortalité de l’âme » En 1887, le pasteur et député au Convent Frédéric Desmon présente un rapport adopté à une large majorité qui modifie l’article premier, je cite : « Elle n’exclut personne pour ses croyances » En 1887

sentiment de mélancolie, envie de voler, se rends compte qu'il est mortel e) P13 « comme tous les enfants, je m’étais d’abord confondu avec dieu. (…) je m’étais senti roi, tout puissant, immortel » « Grandir fut démentir. Je n’appris la condition d’adulte que par les blessures, les violences, les désillusions » f) P14 a 7 ans je cessais d’être dieu g) P15, déjà pleins de questions, remets les choses en questions h) P17, mort de son père, réalise qu’il faut aimer tout le monde, et surtout

et modernes ont le plus souvent adressé au christianisme, c''est d'avoir exagéré la valeur de l'homme et l'importance historique de notre globe. « Qu'est-ce que l'homme, ont-ils dit dans les termes mêmes de mon texte, qu'est-ce, que l'homme pour que Dieu s'occupe de lui ? » et ils se sont plu à faire ressortir notre insignifiance. Tout ce qui pouvait nous rabaisser leur a semblé bon pour cela. Il n'est pas d'insecte éphémère auquel ils n'aient trouvé bon de nous comparer. Les premiers adversaires de

de sommes importantes à l'abbaye. Pascal poursuivit ses travaux scientifiques et mena alors une période de vie mondaine, avec notamment le moraliste Antoine Gombaud (1607-1684), chevalier de Méré — auteur probable du Discours sur les passions de l'amour (1652), attribué longtemps à tort à Pascal — et le riche Damien Mitton, dont on peut présumer qu'ils seront la première cible de l'Apologie de la religion chrétienne, destinée aux libertins. Cette période s'acheva le 23 novembre 1654 avec la nuit

facilement attirer les foudres du Clergé, cher ami! Il s’agit là d’un important dilemme entre la connaissance par la raison et la démarche scientifique et les soit disant vérités instaurées par les Saintes Écritures! Désormais, Dieu ne semble plus le seul à penser. Galilée et sa lunette d’approche astronomique ont clairement démontré à la plèbe et aux scientifiques que notre planète n’est pas immobile au centre de notre univers, et que sa lune n’est rien d’une bille ronde et lisse comme tous semblaient

l’on s’entretient souvent seul à seul avec DIEU dont on se sent aimé ». ♦ Pour la Petite THERESE : « L’oraison est un commerce d’amour, échange d’amour entre DIEU qui est l’AMOUR essentiel et l’homme, fait pour aimer, et qui ne peut recevoir l’amour que de son DIEU ; commerce d’amour entre la misère de la créature humaine et la miséricorde amoureuse du CRÉATEUR. ». ♦ Pour DON MARMION « L’oraison est un entretien de l’enfant de DIEU avec son PÈRE des cieux sous l’action de

Rebours, 1884. D. Théodore de BANVILLE, Hérodiade, Les Princesses. 1854. Document annexe : Gustave Moreau, L’Apparition, huile sur toile, 106x72,2m (Musée Gustave Moreau, Paris). 1874. A. [Le gouverneur de Galilée, Hérode (ou Hérode Antipas), a répudié sa femme pour épouser sa nièce et belle-sœur Hérodias (appelée souvent Hérodiade), mère de Salomé. Dans sa citadelle, Hérode a emprisonné Jean-Baptiste (ou Jean le Baptiste), personnage biblique célèbre pour