Galilée ou l'Amour de Dieu

pas la volupté de la sécurité retrouvée?» Nietzche. Comment la religion ou la philosophie pourraient-elles se prévaloir d'instrument aussi objectifs que ceux des sciences? Les sciences qui énoncent des lois et renoncent à la connaissance de l'absolu (Dieu, âme), se contentant de relations constantes entre les phénomènes, paraissent satisfaire notre désir de vérité. Toutefois, l'homme est aussi un être subjectif. On peut alors se demander si les sciences mathématisées et objectives, satifont pleinement

La poésie est une des plus ancienne forme littéraires. Cherchant son origine dans la Grèce antique, Aristote pose sa définition et ses genres dans sa Poétique. Les poètes l’utilisent pour exprimer un sentiment qu’ils ressentent, comme l’amertume, l’amour, la tristesse, … . Ces sentiments portent des messages et idées comme une arme d’engagement. Cependant chacun la ressent différemment, par ses vers, créant rythme et harmonie. De ce fait, les poètes voient en la mer une source d’inspiration par le

la religion envisageait l’homme comme créature de Dieu, comme objet, il valait mieux s’intéresser à Dieu, qu’à l’homme ; c’était l’âge d’or de la théologie. La religion tenait une place prépondérante dans la société, et dont marquait, influençait le rapport de l’humanité à elle-même. Ce pendant, au XVème siècle, à la Renaissance, des esprits libres et éclairés entament des recherches scientifiques, contre la volonté de l’Eglise. Ainsi, Galilée prouve que la terre tourne autour du Soleil, Copernic

une alliance avec Dieu qui protégera son peuple. Dieu tes la foi d’Abraham en lui demandant de sacrifier son fils Isaac, qui finalement ne sera pas tué. Isaac a 12 enfants qui seront les 12 tributs d’Israël. Certains hébreux se sont installés en Egypte mais ont été renduit en esclavage. • Moise (vers 1250 avant JC), il amène son peuple hors d’Egypte, poursuivi par les troupes du Pharaon (épisode de la traversée de la mer rouge) puis arrivé dans le désert du Seinai la ou Dieu indique à Moise les

différents et les Galiléens qu’ils disent s’être trop mélangés aux non-juifs. B°/ Un pays occupé Conquête de la Judée par Pompée vers 63 avant JC : elle forme le noyau de la province romaine de Palestine auxquels les romains rattachent la Samarie et la Galilée en particulier. Bien que les romains tentent de maintenir un pouvoir hébreux et tolèrent le culte juif les révoltes sont nombreuses entre indigènes monothéistes et occupants polythéistes. C’est en partie pour y remédier que Rome fait appel à un hébreux

baroque les cherche soit dans la science nouvelle inaugurée par Galilée, Descartes, Pascal, Leibniz puis Newton etc., soit dans une foi renouvelée, détachée des fausses certitudes de la raison, préférant l’absurdité de la croyance (credo quia absurdum) à une rationalisation a posteriori, soit dans les deux, dans une forme de déchirement pascalien de l’âme. Une morale Elle se fonde sur une suite de paradoxes, avant même le « si Dieu est mort alors tout est permis » de Dostoïevski, le légiste baroque

d’ouverture • Galilée, symbole de la rupture scientifique du XVII e siècle • 1712 – Thomas Newcomen met au point une machine à vapeur pour pomper l’eau dans les mines • Émilie du Châtelet, femme de science La démarche du chapitre La démarche du chapitre est en accord avec la logique du programme qui vise à montrer le rôle capital de l’esprit scientifique dans l’Europe des XVII e et XVIII e siècles. Les documents de la double page d’ouverture (pp. 228-229) le montrent bien : Galilée symbolise

qu'il faisait, et pour l'ivresse, n'étaient applicables qu'à l'ivrognerie de la personne, et non à l'ivrognerie de la nation. Un Allemand boit par coutume, un Espagnol par choix.b) Un monde en mouvement« Et pourtant elle tourne ! » La formule de Galilée, peu avant de mourir, est entrée dans l’histoire. S’il en est ainsi, c’est parce que la question de la mobilité de la Terre n’était pas seulement un problème théorique mais aussi une question politique, voire métaphysique. C’était un problème théorique :

de la science, ou Quelle science pour quelles origines ? Pierre Marage Faculté des Sciences Université Libre de Bruxelles Où faire remonter les origines de la science ? A la Grèce présocratique ? à Sumer ? plus haut encore ? Ou plutôt à Galilée, à Newton ? Et qu’en est-il de la Chine ? Partant à la recherche des origines de la science, nous serons inévitablement conduits à une réflexion sur la science elle-même : selon les époques, les cultures, les disciplines, quels types de dialogues

Benoît SIBILLE, Master 1 La ténèbre lumineuse, sed quomodo ? Comment l’apophatisme donne-t-il Dieu chez saint Bonaventure. Dans le cadre du cours : La négation et le néant, De M. Mabille Institut Catholique de Paris, Faculté de Philosophie, 2013-2014, semestre 2. Introduction ................................................................................................................................ 3 I. « Les ténèbres …» ...................................................................