Garde nationale

autour de cette table qui accueillait 14 personnes 1.3) Le document 3 est un extrait d'article écrit par Jacqueline Lalouette de type narratif. L'idée directrice du passage est le déroulement d'un banquet organiser le 1er mai 1848 offert par la garde nationale de Libourne. Il nous raconte le déroulement des banquets qui ont précédé et suivi la révolution de 1848, 1,4) Le document n° 4 est un extrait d'un roman écrit par Roger Caillois de type argumentatif, L'idée directrice du passage est que la

de la France ; en 1785, après l’école royale militaire de Paris, il devient lieutenant en second dans l’artillerie ; la nuit du 4 août 1789, l’abolition des privilèges ouvre une grande carrière militaire à napoléon. Lieutenant –colonel de la garde nationale d’Ajaccio il s’oppose aux « paolistes »qui cherchent à établir l’indépendance de l’île avec l’appui des anglais .En juin 1793, lors de la déclaration de l’indépendance de la Corse, il se rallie définitivement à la France. Durant l’été 1793,

d’un colonel russe qui se rend à Francfort avec deux enfants, une femme, un valet de chambre et trois domestiques. Le matin du 21 juin, quand la disparition du roi est constatée, l'alerte est donnée et le marquis de La Fayette, commandant de la garde nationale, envoie des courriers dans toutes les directions pour ordonner l'arrestation des fuyards. Entre temps, la berline royale (avec à son bord, le roi Louis 16, la reine Marie-Antoinette, leurs enfants, la gouvernante et Madame Elisabeth, la sœur du

principe séduit. Duclos décide de quitter le Printemps en emportant ses parts du marché mais le magasin continue de prospérer. Malheureusement en juillet 1870 la guerre Franco-allemande amène plus de 250 employés du magasin à rejoindre la Garde Nationale, l’activité du magasin ralentit donc considérablement jusqu’en septembre 1873. En avril 1874 le Printemps s’agrandit, avec de nouveaux étages et une nouvelle maison reliée à la première par des ponts de fer, Jaluzot installe des ascenseurs

l'armée française. En juillet 1783, les armées coalisées sont victorieuses et menacent Paris. Les " Vendéens " et les " Fédéralistes " ont allumé la guerre civile. L'armée française a, au cours de l'hiver précédent, perdu nombre de volontaires nationaux. Une levée de trois cent mille hommes en février 1793 fût décidée mais le remplacement étant autorisé, elle ne pesait que sur les plus pauvres. Lesquels ne pouvant payer aucun remplaçant partaient à contre cœur laissant leur famille dans le besoin

Louis-Philippe Ier. Ce tableau montre les trois jours de révolution, appelés les Trois Glorieuses. Description du tableau : Le 1er plan illustre le slogan révolutionnaire "la liberté ou la mort" : on voit un amas de cadavres (soldats de la garde nationale) et un mourant aux couleurs de Paris, qui expire son dernier espoir vers la liberté. La liberté est ce personnage féminin qui figure au second plan,au milieu du tableau, tenant d'un bras levé le drapeau bleu-blanc-rouge, et de l'autre

est apparue en France, du fait que le pays se sentait trahie après que Gambetta, qui, en créant un gouvernement de défense nationale, déclare l'armistice entre la Prusse et la France le 28 janvier 1871, mettant fin à la guerre perdue par les français, leur faisant perde l'Alsace-Moselle et payer une indemnité de cinq milliards de francs. Alors que les canons de la Garde Nationale sont retirés, les français développèrent un mouvement constitué de communards. Nous pourrons nous demander quels étaient

enguirlandé de lierres le fronton de la mairie ; une tente, dans un pré était dressée pour le festin, et, au milieu de la place, devant l'église, une espèce de bombarde devait signaler l'arrivée de M. le préfet et le nom des cultivateurs lauréats. La garde nationale de Buchy (il n'y en avait point à Yonville) était venue s'adjoindre au corps des pompiers, dont Binet était le capitaine. Il portait, ce jour-là, un col encore plus haut que de coutume ; et, sanglé dans sa tunique, il avait le buste si roide et

circulaient, et des lampions à chaque étage faisaient une clarté comme en plein jour. Les soldats regagnaient lentement leurs casernes, harassés, l'air triste. On les saluait, en criant : " Vive la ligne ! " Ils continuaient sans répondre. Dans la garde nationale, au contraire, les officiers, rouges d'enthousiasme, brandissaient leur sabre en vociférant : " Vive la réforme ! " et ce mot-là, chaque fois, faisait rire les deux amants. Frédéric blaguait, était très gai. Par la rue Duphot, ils atteignirent

à rencontrer : il se rendit donc à Bruxelles, à Weimar puis à Munich où on le jouait, mais ce voyage fut interrompu par la guerre de 1870. De retour à Paris, Villiers de l’Isle-Adam prit le commandement des éclaireurs du 147e bataillon de la Garde Nationale et, pendant le siège de la capitale par les Allemands, vécut avec sa famille dans un dénuement complet. Pendant la Commune, il eut des sympathies communardes. Villiers de l’Isle-Adam mourut d’un cancer et se maria in extremis pour reconnaître