Gap De Liquidité

de forts excédents commerciaux tels que les pays émergents et pays pétroliers et des pays déficitaires comme les Etats-Unis d’Amérique). En outre, l’insuffisance coordination de l’action des banques centrales n’a pas permis de neutraliser les liquidités internationales qui ont alimenté la spéculation internationale et doper successivement les cours de l’immobilier, des actions et des prix des matières premières, conduisant ainsi à la formation de bulles spéculatives. 4 L’explosion de la

devises, volatilité implicite, prix des marchandises. La valorisation issue des modèles est effectuée sur des bases prudentes. Elle est ajustée afin de groupe banque centrale populaire COMPTES CONSOLIDÉS AUX NORMES IFRS tenir compte du risque de liquidité et du risque de crédit, afin de refléter la qualité de crédit des instruments financiers. 2.6.4. MARGE DÉGAGÉE LORS DE LA NÉGOCIATION DES INSTRUMENTS FINANCIERS La marge dégagée lors de la négociation de ces instruments financiers (day one profit)

1987 puis d’augmenter la cible à 3% en 1988. Ce choc avait pour objectif d’engendrer une baisse de la demande de la base monétaire. Cependant, avec la création d’un nouveau système de paiement interbancaire qui a lancé une large révision sur la liquidité dont les banques commerciales ont besoin, la demande de base monétaire a diminué mais avec une valeur supérieure à celle estimée par la Banque suisse. Ainsi, l’inflation est remontée à des niveaux supérieurs à 5%. L’expérience de la Suisse montre

......................48 3.2.1.La gestion des risques de crédit..............................................................50 3.2.1.1.Les techniques d’atténuation du risque de crédit.......................................53 3.3. Le risque de liquidité.....................................................................................55 La finance islamique : Analyse des produits financiers islamiques CHERIF, Karim 6 3.3.1.L’illiquidité des banques islamiques...............................

toutes opérations d’achat et de vente fermes, d’escompte et de pensions de titres. consentir aux établissements de crédit, agréés en qualité de banques, des avances garanties par des sûretés appropriées et leur proposer de placer auprès d’elle des liquidités sous forme de dépôts à terme. Effectuer des opérations de change tant au comptant qu’à terme. comme elle peut, également, émettre et racheter ses propres titres d’emprunt auprès des intervenants sur le marché monétaire. ouvrir et tenir des comptes

marchés monétaires et financiers , l’objectif étant de créer une nouvelle dynamique des marchés interbancaire et secondaire en vue de faciliter les flux de liquidités entre les différents opérateurs, établissements de crédit et entreprises. Ces marchés sont de nature à permettre à l’institut d’émission d’intervenir pour la régulation des liquidités par le retrait ou l'injection de fonds ou par l’achat ou la vente de titres dans le cadre de techniques financières nouvelles à introduire. Le marché monétaire

de négociation. 3.1.2. Les limites de régime de change fixe :  1. Le problème de liquidités internationales : «Les liquidités internationales sont constituées par la somme des réserves (possédés effectivement ou disponibles par emprunt) de signes monétaires extérieures détenus par les banques centrales de tous les pays participant aux échanges internationaux » Frissert et Piquemal (1986). Les liquidités internationales reflètent, en quelque sorte, le niveau de la masse monétaire au sein d’un

N pays et où la monnaie d’un de ces N pays joue le rôle de monnaie internationale, il n’y a que N-1 taux de change par rapport à la monnaie dominante. C’est ainsi que jusqu’en 1958, la demande de dollars est telle qu’on a évoqué la notion de dollar gap. Les institutions officielles, mais aussi la demande privée qui n’ont cessé de croître en fonction de la progression du commerce international, souhaitaient détenir des dollars comme instrument de réserve et moyen de transaction universel. Conséquence

grands s’entendent pour cogérer les affaires mondiale * L’Affaire de Suez (octobre 1956 – mars 1957): Chef de l’Egypte, Nasser réussi à obtenir le retrait des Anglais. Il veut construire un barrage à Assouan mais il n’a pas suffisamment de liquidités. Il demande une aide aux États-Unis qui refusent car l’Egypte soutient l’Algérie, alliés de l’URSS. Il nationalise donc le canal, acte agissant directement sur les intérêts Britanniques et Français. Nasser devient le porte-parole du Panarabisme

potentielle est la croissance qui correspond à un fonctionnement à plein régime de lʼéconomie. À court terme les responsables politiques ne peuvent pas espérer dépasser cette croissance potentielle, cette écart entre les deux croissances est lʼoutput gap. Louis Sutre – L2 Économie & Gestion - Université Montesquieu Bordeaux IV – 2010/2011 4 À long terme, le niveau de capital humain doit être augmenté via des politiques structurelles et il faut dynamiser lʼéconomie (2009 : 42 milliards € en