Gap De Liquidité

Seul le marché primaire apporte des capitaux aux entreprises : il permet le financement. Le marché secondaire est le marché de l’occasion une fois que la souscription des titres neufs a été effectuée. Il permet uniquement le placement, assure la liquidité du marché (Euronext, New York Stock Exchange, Liffe, etc.) C. Classification en fonction de l’Existence ou non d’une Réglementation : Marché de Gré à Gré – Marché Organisé Dès lors qu’un acheteur et un vendeur d’un quelconque bien sont

fonctionnement des marchés ne permet pas de s'en sortir – risque de déflation (contraction des prix et de la production). Pour sortir d'une situation de déflation, il faut alors une intervention de l'état par une politique budgétaire (pour réduire l' « output gap » : l'écart entre la production réelle a un moment donné, et la production potentielle qui utiliserait pleinement les facteurs de production. Il peut aller dans les deux sens, pas assez ou surchauffe). → idée de jouer sur le budget de l'état pour

l’année dernière, le montant dépensé pour la compensation a atteint un nouveau pic de 54,9 milliards de dirhams alors que le budget avait tablé pour la rubrique un montant de 32,5 milliards de dirhams. Du coup, rien que sur cette rubrique budgétaire, le gap entre la prévision et la réalisation de la loi de finances 2012 se chiffre à 22,4 milliards de dirhams, soit 2,64 % du PIB ! Cette facture devient inquiétante sachant que pour la première fois, le montant de la compensation dépasse celui alloué à

portefeuille. Vous pouvez bien évidement le faire via des lignes de 2% ou 3% tout dépendra de Nous vous souhaitons une bonne lecture, en espérant que ces analyses vous permettront d’augmenter vos compétences en Trading et money management. votre liquidité disponible. Il est évident qu’en bourse plus vous avez un gros portefeuille plus vous êtes tranquille. C’est pour cela que les fonds de gestions ont été crée, pour faire de gros portefeuilles et être Tout ceci pour vous faire comprendre qu’il est

potentielle est la croissance qui correspond à un fonctionnement à plein régime de l'économie. À court terme les responsables politiques ne peuvent pas espérer dépasser cette croissance potentielle, cet écart entre les deux croissances est l'output gap. À long terme, le niveau de capital humain doit être augmenté via des politiques structurelles et il faut dynamiser l'économie (2009 : 42 milliards € en R&D). La croissance potentielle dépend de caractéristiques structurelles comme la composition

progression particulière sur la majorité des marchés financiers internationaux, Kechidi et Baudru (2000)[xx] voyaient que 87% de cette croissance pourrait être expliquée par le marché secondaire ( où s’échangent les titres déjà crées il assure la liquidité des investissements financiers, et l’évaluation des titres)[xxi] si on exclut le volume des capitaux levés soit par les nouveaux entrants soit par les appels à l’épargne publique. L’un des facteurs explicatifs de cette croissance est le drainage

produits est importants, notamment en période haussière, 90 % des transactions se faisant OTC. ! "2 0 5 ! Ainsi, elle a facilité le financement des économies nationales en mettant à leur disposition d’énormes ressources, améliorant la liquidité des marchés, et offrant de nouvelles opportunités de financement aux entreprises. La libéralisation des mouvements de capitaux est de permettre l’allocation optimale des flux de capitaux à l’échelle mondiale (efficience allocationnelle). Pour certains

d’établir une supériorité de la relance par l’investissement par rapport à la dépense classique. Enfin, puisque le débat actuel sur la relance par la dépense se situe dans un contexte de crise économique, caractérisée entre autre par une trappe à liquidité, nous évaluons dans une troisième section comment une telle situation de crise peut impacter l’efficacité de la relance par l’investisse- ment. Nous concluons dans une dernière section. 1. Le multiplicateur des dépenses publiques : un manque de

des banques centrales des États membres, qui siège à Bâle. Comme le note R. de La Genière (article cité plus haut), « ce comité, réuni au niveau supérieur des responsabilités nationales, confronte les différents aspects de la politique monétaire : liquidités, marché des capitaux, crédit, change, relations monétaires internationales. C’est un organe également dépourvu de pouvoirs, mais dont l’efficacité dans la coordination des banques centrales est certainement liée à l’absence totale de publicité de

notoires, cependant dans de nombreux pays, les marchés obligataires domestiques demeurent insignifiants. Certaines des raisons qui expliquent  cette situation sont : * l’insuffisance des cadres institutionnel et opérationnel qui provoque une faible liquidité sur les marchés, * peu d’intérêt des investisseurs, * des maturités courtes sur les émissions obligataires * et des coûts d’emprunt élevés. Cette situation affecte la compétitivité et l’offre de produits financiers auprès des clients