Garde nationale

Paris dans un milord et arrive devant une grande maison nouvellement bâtie sur une portion de cour d’un vieil hôtel à jardin. Il arrive chez le baron Hulot d’Ervy. Monsieur Célestin Crevel (52ans) : veuf depuis 5 ans (chap.3), capitaine de la garde nationale, de la 2ème légion. Il est content de lui. Gros homme, ventre piriforme, teint rougeaud, joufflue, vêtu de bleu, démarche pesante. Ancien commerçant, boutiquier et parfumeur retiré, relativement riche. Quinquagénaire, dandy, bourgeois, « commerçant

la Révolution le coq symbolise l’identité nationale. Mais sous le Premier Empire le coq est remplacé par l’aigle. Le coq redevient ensuite un symbole  notamment sous la Troisième République. Il représente le courage et la fierté face à l’aigle prussien. Il figure dans certains monuments aux morts de la grande guerre. Même s’il n’est pas un symbole officiel, c’est un signe de reconnaissance nationale. Aussi est-il l’emblème de nos équipes sportives nationales.  Le faisceau des licteurs Le faisceau

Victor Hugo « discours sur la misère » à l’Assemblée Nationale le 9 juillet 1849 «Je  ne suis pas, Messieurs, de ceux qui croient qu'on peut supprimer la souffrance  en ce monde, la souffrance est une loi divine, mais je suis de ceux qui pensent  et qui affirment qu'on peut détruire la  misère. Remarquez-le bien, Messieurs, je ne dis pas diminuer, limiter, circonscrire, je dis détruire. La misère est une maladie du  corps social comme la lèpre était une maladie du corps humain ; la misère

circulaient, et des lampions à chaque étage faisaient une clarté comme en plein jour. Les soldats regagnaient lentement leurs casernes, harassés, l'air triste. On les saluait, en criant : " Vive la ligne ! " Ils continuaient sans répondre. Dans la garde nationale, au contraire, les officiers, rouges d'enthousiasme, brandissaient leur sabre en vociférant : " Vive la réforme ! " et ce mot−là, chaque fois, faisait rire les deux amants. Frédéric blaguait, était très gai. Par la rue Duphot, ils atteignirent

médias. Si le pouvoir n’a pas pu censurer la vidéo, il réagit par contre le 30 avril 1992, créant un nouveau coup de tonnerre. L’Etat de Californie prend trois dispositions pour contrer cette émeute : couvre feu à 19h3O, mobilisation de la garde nationale de Californie et la plus absurde, fermeture des écoles. Si l’Etat a peur de la population, pourquoi fermer les écoles et laisser les jeunes dans la rue… ? Le 2 mai 1992, l’émeute s’arrête, et les chiffres tombent. Le monde réalisa que malgré

publics. Mais hypothèse n'est pas preuve. Danton, comme Roland, ministre de l'intérieur dont c'était la tâche, n'a, comme le maire Pétion, pas pu empêcher les massacres dont la non exécution dépendait uniquement de Santerre, commandant de la Garde nationale, disposant d'un bras armé suffisant pour disperser en un clin d'oeil les trois cents tape-dru de Stanislas Maillard. Il reste que Danton fut le témoin privilégié et autorisé des prévarications des membres de la Commune du 10 août autour du

Boule de Suif 1. Décrivez les soldats français au début de l’histoire. 2. P51 Quelle impression reçoit-on de la Garde Nationale ? 3. Pourquoi les Français sont-ils si angoissés ? 4. P52 Décrivez les rapports entre les Français et les soldats Prussiens. 5. Selon Maupassant, qu’est-ce que c’est « l’odeur de l’invasion » ? 6. P53 Est-ce que tous les Français acceptent calmement l’occupation ? 7. Pourquoi les voyageurs veulent-ils se rendre au

par Meyer. «Diogène», 28 septembre1867{BnF En 1869, il se marie avec Geneviève Halévy. Il achève Noé, un opéra de Fromental Halévy (décédé en 1862). Esquisse un Vercingétorix, Griselidis avant les événements de 1870. Il s'engage alors dans la Garde Nationale, part pour Libourne, puis revient au Vésinet auprès de son père. Après l'écrasement du peuple parisien par les troupes du gouvernement Thiers, il rentre à Paris. Il compose Djamileh pour l'Opéra-Comique, et deux versions (piano et orchestre)de

maltraité par des policiers abusifs, Rambo devient fou furieux et s'enfuit dans les bois après avoir blessé de nombreux agents. Traqué comme une bête, l'ex-soldat est contraint de tuer un policier en légitime défense. Dès lors, la police locale et la garde nationale déploient des moyens considérables pour retrouver le fugitif. Le Colonel Trautman, son mentor, intervient et essaie de dissuader les deux camps de s'entre-tuer pendant que Rambo, acculé et blessé, rentre en guerre contre les autorités. Les scènes

et de tout dire à mon père qui dirige l'académie militaire tout près du village. Un jour, ma rue a été réveillée à 4h du matin sur la capture de l'inconnu dans sa maison en rentrant avec le butin de la soirée. Les unités spéciales de la garde nationale lui ont tendu un piège bien ficelé. D'ailleurs l'inconnu s'est laissé faire et n'a pas opposé de résistance. Le bouche à oreille avait bien fonctionné et on voyait tout le quartier affluer vers la demeure supposée être déserte. Les plus curieux